Architrave

nervures, il y a un pilsatre avec un chapiteau. Ce chapiteau n'est certe plus un chapiteau gothiquemais il n’appartient pas à un ordre antique. Entre ses pilastres, il y a un arc en plein cintre. Au dessus de ses chapiteaux, il y a un entablement, architrave, frises,.. tous les élements de l'antiquité sont repris. Au dessus de l’entablement, il y a un petit toit pointucontenant des petites niches avec des arcs en plein cintre et dont l'arcade est décorée de motifs de coquilles (élément typique de la

particulier d'Alexandrie. Au Ier siècle démarre la construction de structures monumentales : Le Deir et les tombeaux du Palais et du Corinthien. Durant le iie siècle les bâtisseurs de la cité adoptent des détails architecturaux hellénistiques (frise, architrave, pilastre…) et créent un nouveau style de chapiteau encore aujourd'hui appelé « nabatéen ». Ils utilisent de plus en plus de structures uniquement décoratives, dont certaines inspirées de la culture autochtone : rosettes, animaux de la région ou

partie supérieur du portique, cariatides, copie de l'Erechtheion alternant avec des boucliers ornées de tête de Jupiter Ammon et autres divinités ces antiquités sont visible à la loggia dei Cavalieri di Rodi et dans le petite Antiquarium local architrave en marbre blanc ( dans les exèdres couverts), statue en bronze doré chaque statue était dotée de deux inscriptions (nom et fonction du personnage (le titulum), elogium sur dalle de marbre) les niches centrales (deux fois plus grandes que les

volutes reposant sur un coussin d'oves |en feuille d'acanthe ==> évolution de | | | | |l'ionique | |Architrave |frise constituée de triglyphes et de |3 bandeaux superposés |bandeaux superposés + frise | | |métopes |surmontée d'une frise continue

Trésor de Siphnos (vers 525 avant J.-C. ) et du trésor dorique des athéniens (500-490 avant J.-C.) Le trésor de Siphnos est sculpté. La partie sous l’entablement est constituée de murs et de colonnes. Au dessus, on a l’entablement, qui comprend une architrave et une frise. Par dessus la corniche et le toit. Ordre dorique, la frise n’est pas sculptée et composée de métopes et triglyphes. Dans l’ordre ionique, la frise est sculptée. Le fronton porte une scène sculptée. ART GREC Bibliographie :

se fond dans un océan tout aussi merveilleusement bleu au sein duquel les blanches colonnes mussoliniennes, bordées de deux palmiers rappelant la nostalgie de la colonie libyenne, paraissent flotter en supportant, telles de pures caryatides, une architrave tout aussi immaculée au dessus de laquelle se détache, en un phylactère hollywoodien de lettres blanches dont seul le « B » est en capitales : « la Biennale ». Le monde vénisé de Baldessari, en évoquant discrètement le panneau gigantesque du Los

Summerson !! Très important. «  Est classique tout édifice qui emploie les formes de l‘architecture »  Les ordres sont caractérisés par la forme de leurs chapiteaux. Le Parthénon Athènes Grèce 5ème avant JC. Temple dorique : forme des colonnes, architrave lisse. Les romains rajoutent l’ordre composite et l’ordre toscan. Maison carrée base attique. Classification des ordres n’est faite qu’au 16ème siècle (1537) par Serlio, pour la première fois on a une représentation de l’ensemble des ordres avec

d’intérieur, tous ces détails domestiques que négligent les historiens et dont les civilisations emportent le secret avec elles ; ces fontaines à peine taries, ce forum surpris au milieu d’une réparation par la catastrophe, et dont les colonnes, les architraves toutes taillées, toutes sculptées, attendent dans leur pureté d’arête qu’on les mette en place ; ces temples voués à des dieux passés à l’état mythologique et qui alors n’avaient pas un athée ; ces boutiques où ne manque que le marchand ; ces cabarets

devant être d’un bloc, la largeur des baies ne pouvait excéder la longueur d’une pierre ni trop grande ni trop lourde pour être utilisée à ces hauteurs. Il est vrai que les Égyptiens, dans la salle hypostyle du temple de Karnak, avaient hissé des architraves monolithes de 9 m 50 de long sur 2 m 50 de large et 1 m 50 de haut, et cela au sommet de colonnes dont certaines s’élevaient à 24 m sur 11 m de circonférence. Mais la patience et le matériel humain de travaux aussi gigantesques appartenaient aux

cas sont excellentes chez moi ; mes vignes mêmes produisent d’assez bon vin. J’ai bâti dans une de mes terres un château qui n’est que trop magnifique pour ma fortune ; mais je n’ai pas eu la sottise de me ruiner pour avoir des colonnes et des architraves. J’ai auprès de moi une partie de ma famille, et des personnes aimables qui me sont attachées. Voilà ma situation, que je ne changerais pas contre les plus brillants emplois. Il est vrai que j’ai une santé très faible, mais je la soutiens par