Argument De Corneille Pour Le Cid

Université Ibn TofailFaculté des Langues des Lettres et des ArtsDépartement de Langue et Littérature françaisesFilière : Eudes françaisesLes figures de style dans « La Boîte à Merveilles »Projet tutoré Parcours :Linguistique ( Présenté par ZaidLoutfi 18001980 ) ( Sous la direction de Mme. Hafida El Amrani )Année universitaire 2020/2021Dédicace Á  mes chers parents, pour tous leurs sacrifices, leur amour, leur tendresse, leur soutien et leurs prières tout au long de mes études. Á mes

son jugement : « vous me paraissez mal assorti ensemble » l.6. Il y a une antithèse entre « mal assortis » et « ensemble » qui met à jour un problème. Cette phrase constitue une façon détournée de conseiller une séparation. Flaminia développe ses arguments. Elle recourt au registre épidictique. Elle dresse un portrait mélioratif de Silvia : « du goût, de l’esprit, l’air fin distingué » l.6-7. L’accumulation relève de l’idéal aristocratique.En antithèse, elle dresse un portrait péjoratif d’Arlequin :

L’illusion comique, Pierre Corneille Mise en scène Frédéric Fisbach En amont du spectacle Enjeux littéraires En montant l’Illusion comique de Corneille, le metteur en scène Frédéric Fisbach manifeste non seulement le désir de faire un geste implicitement politique- proposer en contrepoint au statut problématique des intermittents du spectacle un éloge du théâtre- mais aussi d’une façon plus générale, celui d’ exhumer la réjouissante modernité de ce

les répliques alors que leur interlocuteur n’est qu’à quelques mètres d’eux. Les dialogues sont d’ailleurs peu naturels. Le dramaturge laisse transparaitre ses convictions personnelles, donnant ainsi tord ou raison à l’un des personnages. Les arguments destinés à défendre la thèse de l’auteur sont donc plus convaincants que ceux destinés à défendre la thèse adverse. Le monologue, bien qu’il soit courent au théâtre, crée aussi une situation artificielle où le spectateur admet qu'un personnage, seul

que le centre de l'enfer va être un cauchemar pour tous ceux qui vont entrer. Le fragment tiré du "Cid" de Corneille (p. 136-137) et le fragment tiré de "Phèdre" de Racine (p.156) mettent en scène deux personnages qui se trouvent devant un choix. En quoi consiste le tragique de ces deux situations ? Dans l'extrait « Ô Dieu, étrange peine !, » du « Le Cid, » un œuvre par l'écrivain Pierre Corneille, la tragédie vient du choix que le héros Rodrigue doit faire. Il a l'option pour plaire à son amant

tandis que le héros tragique est supérieur à nous (voir le texte Le Héros pour plus d’informations). Malgré cela, on peut dire que ces deux genres se rapprochent l’un de l’autre, sans en avoir l’air. C’est sans doute pour cela que des auteurs comme Corneille ont tenté de les réunir ensemble dans un seul genre : la tragi-comédie « dont l’action est romanesque et le dénouement heureux » (dict. Petit Robert). Propositions pour l’étude du théâtre en classe de seconde http://www.lettres.ac-versailles

LES PREFACES DE BRITANNICUS ET LE CLASSICISME 1) Détacher chez les différents mouvements de l'argumentation de la 1ère préface de Racine ( janvier 1670)Résumer chaque argument sous forme de plan (faire une phrase par arguments)2) À quels auteurs antiques Racine fait-il allusion dans cette 1ère préface ? Rechercher pour chacun d'eux des éléments sur leur vie et leur œuvre (date ? œuvre principale ?) I) LES PREFACES DE BRITANNICUS

Exemple 4 :Dans quelle mesure la forme littéraire peut-elle rendre une argumentation plus efficace?       L’objectif du discours argumentatif consiste soutenir une thèse (un point de vue), à propos d'un thème, qui réponde à une problématique. Argumenter consiste donc à définir la stratégie la plus habile pour faire connaître son opinion et la faire admettre à un auditoire, à contredire une thèse opposée, ou à critiquer un fait, dénoncer en servant une cause, et marquer les esprits par des procédés

la hauteur de ses attentes. A travers cette citation on peut donc comprendre que lui aussi souhaite figurer parmi ces « maîtres suprêmes » et espère recevoir au cours de l’histoire la réception que son génie mérite. Cette citation serait alors un argument apologétique, un plaidoyer, pour tous les Romantiques de sa génération. Les Romantiques étaient tout d’abord rejetés et trop originaux pour être compris à leur juste valeur mais recevront finalement une reconnaissance tardive pour avoir été les seuls

souvent malheureux (par exemple : la mort). « La principale règle est de plaire et de toucher. Toutes les autres ne sont faites que pour parvenir à cette première. » Racine, Bérénice, préface. Quelques grandes tragédies classiques : Corneille (1606-1684) : Le Cid (1636) Horace (1640) Cinna (1641) Polyeucte (1643) Racine (1639-1699) : Andromaque (1667) Iphigénie (1674) Phèdre (1677) Britannicus (1669) Bérénice (1670) Mithridate (1673) Esther (1689) Athalie (1691) La tragi-comédie La