Architecture néo-classique

revenu. Le résultat peut être appelé l'économie néo-classique et est accepté dans ses grandes lignes par tous, excepté 5 % d'auteurs à l'extrême gauche et à l'extrême droite »4. Malgré tout le courant néoclassique reste traversé par une tension entre ceux qui sont davantage keynésiens ou proches du social-libéralisme et ceux qui sont plus proches du libéralisme classique dont l'influence grandira dans les années soixante-dix avec notamment : les néo-walrasiens (Kenneth Arrow, Gérard Debreu), l'École

déterminants sociologiques. 1- Déterminants économiques : Les déterminants économiques établissent un lien entre le revenu et la consommation des ménages. Plusieurs théories existent sur la relation entre revenu et consommation. La théorie classique de l’offre et de la demande implique que lorsque les prix diminuent, la consommation augmente et inversement. La théorie néoclassique, quant à elle, pense que le consommateur est rationnel c’est-à-dire qu’il vise à maximiser sa satisfaction (l’utilité)

annonce l’échec du keynésianisme. Le choc pétrolier fait naître un mal inédit, la stagflation, combinaison d’inflation et de chômage. Perplexes, les gouvernements ne font qu’aggraver les choses par la relance de la consommation. Milton Friedmann et les néo-monétaristes prônent alors un retrait de l’État, reprochant à l’État-providence la perte de compétitivité des entreprises. Le capitalisme managérial cède la place au capitalisme actionnarial, qui entend limiter l’activité des entreprises à leur cœur

Cours de Microéconomie Samira OUKARFI Fsjes de Aîn Sebaa Licence fondamentale Economie Gestion S3 2008-2009 Deuxième partie La théorie du comportement du producteur Samira OUKARFI – MICROECONOMIE Premier chapitre Les contraintes technologiques du producteur Samira OUKARFI – MICROECONOMIE Le comportement du producteur (1) Introduction L’étude des décisions de production constitue le second pilier de l’analyse microéconomique Il s’agit d’étudier certaines décisions, prises

Les historiens des théories économiques font la distinction entre des économistes de la fin du XVIIIème siècle qu’on appelle « les classiques » (les Anglais Adam Smith et David Ricardo, le Français Jean-Baptiste Say) et les économistes néo-classiques de la deuxième moitié du XIXème siècle (Léon Walras, Vilfredo Pareto notamment). Cette théorie néo-classique se fonde sur trois principes : l’individualisme méthodologique où on recherche l’explication de phénomènes économiques en considérant l’individu

néoclassique traditionnelle et non résolues dans le cadre du modèle de R. Solow. La question que les économistes se posent depuis longtemps est celle de savoir si la croissance économique à long terme est possible. La réponse des théoriciens de l’Ecole classique, du moins jusqu’aux années 1950, à cette question est non. A la base de cette réponse, leur raisonnement est le suivant : a) A l’instar de la terre, les autres facteurs de production (le capital et le travail) ont des rendements marginaux décroissants

Holisme et individualisme méthodologique dans les théories du développement Pour certains courants de la pensée économique contemporaine la plus influente l’économie serait le lieu où les individus, des “agents”, a priori bien informés, prendraient rationnellement des décisions en tentant de “maximiser leur utilité” sous la contrainte d’un revenu limité. Cette vision, à la base de la micro-économie des comportements individuels, inspire bien des précepts de politique économique les plus récents

revenu. Le résultat peut être appelé l'économie néo-classique et est accepté dans ses grandes lignes par tous excepté par 5% d'auteurs à l'extrême gauche et à l'extrême droite »4. Malgré tout le courant néoclassique reste traversé par une tension entre ceux qui sont davantage keynésiens ou proches du social-libéralisme et ceux qui sont plus proches du libéralisme classique dont l'influence grandira dans les années soixante-dix avec notamment : les néo-walrasiens (Kenneth Arrow,Gérard Debreu), l'École

Chapitre 4 : La théorie néo classique I- Qu’esce que la théorie néoclassique ? On parle svt de révolution marginaliste psk on a 3 auteurs qui ont eu le mm type de réflexion entre 1870 et 1874 : l’autrichien Carl Menger (1840-1921), l’anglais Stanley Jevons (1835-1882) et le français Léon Walras (1834-1910). Par la suite, Alfred Marchal reprendra la suite (1842-1924). On les appelait les marginalistes car ils employaient les fonctions à la marge (les dérivées). L’appellation ncl s’est imposées

3. Classiques et Néoclassiques : ruptures et continuités. . Les néoclassiques sont parfois appelés les « nouveaux classiques » ; est-ce un abus de langage ou une réalité ? Les néoclassiques sont-ils les héritiers des classiques ? N'y a-t-il pas de rupture entre ces deux courants ? Dans quelle mesure pouvons-nous dire que l’école néoclassique s’inscrit dans la continuité des Classiques, tout en constituant une rupture avec ces idées ? I. Les néoclassiques puisent leur source dans la pensée