Archevêque

catholique à Madagascar n’ayant pas de « chef ». Tous les évêques sont égaux en droit, ils se réunissent en Conférence épiscopale qui élit son Président (actuellement, Mgr Désiré Tsarahazana, archevêque de Toamasina) et désigne son représentant au sein du FFKM (actuellement, Mgr Odon Razanakolona, archevêque d’Antananarivo). Tout le reste est littérature ou fantasme. (les chefs d’État, ancien et actuel), censée descendre ensuite vers le bon peuple. Par contre, elles ne demandent rien de moins que

Canonne imagine dans un premier tps coutourner l opposition de parlement en fesant convoquer par le roi une assemblee entierement choisi par le Roi sur les conseil de canonne et ou figure en realité des elements de l aristocratie: 14 eveques ou archeveques, 33 parlementaires et 13 intendants et 37 membres des etats provinciaux dont certains sont de la bourgeoisie.ils sont tous été par le roi, ayant été choisi canonne pensait qu il pouvait compter sur eux et su ils serait possible qu ils acceptent

France… A la demande du clergé et avec l'assentiment du baronnage, nous avons institué la paix pour tout le royaume. À cette fin, en 1155, le quatre des ides de juin (10 juin), nous avons tenu réunion solennelle à Soissons ; ont été présents les archevêques de Reims, Sens et leurs suffragants ; de même des barons : comtes de Flandre, de Troyes, de Nevers et beaucoup d'autres, et le duc de Bourgogne. En nous fondant sur leur accord, nous avons ordonné qu'à partir de Pâques prochain et pour dix ans toutes

Roi de France (877/79). Seul survivant des enfants de Charles le Chauve, il ne put se faire reconnaître roi à la mort de son père qu’en multipliant les concessions aux grands vassaux. Son fils, Louis III lui succéda. Adalberon : (mort en 988). Archevêque de Reims en 969. Partisan de l’empereur Othon III, il fit élire comme roi de France Hugues Capet au lieu du carolingien Charles de France, duc de Basse Lorraine et le sacra à Reims en 987. Saint Martin de Tours : Hugues Capet : (941/996). Fils

violence et dans un dernier point nous verrons le respect et la protection qu'apporte les différents conciles de paix. I- Des conciles fondateurs de la Paix de Dieu. A- Les instigateurs... Concile de Charroux (1er juin 989) : « Moi, Gombaud, archevêque de l'Aquitaine seconde et tous les évêques de la province », « Aux évêques se sont joints des clercs consacrés ainsi que des laïcs des deux sexes », « Moi, Gombaud […] Moi Hugues évêque d’Angoulême ». Concile du Puy, 994 : dirigé par l'évêque

présence au plaid provençal de l’évêque Aimon de Valence et les accointances qu’il entretient avec les prélats rhodaniens 62 La première chose qui justifie qu’on voit sa main à Anse, c’est que ce sont ces . amis-là qui y sont présents : les archevêques de Vienne et de Lyon, Thibaud et Bouchard, l’évêque de Grenoble, Isarn l’irréprochable. Mais la Bourgogne, c’est aussi Cluny, et là aussi, il n’est point besoin d’insister pour prouver les liens entre Guy, l’Auvergne, et les Clunisiens ; Cluny

INTRO : Nature juri : Il s’agit d’un récit = source narrative (pour les historiens). L’auteur a cherché à décrire la procédure du sacre. Il veut donner un compte rendu du sacre. Date et auteur : 1059, Gervais, archevêque Reims (1055-1067). Il date selon un style de datation. Et à l’époque il existe pls styles de datations (ttes les années ne commencent pas en janvier. C’est la 32ème année du roi. Contexte historique et juri : Henri assoc son fils Philippe au trône. Quel est l’intérêt

Né de parents aisés, il fit ses études à Rostock au Nord de l’Allemagne. Il s’orienta peu à peu vers la religion catholique, suivant les traces de son frère aîné : Jean Magnus, archevêque d’Uppsala. Il devint archidiacre (prêtre principal institué par un évêque) de la cathédrale de Stängnäs et fut le dernier archevêque catholique d’Uppsala. En 1518, lorsque la réforme atteint la Suède, les deux frères furent contrait de quitter leur pays et de se retirer à Rome. À la mort de Jean, Olaus aurait du

(xiie-xviie siècle) , Paris, Editions de la Sorbonne, 2019, p. 14987 https://books.openedition.org/psorbonne/54348 . 1356, Nuremberg, Metz7 princes-électeurs : -3 ecclésiastiques : archevêque de Mayence, archevêque de Cologne, archevêque de Trèves.-4 laïques : roi de Bohême, comte palatin du Rhin, duc de Saxe, margrave de Brandebourg.Francfortb. L’échec de Venceslas (1376-1400)Guerre des villes fin 1387-1389paix publique d’Eger (Cheb, Tchéquie actuelle), 5

ne parviennent toujours pas à faire renaître les provinces de la fin de l’Empire romain dont ils ont pris territorialement la suite. - Les légats pontificaux supplantent fréquemment les archevêques comme tuteurs des évêques suffragants. - Le XIIIe s. va confirmer le mouvement, en enlevant aux archevêques l’investiture des évêques au profit du pape. 2) Le diocèse et son évêque a) Une élection normalisée De plus en plus systématiquement élu par le seul chapitre cathédral (qui devient le