Architrave

têtes de lions aux angles, faisant office de gargouilles. 3 ) Corrections optiques Un système de correction optique très précis permet de donner l'illusion d'une verticalité et d'une horizontalité parfaite alors que les stylobates et les architraves sont incurvés. De plus, les colonnes ne sont pas parallèles mais sont inclinées vers un point de fuite situé en hauteur (ce qui se voit d'autant plus que la colonne est loin du centre du temple). Enfin, les colonnes elles-mêmes sont modifiées pour

les catéchumènes © J.Y. Antoine ARCHITECTURE PALEOCHRETIENNE EGLISE A PLAN BASILICAL Narthex et atrium San’t Ambrogio (Milano) © J.Y. Antoine ARCHITECTURE PALEOCHRETIENNE EGLISE A PLAN BASILICAL File de colonnes • Entablement à architrave (IV° s.) -V° • Arcades sur colonnes (V° -…) Sta Maria Maggiore (Rome, III° ) St Appolinaire in Classe (Ravenne, 549) © J.Y. Antoine St a Sabina (Rome, V° ) ARCHITECTURE PALEOCHRETIENNE EGLISE A PLAN CENTRE • Plan circulaire ou octogonal

1843 et ramené l’intégralité des morceau au british muséum Plan : - Construit sur un haut sous bassement de calcaire et une assise en marbre Le sous bassement est sculpté. - Naos : 4 lits funéraire à l‘intérieurÉlévation : - colonne monolithe- architrave sculptée- Fronton avec les corniches et des gargouilles- naos qui s’ouvre par une porte ionique à 3 faces décoré d’un astragale de perle et de pirouette- sculpture dans l’entre colonne- tombeau fermé on n’y entre pas sauf pour y ajouté des défuntsScène

construction des palais et des temples, les Grecs emploient la peinture pour assurer la conservation des édifices. Par la suite, ils continuent d'orner de peinture non seulement les plafonds et les charpentes, mais aussi les murailles, colonnes, architraves, métopes, corniches, principalement dans l'architecture dorique. La polychromie est également adoptée pour la sculpture d'ornement et la statuaire. Les Romains cultivent aussi la polychromie mais d'une manière plus restreinte, en n'appliquant ce

se voient reliés par une balustrade. Ils encadrent des fenêtres en plein-cintre. Les deux premiers, à l’ouest, sont jumelés ainsi que c’est le cas pour ceux qui sont placés sur les contreforts du chevet. Au dessus de l’entablement composé d’une architrave à fasces, d’une frise ornées des monogrammes de Louis XIV et d’une corniche, une balustrade et des statues de saints et d’apôtres viennent couronner le deuxième niveau. L’étage des fenêtres hautes, en plein cintre, est rythmé par des arcs-boutants

Monumentalité (colossale) • Permanence des formes et des volumes • Construite pour l’éternité Architecture en Plate-bande Dès lors qu’il y a un toit, il faut quelque chose pour soutenir le poids de ce toit et résister. Ici, le toit est appelé « Architrave ». Des colonnes pas trop espacées viennent alors tenir le toit. Ces colonnes sont cylindriques. La distance entre 2 colonnes doit être calculée pour être sûr que le toit ne puisse pas s’effondrer entre 2 colonnes. Ainsi, les espaces aux sols sont

l’ordre dorique. L’échine et l’abaque est une partie qui sert de datation au bâtiment car il y a une évolution de la colonne dorique (colonne trapue à une colonne plus élancée, échine plus ronde au début que vers la fin) L’entablement divisé en architrave, qui est lisse pour l’ordre dorique surmontée d’une frise avec une alternance de triglyphe et de métopes. Le triglyphe est une plaque purement ornementale, qui a un effet décoratif constitué de trois incisione. La métope elle peut été peinte, sculpté

aménagements corrigeaient les illusions d'optique afin de rendre le bâtiment plus esthétique : • les colonnes convergent légèrement entre elles vers un point de fuite • les colonnes d'angles sont un peu plus épaisses • les stylobates et les architraves sont incurvés Lors de sa construction, Phidias s'occupas de la décoration du temple. Les frises furent sculptées à même le bâtiment. Elles présentaient, en façade, une alternance de bandes verticales et de surfaces sculptées de scènes traditionnelles

ont des bases attiques ; les chapiteaux et l’entablement sont ioniques. On ne sait pas grand chose du troisième étage pour lequel n’ont été identifiés que quelques demi-chapiteaux corinthiens. La présence d’une colonnade engagée supportant une architrave tangente à l’extrados des arcades manifeste le désir d’encadrer l’ordonnance voutée et de subordonner les fonctions effectives de soutènement à un ordre d’architecture qui (bien qu’esthétique) confère sa noblesse. Ce sont les romains eux mêmes

l’œuvre. On tend vers une valeur hors du temps, on aspire à la durée, à l’éternité. L’expression de la durée par la « masse » Doit on encore parler de sculpture ou d’architecture ? On franchit l’espace sacré du silence Trilithe : socle, colonne, architrave : signe éternité du bas vers le haut Ciel dématérialisation de la matière. Liaison terre/ciel Chaque nouvelle observation formulée à propos d’un monument ancien produit une œuvre nouvelle Lieux culte : architecture en dehors du temps, c’est la recherche