Architecture néo-classique

ÉCONOMIE GÉNÉRALE Dans un développement structuré, vous traiterez le sujet suivant : « Le marché peut-il régulier l’économie ? » ÉCONOMIE GÉNÉRALE CORRECTION « Le marché peut-il réguler l’économie ? » INTRODUCTION * Accroche (actualité) * Définition : le marché = lieu réel ou fictif de rencontre de l’offre et de la demande L’économie : ensemble des mécanismes de production, de répartition et de consommation de biens rares. * Problématique : Quels sont les avantages et les

aujourd’hui n’existent plus. Le plus célèbre d’entre eux est le courant « classique », apparu au XVIIIe siècle avec Adam Smith, qui a dominé la science économique tout au long du XIXe siècle. Les termes classique et néoclassique donnent l’idée d’une filiation entre ces deux courants. En réalité, ils sont extrêmement différents sur le plan théorique, la théorie postkeynésienne étant sur de nombreux points bien plus proche de la théorie classique que la théorie néoclassique. La filiation est plutôt politique

recherches les néoclassiques tels que Léon Walras, Carl Menger Alfred Marshall et bien d’autres encore ont été à l’ origine du développement de la microéconomie. La théorie néoclassique va chercher à renforcer les conclusions libérales des penseurs classiques contestées par d’autres penseurs comme Karl Marx, en remettant en cause ou en reformulant les hypothèses de base de l’analyse économique. Cette nouvelle approche passe par la définition d’une nouvelle théorie de la valeur fondée sur l’utilité.

déroulement de la révolution keynésienne pour en apprécier toute la portée. [Exemple d’annonce d’un plan en 2 parties] Ce déroulement s’est effectué en plusieurs temps marquant l’éloignement progressif manifesté par Keynes à l’égard de la théorie classique (I). Néanmoins, il semble que l’étape de la diffusion du message de la révolution keynésienne ne soit aujourd’hui pas encore achevée (II). 3 grandes idées : • La pré-révolution keynésienne (La Pensée économique de Keynes, chapitre 2

pour leurs transactions réalisées ex post,  Il a entraîné plusieurs centaines de travaux empiriques, en économie, finance, marketing et stratégie par des chercheurs soucieux de tester statistiquement les propositions normatives produites par son architecture théorique Les limites de la théorie d’existence de la firme:  Les auteurs restent muets sur l’origine des limites dans lesquelles le salarié accepte les ordres de son employeur. Coase note bien que c’est le contrat de travail lui-même qui

Comment s’articulent marché du travail et organisation de la gestion dans l’emploie ? I. L’analyse néoclassique du marchée du travail A. L’offre et la demande de travail. Document 1 page 320 : * Revoir les points notions : * Concurrence pure et parfaite * Productivité marginale du travail * Salaire réel Les entreprises pouvant influencé le prix sont les entreprise détenant une positions de monopole total ou partiel, sont les plus influentes sur les prix du

de la théorie des coûts de transaction avec l’exemple d’AIRBUS 8 Conclusion 9 INTRODUCTION: La théorie des coûts de transaction s’est construite en plusieurs temps. Elle repose, dans ses développements actuels, sur certaines hypothèses néo-classiques différentes, principalement une hypothèse de rationalité différente. La notion de coût de transaction est introduite pour la première fois sous forme d’une question d’apparence simple, soulevée par Ronald Coase dans son article célèbre «  The

revenu. Le résultat peut être appelé l'économie néo-classique et est accepté dans ses grandes lignes par tous, excepté 5 % d'auteurs à l'extrême gauche et à l'extrême droite »4. Malgré tout le courant néoclassique reste traversé par une tension entre ceux qui sont davantage keynésiens ou proches du social-libéralisme et ceux qui sont plus proches du libéralisme classique dont l'influence grandira dans les années soixante-dix avec notamment : les néo-walrasiens (Kenneth Arrow,Gérard Debreu), l'École

de la demande soit du coté de l’offre. Traditionnellement c’est l’aspect offre qui est privilégié car : La différence des demandes expliquerait la différence des prix : c’est une explication qui n´est pas passionnante. Le poids des traditions classiques conduit à expliquer une différence de prix par une différence de la technologie ou la productivité. Donc si on veut expliquer les déterminants de l’échange il faut prendre en compte la production, Le fait d’introduire la production n’implique

Concurrence pure et parfaite La concurrence pure et parfaite correspond à la théorie de la formation du prix élaborée au xixe siècle par les économistes classiques. La concurrence pure et parfaite est censée permettre l’équilibre sur tous les marchés sous des conditions suffisantes très particulières. La concurrence pure et parfaite représente un des deux cas extrêmes de structures de marché étudiés par les économistes néoclassiques, le second étant le cas de monopole. En 1921, les conditions