Archigram

et de cinéma (Vue de la ville pour Metropolis de Fritz Lang, 1925) 6/ Tony Garnier, architecte (La cité industrielle, 1919) (Ville pour trois millions d’habitants, 1922) 9/ Frank Lloyd Wright, architecte (Broadcare City, 1934-35) 10/ Archigram, groupe d’architectes anglais (Walking City, 1964) VEGETAL CITY / dossier pédagogique / fiche 7 / page 40 7 fiche 7 / ÉVOLUTION D’UNE RUE, DE 1850 À 2150 / 1/ RACINES Luc Schuiten a imaginé l’évolution d’une rue de Bruxelles au fil

de la cité moderne, 19001940", Casterman, Paris (1986). [37]- Pinson D., "Architecture et modernité", Flammarion, Paris (1996), pp.41-42. [38]- Revue L’Architecture d’aujourd’hui, "Architecture-Fiction, ou anti-architecture", (N° spécial sur Archigram), N° 177 (1964). [39]- Portoghesi P., "Le post-moderne", Electa/ Moniteur, Paris (1983), p. 7. [40]- Mumford L., "Le déclin des villes ou la recherche d’un nouvel urbanisme", éd. France Empire Paris (1960), "La cité à travers l’histoire", 1961

implantations inspirées du monde organique (pour donner une réponse à la croissance démesurée de leur ville). De 1961 à 1970, le groupe des 6 (Peter Cook, Dennis Crompton, Warren Chalk et David Greene, Ron Herron, Michael Webb) dans la revue Archigram, créent une rupture radicale, une critique des conventions et des savoirs faire établis. Aux structures de grands édifices, ils opposent des macrostructures capables d’intégrer tous les équipements et de générer tout l’environnement d’une communauté

production et le lieu : vers une théorie critique de la construction Envisager l’archi comme un art relève du retour à une forme de créativité réprimée, de l’implosion d’une utopie sur elle-même. (Ledoux, autant un constructeur qu’un visionnaire). Archigram était plus intéressé par l’aspect séduisant de l’imagerie de la conquête de l’espace et, comme Fuller, par les tonalités apocalyptiques des dispositifs de survie que par les processus de production ou par la pertinence des techniques de pointes pour