Argument Libertinage

relation charnelle | | |(vend son corps) | | |Amour scolaire : M souhaite partager son expérience de libertinage et mieux contribuer à l’apprentissage de C. M | | |se fait désirer -> veut se différencier des autres femmes. M a un alter ego, elle se voit comme «récompense» et | | |non comme «consolation» ligne 25

du tabac et l’éloquence de l’argumentation. -parallélisme de construction : « non seulement… mais encore » qui donne au discours une forme de thèse. Questions rhétorique : « partout ou l’on se trouve ? » Une annonce de la thématique du libertinage Sganarelle parodie l’éloquence avec laquelle Dom juan fait l’éloge des vices réprouvés par la société. Morale des plaisirs prônés par le valet n’est pas sans rappeler l’hédonisme de Dom Juan. Considéré comme un remède pour certain médecin

m'avez-vous....principes ? ». Elle prend directement à partie Valmont par cette interrogation et lui rappel qu'elle obéit à un code rigoureux et intransigeant. Le ton est sûr et révèle sa supériorité. Le moi est ici omniprésent. Pour renforcer son argument, elle va se poser à l'opposé de son sexe: « Je dis mes....crées ? ». On remarque qu'elle se désolidarise des « autres femmes » qu'elle définit par leur conformisme. Elle se comporte ici en véritable philosophe des Lumières. Ce qu'elle reproche aux

philosophe énonce sa conception du bonheur (charité, amitié, affection) • Matérialisme et libertinage : Le Neveu de Rameau Diderot se réclame du sensualisme, affirmant que l’origine de nos pensées n’est pas innée mais fondée sur nos sensations et donc sur la matière (>matérialisme). Cette importance accordée aux sens et aux sensations va marquer tte une époque (Marivaux , Laclos). Cf. : On est bien au siècle du libertinage. Diderot pense que la connaissance vient au niveau des sens, théorie du sensualisme

l'entretien : L'étude proposée est d'un bon niveau, elle se compose d'une introduction, d'une problématique, de la lecture des deux scènes à présenter à l'oral, d'un commentaire en trois axes avec pour chaque partie deux sous-parties de plusieurs arguments, une conclusion et deux ouvertures possibles pour terminer votre prestation orale. l'ordre d'étude de l'analyse vous permet de répondre progressivement aux questions de l'entretien. Plan de l'étude : •I - Le spectre : la mort et la machine

d’une preuve | |Savoir réviser sa production écrite et rendre compte des stratégies |textuelle (citation) et d’un commentaire (déduction) pertinent, pour | |utilisées |appuyer chaque argument secondaire | | |La rédaction d’une conclusion complète comprenant les trois éléments | |

séduit par paroles DJ (compare à livre), choqué par comportement DJ, charmé par DJ (tout comme les femmes) | Femmes=proies pour DJSubissent l’infidélité de DJ | | Acte2sc2 : séduction de Charlotte | Flatterie, invitation, exagération de son amour, arguments religieux≠hasard, personnification du ciel, art persuader, prolepse, art oratoire, lecon séduction, mensonge,sophisme, blâme l’honorable, baroque (masque), antiphrses ds sa déclaration, hyperbole (femme unique), verve | Joue un role vis-à-vis de

2 2. DEVELOPPEMENT 2 2.1. Une scène d’exposition 2 2.1.1. Un éloge du tabac ambigu 2 2.1.2. Une scène pour exposer la situation 3 2.1.3. Le portrait de Don Juan 4 2.2. L’inscription de la pièce dans une philosophie 5 2.2.1. Libertinage et matérialisme 5 2.2.2. L’imitation du valet 5 2.2.3. La critique implicite de la religion 6 3. Conclusion 6 Introduction Le texte présenté est une partie de la scène d’exposition de la pièce de théâtre « Dom Juan» de Molière (l’objet

intitulé au départ “ le trompeur de Séville et l’invité de pierre “ écrit par un dramaturge espagnol. La pièce représente un séducteur, libertin au nombreuses conquêtes. Aux yeux des religieux de l'époque, “Dom Juan” excuse le libertinage. Molière est obligé de supprimer certaines scènes et répliques qui se moque de la religion. La pièce ne sera jouée qu'une seule fois du vivant de Molière. La scène 2 de l’acte 1 met en scène un dialogue entre Sganarelle et Dom Juan que l’on appelle

des grands philosophes de l'époque des Lumières, auteur de contes, de pamphlets, d'essais et d'une oeuvre assez engagée où la satire est omniprésente. Dans ses Mélanges, pamphlets et oeuvres polémiques (1759-1768), il traite de nombreux sujets, argumente et propose une réflexion souvent polémique pour faire ressortir le bon sens, la justice et la tolérance. (...) a) une situation cocasse : le dialogue occupe une large place dans ce récit, donnant à cette péripétie un caractère théâtral. Le comique