Architrave

l'humidité d'un mur fraichement bâti. Le premier élément de monumentalité étant le portail d’entré avec ses pilastres et chapiteaux sculptés de type ionique. De plus à l’image des temples grecs, il possède un entablement complet composé d’un architrave, d’une frise et d’une corniche. Cela impressionne dés l’entrée dans la maison et donne une indication sur la richesse du lieu et de ses propriétaires. L’atrium ( Ce mot vient de ater (noir), car à l'origine, on faisait le feu dans dans cette

 gypse   !  Fausse  porte  =    leurre  !  élément  décoratif  perpétué.     " Les   plafonds  :   tenaient   sur   des   colonnes   grâce   a   des   linteaux   +   architraves,   et   remplies   de   bandes  de  pierres  fines.  Faisaient  des  doubles  toitures.  Les  toitures  suivaient  un  quadrillage.   " Le  temple  d’Hathor  de  Denderah  (Nouvel

proportionnalité optiquement parfaites aux yeux de ses spectateurs - en effet on avait apporté un système de correction optique très précis qui permet de donner l'illusion d'une verticalité et d'une horizontalité parfaite alors que les stylobates et les architraves sont incurvés. De plus, les colonnes ne sont pas parallèles mais sont inclinées vers un point de fuite situé en hauteur (ce qui se voit d'autant plus que la colonne est loin du centre de l'édifice). Enfin, les colonnes elles-mêmes sont modifiées

Le sanctuaire d'OlympieIntroduction Si de nos jours, Olympie est surtout connue pour être le berceau des Jeux olympiques, ce site était, avant tout, un espace sacré de la Grèce Antique : un sanctuaire. Olympie se situe dans la région de l’Elide, au nord-ouest de la péninsule du Péloponnèse. Cette région se trouve entre la mer Ionienne et une chaîne de montagnes comprenant l'Achaïe au nord, l'Arcadie à l’Est et la Messénie au Sud. Cette région est de ce fait assez isolée du reste de la péninsule.

colonnes les trois ordres romains : dorique, ionique et corinthien, auxquels Sebastiano Serlio et ses successeurs ajoutent deux autres ordres : le toscan et lecomposite. Ces ordres peuvent avoir une fonction structurale, comme base d'une arcade ou d'un architrave, ou être purement décoratifs, engagés dans une muraille. L’un des premiers édifices à employer des pilastres engagés est laVieille Sacristie (1421–1440) de Brunelleschi. Voûtes et arcs Les arcs sont soit en plein-cintre, soit (dans le style maniériste)

péristyle. Temple rond, à tholos (désigne un édifice circulaire). Pythie dans temple de Delphes. Ordre dorique à cause d’une légende, envahisseurs doriens, caractérise Ordre ionique fait référence à l’ionie, région de la grèce antique Stylobate Architraves portaient les poutres. Un métope est une plaque en pierre. Glyphes : Glyptique : art de graver des pierres ou des métaux. Acanthe Un pythos est un grand vase, caractérisé par forme allongée, possède des anses. Vase utilitaire. Amphore utilisé

église Saint-Philippe-du-Roule. e Maquette de l’arc de Chalgrin pour le mariage de Napoléon et de Marie-Louise, gravure aquarellée, s.d., collection Debuisson, Paris. Voir lexique page 14 2 Arc de Triomphe terrasse attique corniche frise architrave bouclier voûte à caissons à rosace écoinçon imposte L’Arc de Triomphe en quelques chiffres e haut-relief piédroit piédestal Escalier 284 marches. e entablement tombe du Soldat inconnu Dimensions • hauteur : 49,54 m L’arc de triomphe

Gebel Silsileh à l'occasion de la mise en chantier de son temple funéraire thébain il fait graver une stèle commémorative dans un sanctuaire rupestre, une chapelle royale qu'il fait aménager dans la falaise du site. Plusieurs blocs ainsi qu'une architrave au nom du roi provenant de l‘île Éléphantine indiquent également la présence d'un monument à son nom parmi les sanctuaires de Khnoum, Satis et Anoukis[11]. En Nubie ce sont les temples d'Amada, d'Ouadi-es-Seboua, d'Amara et d'Akhsha que les vices-rois

n'avait rien de séraphique, mais un certain glacis bourgeois en déguisait l'abondante sensualité. » [couleur] cariatide  statue de femme, plus rarement d'homme, tenant lieu de colonne ou de pilastre et soutenant sur sa tête une corniche, une architrave, un balcon, etc.  immobilité de cariatide.  apposé avec valeur adj.: « des monstres cariatides se tordent affreusement sous l'énorme pression et font de la peine aux yeux. »  péj. [P. réf. à l'immobilité de la cariatide] femme qui se tient à

n'est pas du tout la même. En effet, les deux colonnes J-B qui se trouvent de chaque côté de la porte - J au nord et B au sud, ou inversement (ceci est une question de rite que nous ne pouvons discuter ici ) ne suppor­tent absolument rien. Aucune architrave ne les unit. Ce sont des « ascheras », réminiscences de pieux primitifs, pylônes que nous retrouvons en Egypte sous le nom d'Obélisques, aussi bien que, sous des formes différentes, chez les Phéniciens, les Tyriens etc. Les deux colonnes sont