Apparences

L’expérience se base sur le changement d’habits : « Cela me fit résoudre à quitter l’habit persan et à en endosser un à l’européenne." Tout tourne autour de l’habit : "libre de tous les ornements étrangers", "le tailleur". Ainsi, en modifiant son apparence, il espère modifier le regard des gens et être finalement vu (considéré) à sa vraie valeur : "pour voir s’il resterait dans ma physionomie quelque chose d’admirable". Il ne veut pas être jugé par rapport à ses habits, mais par rapport à ses caractéristiques

« simple traducteur ». Réalité orientale. A cette époque récits voyage très nbx. M. critique/aborde avc une grande diversité. * Rencontre Parisiens/Persan I. Récit organisé et lucide (3 étapes) * 2 situat° ≠ le Persan en apparence / le P. sans apparence * Succes° scènes rapides (diversité lieux) * Insistance des lieux où st les portraits * Vivacité récit, humour, fantaisie * Mise en valeur curiosité Parisiens * Explicat° du Persan (chgt costume) * Curiosité des

connait rien. Ce n’est pas une connaissance absolue, pas une science certaine. Mais un savoir-faire réel est déjà mieux qu’une simple impression. Et pourtant on ne peut pas s’arrêter là, car alors on dépend encore des apparences extérieures. Connaître, c’est sortir de la prison des apparences (le sensible) pour aller vers à la lumière, la liberté intérieure que donne la connaissance, la contemplation des essences (l’intelligible). Attention, Platon ne dit pas qu’il y a deux mondes : il y a un seul monde

LES PENSEES, Pascal. Etude du texte Liasse II. Vanité = Fragments 11 à 48. La dénonciation des apparences Vanité du rire et des apparences. Antithèse : ne fait pas rire >< font rire. Répétition de la racine « semble » D’après St Thomas, il faut préférer les riches aux pauvres.  Les vrais chrétiens respectent les folies (les conventions sociales) par respect pour la volonté de Dieu. Ex de la folie : la préférence des riches s’expliquent par le respect

ont toutes en commun de paraître et par là même d'être faites pour se voir, s'entendre, se toucher, être senties et goûtées par des créatures sensibles dotées de sens appropriés. Rien ne paraîtrait, le mot « apparence » n'aurait aucun sens s'il n'existait pas de tels récepteurs des apparences - êtres vivants susceptibles de relever, de reconnaître, de répondre par la fuite ou le désir, l'approbation ou la désapprobation, la louange ou le blâme à ce qui n'est pas tout bonnement là mais leur apparaît

proverbe (l.112-113) L’utile et l’agréable tout s’y trouve Caractère trempé 2. Des interventions 3 reprises bref = Sépare les 3 portraits 3 portraits d’ho marier, tonalité Introduit au comique, ds le discours sérieux et inquiet 1. Double apparence : le prendre au sens propre l.88 : Silvia : grave, parle bc Lisette : parle peu, comique 1er degré 2. Etre froid, âme glacé Semble ne pas comprendre (l.97-98) La phrase finale Maitresse/suivante (l.112-113) Lisette bon sens populaire

l’interprétation que les autres se font de sa personnalité et de son identité. En un mot, ce proverbe veut dire que nous ne pouvons pas juger les autres simplement en fonction de leur aspect extérieur et réciproquement qu’il ne faut pas toujours nous fier aux apparences de quelqu’un car elles sont souvent trompeuses. Il semble plus que probable que l’origine de la citation dérive d'un proverbe en latin médiéval. Cependant, revenons sur notre sujet à proprement dit. Le Père Goriot de Balzac

son plus grand malheur qu 'il périt suite à cette épreuve car il jugea « ce trajet fort facile » , il ne se préoccupa donc plus de son futur et malheureusement cela lui fut fatal. L'auteur montre donc l'opposition de ces deux éléments et de leurs apparences car l'on est portait à croire que la rivière paraît plus facile à traverser qu'un torrent . Or ce n'est pas le cas , il ne faut donc pas toujours se fier à son instinct mais prendre conscience de ce qui nous attend en effectuant une épreuve de ce

raison absurde et superficielle montre l’attachement de la famille du baron aux apparences : « parce qu’il n’avait pu prouver que soixante et onze quartiers, et que le reste de son arbre avait été perdu par l’injure du temps », d’autant plus qu’il n’est pas impossible qu’il soit suffisamment noble, ce qui lui manque c’en est la preuve. De plus, non seulement la justification de la noblesse ne tient qu’aux apparences mais celles-ci sont fausses et trompeuses, ce que l’on voit à travers les rapprochements

perceptions sensorielles. Mais s’il y a un extérieur cela veut dire qu’il y a aussi un intérieur, en effet il ne faut pas se « fier aux premières apparences » et ce qu’affirme la prêtresse Diotine « C’est la beauté qui se trouve dans les âmes qu’il tiendra pour plus précieuse » en prenant l’exemple de la beauté de l’homme. De plus le sujet de se fier aux apparences à été un grand débat entre empiristes et rationalistes, les premiers convaincus que seule l'expérience du domaine sensible peut être un fondement