Archigram

Raymond Loewy. 1966-1973 : DESIGN POP Le mouvement Design Pop remet en cause le fonctionnalisme accusé de brider la créativité au service de la société de consommation. À l’heure de la culture des loisirs, des groupes comme Archizoom, Superstudio, Archigram exploitent les possibilités créatives de la culture populaire et des médias pour produire un design ludique, de préférence en petite série, autour de la sophistication technologique, de la culture urbaine et de la science-fiction.Exemples :                         

Piano, Richard Rogers Architecture HT car refoulement de toute la technologique du bâtiment en façade DEFINITION DE HIGH TECH : A Londres en 1964, 6 architectes fondent Archigram (Architecture + Télégramme) Ils imaginent une ville faite de ponts, disques volants et tout ce qui était technologique En architecture, l'objectif pour Archigram est d'extérioriser les réseaux, les composants techniques du bâtiment, de leur donner des couleurs très fortes et de le réaliser avec des matériaux comme le plastique

d'éphémère joue un rôle important dans les préoccupations des architectes futurologues, qui l'étendent même à des villes entières pouvant se faire et se défaire par agglomération et dispersion d'éléments mobiles (Dissolving City, Instant City, du groupe Archigram, par exemple). Deux possibilités s'offrent à la recherche : les structures démontables ou dégonflables. Le jeu de Meccano, la tente de nomade et la montgolfière sont les grands archétypes sur lesquels travaillent les imaginations. Nos huttes rituelles

Bell, Vers la société postindustrielle, Paris, Laffont,1976. [11] Écrits de l’architecte Robert Venturi, des philosophes et théoriciens Michel Foucault, Jean-François Lyotard, Jacques Derrida, Roland Barthes, Jean Baudrillard… [12] Les groupes Archigram (1961, Grande-Bretagne), Archizoom et Superstudio (années 60, Italie) ont constitué des avant-gardes particulièrement virulentes tant par leur réflexion politique que par leur contestation du design industriel dit « classique ». [13] Raymond Guidot

France. Tout d'abord, parce que le terme n'est pas protégé, ce n'est ni un statut ni un métier officiellement reconnu par l'administration. 1960-80, autocritique du design et réinvention poétique [modifier] Entre 1961 et 1974, le mouvement anglais Archigram, mené entre autres par Peter Cook, développe une architecture sans fondation, purement théorique, et édite une revue d’architecture. Ses membres réagissent à l'ère de la consommation et développent un travail portant sur le pop art, les mass medias

William Safire dans le New York Times. Les précurseurs Le Museumotel de Pascal Haüsermann en 1968 Le Sage Gateshead par Norman Foster Le pavillon de l'eau de 1997 par NOX/Lars Spuybroek aux Pays-Bas. Le musée Guggenheim de Bilbao Archigram, le groupe d'architectes britanniques des années 1960 dont faisait partie Peter Cook, a clairement influencé la blob architecture. Il s'intéressait à l'architecture gonflable sans angles tout comme aux formes obtenues grâce au moulage du plastique

auteurs comme un « alien » dans la cité, elle ressemble à un gros hippopotame sans tête, avec d’énormes pustules. Le projet de l’agence Spacelab, Peter Cook et Colin Fournier, a été choisi en l’an 2000 parmi 102 autres. Peter Cook, avec le groupe Archigram, avait été un des instigateurs de l’esthétique Pop des années 60. Il avait conçu des architectures utopiques dans ce style : des grandes bulles colorées sur pilotis. Le Kunsthaus est censé abriter des expositions temporaires d’art contemporain, et

pavillon américain conçu par Buckminster Fuller, est le symbole dʼune architecture qui remet en cause la manière même dʼenvisager la ville et lʼarchitecture. Des architectes futuristes, utopistes tels que Fuller, Cedric Price et son Fun Palace, Archigram et leur Dissolving City, Instant City, Living Pod, Yona Friedman et ses villes galopantes, sʼapproprient lʼéphémère quʼils utilisent comme mode dʼexpérimentation et de recherche, lʼétendant à des villes entières qui pourraient se déplacer, évoluer

Institut indien de management, 1962-1974 Centre des arts britanniques, 1969-1974 Les années soixante vont voir fleurir des mouvements critiques variés, de toutes natures : le Team Ten (1960), groupuscule révisionnistes du mouvement moderne ; Archigram (1961), coalition d’amoureux de la bande dessinée et des films de science-fiction ; les Gris (1966), conglomérat postmoderne qui manipule les références historiques avec ironie ; les Blancs (1969), cartel néo-moderne prolongeant les jeux maniéristes

manipulation caractéristiques de la guerre froide. C'est entre les pôles opposés de la liberté absolue et du contrôle à la fois matériel et idéologique qu'oscillent les productions architecturales de l'époque, comme les projets du groupe anglais Archigram ou encore les propositions de leurs émules italiens Archizoom et Superstudio. Chez Archizoom et Superstudio, qui occupent le devant de la scène architecturale au tout début des années 1970, la dénonciation des risques de dérive totalitaire d'une