Apparences

Il existe deux formes de croyances qui sont différentes et même opposées, aussi bien du point de vue de leur nature que du point de vue de leur valeur : la croyance crédule et la foi. Effectivement, croire par crédulité, c’est subir : subir les apparences, subir les autres, mais aussi subir ses propres désirs ; c’est renoncer à la raison, renoncer à sa liberté, manquer de volonté. C’est par suite risquer le préjugé, l’erreur, l’illusion, mais aussi la rumeur, avec son lot d’injustices et de malheurs

l'enfant croit qu'il lui suffit de tendre la main pour toucher bientôt le ciel, je crois spontanément que la ligne d'horizon de la mer est haute que le bord de la plage... La connaissance sensible est limitée aux pures apparences. Pour Platon, il n'y a de vérité qu'au delà des apparences. L'Etre n'est pas le Paraître. Il faut s'élever au delà des choses sensibles pour connaître le vrai. Platon va imaginer avec la célébre allégorie de la caverne, que depuis notre enfance nous sommes prisonniers d'une

disposés symétriquement. Arlequin porte des chaussures plates lui permettant d’accomplir mille pirouettes et acrobaties. Une bourse est attachée à sa ceinture, ainsi qu’une batte lui servant de gourdin. Déguisement de Arlequin Caractère et apparence : à l’origine rustre et naïf, le personnage est devenu plus rusé et vif. Optimiste, il trouve toujours une solution à tout. Paresseux et gourmand, il sait aussi être gentil et fidèle. Arlequin aime beaucoup s’amuser. Polichinelle / Pulcinella

intéresser dans le cadre de la lecture de L'Île des esclaves, est la bouteille d'eau-de-vie ou de vin qui l'accompagne toujours. Il porte des chaussures plates, plus légères, lui permettant d’accomplir mille pirouettes et acrobaties. Caractère et apparence : Arlequin qui, très rapidement, devient le personnage le plus populaire de la comédie. A l’origine valet naif , et cupide, le personnage devient plus rusé, vif, cynique, immoral, usant parfois d’un langage scatologique. Optimiste, il trouve toujours

· Cependant, ces therme qui était très péjoratif à l’époque (buveurs=ivrogne et Vérolé=débauché) sont associé à des therme mélioratif « très illustres… », il y a donc une OPPOSITION. Rabelais nous invite donc à aller au-delà des apparences. · L3 Evocation du banquet : joie, nourriture, vin et convive= REFFERENCE « buveurs  » · Référence à un texte fondamentale de la culture antique, le banquet de Platon ou il était souvent

L E N O I R ~ - Stendhal - I – Le règne des apparences 1 / Le théâtre du monde - La loi du paraître ( Champ lexical de l’apparence,  prédominant dans le texte : « air, dehors, parut, tournure, regardait, tableau, … » - Une narration habile ( Narration finement elliptique : le lecteur ne sait finalement rien du contenu des différentes scènes. Le narrateur insiste ainsi sur le fait que seul le décorum et les apparences ont de l’importance. Ex. : • Après une longue

idée, pers…) I. Un modèle de persuasion Convaincre : faire adhérer qq’un à sa thèse en utilisant des arg. logiques Persuader : faire adhérer qq’un à sa thèse en utilisant les sentimts (ex=pub) a) Présence de liens logiques - liens logiques, apparence d’argumentat°, arg. s’appuient sur utilisat° constante des liens logiques : Condit° : « si » ; Cause : « car » et les 2 mêlés : « parce que…si » et «  car…si » - L’expression de la conséquence ss-entendue « si naturel que » « d’une si gde cconséquence

humain qui est en même temps un moyen d’apprentissage. I- CRITIQUE PLATONICIENNE DE LA MIMÊSIS : Mimêsis => simulation de la conduite d’un autre. Ex : l’art du comédien. => représentation des apparences. Ex : l’art du peintre. Unité des 2 significations : reproduction des apparences + simulation de l’art qui serait celui d’un producteur universel (Dieu) II- REHABILITATION : L’imitation comme mode de comportement humain. Cf. Aristote : l’imitation comme moyen d’apprentissage,

rimes masculines. Poème baroque : thème et écriture… I- Un monde d'illusions A- Une vie d'illusions « Tout n'est plein ici bas que de vaine apparence ». « vaine apparence » > thème de l'illusion , de l'illusoire… « tout » ; « n'est plein… que » > hyperboles. Présent de vérité générale > poète qui constate sur terre l'importance des apparences… Thème baroque. Cf. « sagesse est conduit par le sort » > fatalité. « L'on monte et l'on descend avec pareil effort ». - Parallélisme avec « L'on…

claire : "qui provoque le rire, et qui appartient à la Comédie". En effet, la comédie est un genre littéraire et théâtral visant, comme la tragédie, à dénoncer les défauts et les vices de la société. La comédie est un jeu : qu'elle joue avec les apparences, avec le langage ou avec les conditions, elle montre un univers irréel mais non sans rapport avec celui que connaît le public. Elle est née sous l’antiquité grecque pour la première fois afin de célébrer Dionysos, dieu du vin et de la fertilité