Apollon

tout leur sens aux types statuaires du couros et de la coré. Ce ne sont pas des statues de culte, ni non plus des représentations de divinités, mais leur valeur religieuse est certaine. Ce sont des offrandes consacrées à la divinité les couroi à Apollon et les corai à Artémis- mais sans exclusivité, puisque les couroi du Sounion étaient consacrées à Poseidon, les corai de l’Acropole à Athéna et celles de Samos à Héra. L’un et l’autre répondent à un idéal de beauté, les couros nu : est l’image du

Jocaste. Ses parents avaient consulté la Pythie (l'oracle d'Apollon) qui les prédit :  s'ils avaient un fils, ce dernier tuerait son père et épouserait sa mère. Après la naissance de leur fils, ils l’abandonne. Plus tard, Œdipe apprend, en consultant Apollon, qu'il est victime de cette malédiction. Il décide alors de s'écarter de sa famille afin d'échapper à son destin. En chemin, il rencontre un homme avec ses serviteurs. Œdipe tue l’homme, pensant que c’était le chef d’une bande de voleurs. L’homme

dans toutes les mythologies les mêmes histoires. Orphée :Tous les anciens grecs le connaissait avec son double féminin Eurydice. Légende : Orphée fut le premier poète grec, avec une poésie chanté, avec accompagnement de la lyre ( qui représente Apollon; dieu de la musique et de la poésie) d'où la poésie lyrique Toute langue poétique se doit d'être musicale, il n'y a pas de poème sans musique. Le premier poète avait un chant si puissant que ces seules notes pouvaient amener les animaux à l'écouter

dans lesquels on nous raconte l'histoire tragique de ces dieux qui voient leur propre pouvoir combattu par celui de la Mort. Toutefois, elles aidèrent Jupiter dans son combat contre les géants et contre Typhon. Par contre elles furent trompées par Apollon qui les fit boire et elles laissèrent ainsi vivre, au-delà de sa part de vie, son ami Admète. Les Parques étaient représentées, sur le Forum, par trois statues que l'on appelait couramment les «Trois Fées» (les tria Fata = les trois «Destinées»)

inconsolable. Il sera ensuite punit par Dionysos auquel il a manqué de respect lors du passage des son cortège. Orphée sera découpé par les ménades ou les Bacchantes et ses restes dispersés. Sa tête sera ensuite utilisé pour rendre des oracles. Apollon lui-même viendra fermer à tout jamais cette bouche et «  de quoi te mêle-tu ! »aurait-il dit en lui plaçant un caillou dans la bouche. La parole du poète est voué inexorablement au silence et son destin tragique. Le poète est à la fois un élu, un

il me combattit avec hargne et vaillance mais en vain, je le vainquis sans grand effort, il voulait connaître le nom de celui qui allait le tuer, et quand je le lui dis, il me regarda avec haine, c’était un regard désirant ma mort, et il jura sur Apollon que les héritiers de Troie vengeraient leur patrie et je le poignardai avec mon épée. Le visage de cette jeune femme était gravé dans ma mémoire, je voulais a tout prix la revoir et je la poursuivis. Soudain, les cloches retentirent pour sonner l’alerte

Quentin PILLING Orphée Orphée est le fils Oeagre et de Calliope. Des son enfance il montra qu'il avait de grande disposition pour la poésie et la musique. Apollon lui offrit un lyre à 7 cordes qu'avait conçue Hermes dons son jeune age. Les muses lui apprirent a en jouer et en leur honneurs il rajouta deux corde à sa lyre pour faire honneur au 9 muses. Par les don.Par sa musique, non seulement il attendrissait les bêtes féroces mais il charmait aussi les arbres et les rochers au point qu'ils

de la poésie Ex : Esthétique Parnassienne de la seconde moitié du XIXème s : pour Théophile Gauthier seule compte la beauté formelle des poèmes. Le nom de parnasse provient de la mythologie grecque, dans laquelle la montagne où résidait Apollon et ses neuf muses s’appelait : Parnasse. Elle serait le séjour de l’art et de la poésie, ce qui s’avère, pour les parnassiens, un nom adéquat pour leur nouvelle école poétique. Comme le dit Théophile Gautier dans la préface de Mademoiselle de Maupin)

longue série de drames, qui marqueront le destin d'Oedipe et de toute la lignée des Thébains. Lorsque la reine Jocaste attendit un enfant, son mari Laïos, roi de Thèbes, s’enquerra auprès des dieux de ce qui allait venir, la réponse de l’oracle Apollon fut terrible : «il tuera son père ; il épousera sa mère». Pour remédier aux prédictions de l'oracle, Laos attacha les pieds de l’enfant qu’il perça et l’abandonna dans la montagne aux bêtes sauvages sur le mont Cithéron. Le bébé émouva le

la colère d'Héra (qui est la femme, on pourrait dire, la plus officielle), il la cacha sous terre. Mais, lorsque Héra et Tityos apprirent toute l'histoire ce dernier voulut se venger envers Léto, mais les deux fils de cette dernières Artémis et apollon se vengèrent et le cribla de flèches et fut condamné finalement a errer dans le Tartare et avoir le foie rongé par deux vautours éternellement. Ce mythe est la simple et seule image de la passion qu'envahit tous les hommes ; celle la vengeance et