Argument Libertinage

sans ennuyer, à la différence d’un discours purement argumentatif par exemple. Enfin, certains auteurs rallient les lecteurs à leurs causes, en faisant preuve de conviction et en utilisant la raison. Par exemple Victor Hugo réfute un à un chaque argument pouvant être avancé par les partisans de la thèse adverse dans « Le dernier jour d’un condamné ». il fait un effort de persuasion en jouant avec les émotions, les mots forts, les images et les rythmes tout au long de l’histoire. Cependant,

toujours sous l’émerveillement de leur rencontre. Tania ressent elle aussi ce sentiment de plénitude mais elle voudrait un enfant. Maxime hésite, il veut profiter seul de Tania quelques années encore. La menace de guerre qui se précise lui fournit un argument de plus : est-il raisonnable d’envisager une naissance dans cette période troublée ? Lien avec le secret : cette fausse histoire n’existe que parce que le « je » n’a pas connaissance de la vraie. Il y a bien un rapport avec la guerre dans cet

qui accumule les conquêtes amoureuses et qui va se faire châtier par le Ciel. Il utilise ce personnage, séducteur, charmeur, trompeur et révoltant pour critiquer les mœurs religieux que le libertin définit de billevesées. Don Juan préconise le libertinage amoureux dans sa tirade de l’inconstance. A posteriori, dans la première scène d’exposition, le héros est blâmé par son valet Sganarelle qui en a fait un portrait dévalorisant. L’éloquence de Don Juan dans cette tirade contredit l’image péjorative

démonstration de Sganarelle est fondée sur un flot de parole, une logorrhée. Sganarelle exprime cette logorrhée par des énumérations execives ‘’ ces nerfs, ces os, ces veines, ces artères, ces … ce poumon, ce cœur, ce foie ‘’ de plus il utilise ces arguments qui font sourire et qui marque toute sa familiarité, son statue social : valet. ‘’ N’as t’il pas fallu que votre père engrosse votre mère pour vous faire ‘’ il faut noter qu’engrosser est un thermes qui s’applique aux animaux. Il faut savoir que

Dom juan : I,2 l’éloge de l’inconstance I. La gravité de l’éloge.  Dom Juan déroule, dans se tirade, les arguments qui servent à louer l’infidélité: c’est un éloge de l’inconstance. Cela se traduit dans l’usage que Molière fait de l’hyperbole dans l’ensemble de la tirade. Par exemple, Dom Juan dit : « Et si j’en avais mille (des cœurs), je les donnerai tous ». L’hyperbole transmet bien au spectateur la démesure du caractère adultère de Dom Juan. En outre, l’enthousiasme de Dom Juan sert également

Préparation à la dissertation p Thèse : « un spectacle qui ne nous fera pas penser, qui ne nous posera aucun problème »=> Divertissement pur, rire spontanée qui délasse et qui fait oublier la vrai vie Arguments exemples Simplicité des spectacles comiques personnages stéréotypé : valet rusé (≠ pas de profondeur psychologique Personnages monomaniaques Intrigues simple (souvent les comédies comportent 3 actes) = facile à comprendre Valets stéréotypé, simplifiés : Toinette : elle

Acte I, scène 2 : La tirade de Dom Juan, Dom Juan ou le Festin de Pierre (1665) ˜ Un éloge de l'inconstance : - des hyperboles : "milles visages", "toutes" - argumentation, connecteurs logiques, propos argumentés - champ lexical du changement - antithèses --> incompatibilité mariage / fidélité - question rhétorique = total refus, ouvre la tirade - vocabulaire positif, inconstance : "douce violence" (hyperbole) - "je ne puis", "il n'est rien qui puisse arrêter" = impossibilité d'agir

médecine. Puis, dans une seconde partie, nous montrerons comment les privilèges sont critiqués et l'influence du libertinage et enfin, dans une troisième et dernière partie nous observerons la condition féminine au 18eme siècle. Plan : I-Critique des professions a)La justice b)La médecine II-Differences de satut social a)dénonciation des privilèges b)Le libertinage et l'ordre social I-Critique des professions a)Le juge et l'avocat L'acte III, acte central du

L’extrait présenté ici est la scène 2 de l’acte I de Dom Juan, durant laquelle le héros apparaît. Constituée d’un dialogue entre Sganarelle et son maître, cette scène se termine par une longue réplique de Don Juan sur l’infidélité. Il expose son libertinage en faisant un éloge de l’adultère, afin de répondre à la contradiction portée par son valet. Quelle forme prend cette défense de l’infidélité ? Comment Don Juan avance-t-il sa conviction ? Dans un premier temps, nous montrerons la portée argumentative

an plus tard. Cette tragi-comédie, tirée du Trompeur de Séville écrit par Tirso de Molina en 1625, met en scène un personnage baroque ne respectant aucune institution. A travers cette œuvre, Molière dénonce l’hypocrisie des dévots ainsi que le libertinage de mœurs et de religion de la société de l’époque. D’après Molière, il faut « plaire pour instruire, corriger par le rire » c’est pourquoi la pièce est principalement comique notamment avec la présence du valet Sganarelle, personnage typique issu