Architecte

ANALYSE HISTORIQUE Nom complet du bâtiment Nom du ou des architectes Date de réalisation de l'édifice Origine de la commande et du commanditaire : Qui ? Quand ? Pourquoi ? Destination : culturelle, religieuse, commerciale, sportive, publique, privée... Etude du site, de l'environnement : Où est-il localisé (ville, campagne, village) ? Le site a-t-il des caractéristiques importantes à prendre en compte (relief, climat, matériaux) ? Architecte (lorsqu'on le connait) : Comment a-t-il été choisi ? Sa

 DISSERTATION SUR LE THEME « ARCHITECTURE, IMAGE, NARRATION ». Œuvres étudiées : Fresque de la genèse, Michel-Ange, Chapelle Sixtine, construite sou Sixte IV, architecte Baccio Pontelli, décorée sous Jules II, Vatican, 1508-1512. Expulsions, sérigraphies, Ernest Pignon-Ernest, Paris, 1979 Bibliothèque Universitaire, architectes Herzog et De Meuron, sérigraphies de Thomas Ruff, Eberswalde, Allemagne, 1999. Architecture, Image et Narration. Trois domaines complètement différents et pourtant

entre les multiples styles. Architecture, l'acte portant sur l'édifice[modifier] L'architecte-urbaniste[modifier] Article détaillé : Architecte. L’architecture est exercée, dans le respect des procédures administratives du lieu d'édification, par des architectes dont le titre professionnel est protégé juridiquement, ou des spécialistes assimilés à des architectes. Par distinction scientifique d’avec la construction qui serait le fait d’assembler différents éléments en utilisant les matériaux

réalise par l'acte donnant à la matière destinée à un ouvrage quelconque, la forme que présente un dessin. La théorie, au contraire, consiste à démontrer, à expliquer la justesse, là convenance des proportions des objets travaillés. Aussi les architectes qui, au mépris de la théorie, ne se sont livrés qu'à la pratique, n'ont pu arriver à une réputation proportionnée à leurs efforts. Quant à ceux qui ont cru avoir assez du raisonnement et de la science littéraire, c'est l'ombre et non la réalité

lequel les bâtiments ont une forme organique ou bombée. Les architectes prennent pour modèle dans la nature des organismes mous dont la forme provient d'une enveloppe à tension minimum (ex.: une limace) ou la forme que prend un galet usé. Le développement, dans les années 70, de logiciels permettant de modéliser, de structurer et de simuler des constructions en 3D (la C.A.O. : conception assistée par ordinateur) a permis aux architectes de s'éloigner des constructions cubiques ou cylindriques pour

la dégradation des villes. Des rapports ont été réalisés par Villermé et Blanqui afin d’étudier la situation des classes pauvres. Engels remarque qu’il existait une hiérarchisation des ouvriers. Des villes idéales ont été imaginées par divers architectes, dont Fourier et son phalanstère ou encore Owen. Cependant, la concrétisation de ces villes utopiques échoua. Des réformes furent alors prises afin d’améliorer les conditions de la vie ouvrière. Napoléon III tentera de faire de Paris la ville idéale

les constructions sont différentes selon les lieux. L’ambition du mouvement moderne : L’architecte doit répondre partout des conditions du temps et développer l’industrie Référence à l’industrie (mode de production en masse) La référence des architectes jusqu’à la fin du XIX est la nature (comme à la Renaissance) Ce qui change alors est la modernité héroïque qui se réfère à l’industrie. La modernité critique se développe jusqu’au post-moderne 1960 – 1970 avec un retour aux traditions et remet

indicible correspondance» entre Tannhäuser et la façade de Reims5, et c'est encore Reims et Chartres qu'évoque György Kurtag à propos de la parenté entre perception optique et acoustique6. Pour Joseph Matthias Hauer également, le compositeur est un «architecte musical»7. L'architecture fut aussi souvent qualifiée de «musique figée», un topos qui connut un grand succès depuis Schelling8, et que l'on retrouve jusqu'au XXème siècle, sous la plume de Stravinsky par exemple9. En 1853, Moritz Hauptmann inversait

surtout en ne visant plus les mêmes objectifs. Ces nouvelles données se traduisent par des réglementations, la grenelle de l’environnement de l’automne 2007 rédige des textes qui ne suffisent pas pour innover ; il faut une réflexion commune entre architectes, urbanistes et ingénieurs. Car pour l’instant le « syndrome de la patate chaude »[2] fait rage, tout le monde se renvoi la faute, l’inaction, le promoteur trouve ça trop cher, l’investisseur a peur que les produits ne se revendent pas, l’entreprise

Angleterre, Allemagne, Flandre …). A l'époque romaine, on ressentait la volonté de ne pas figer ces ordres, tandis qu'à partir du 15ème siècle, il y eut un processus de modélisation. Même si ces ordres se modélisent, ils offrent la possibilité aux architectes de révéler leur sensibilité en en créant d'autres. Il y a alors la confrontation entre la règle et l'invention (la licence).Dans l'architecture du 19 et 20ème siècle, toutes les manières de modifier l'ordre se mêlent. Les modifications peuvent