Argument Pour Les Fables De La Fontaine

Texte n°1 : « Les animaux malades de la peste », Fables de La Fontaine En 1679, La fontaine publie le second recueil des Fables. Dans son avertissement aux lecteurs , il écrit « j’ai jugé à propos de donner un air et un tour différent de celui que j’ai donné aux premières, tant à cause de la différence des sujets, que pour remplir de plus de variété mon ouvrage » Or Jean de la Fontaine, choisi les animaux malade de la peste pour ouvrir son recueil. D’emblée le ton de la Fable surprend : le thème

objective → favorise la réflexion (lignes 19-22) - diffusion de la philosophie des Lumières: « éclairer les hommes » (lignes 24-26) - remplacement de la superstition par la vraie religion (lignes 28-30) - progrès dans la médecine. (lignes 32-34) → Ces arguments sont absurdes (= démonstration par l’absurde) et ironiques (Voltaire pense l’inverse : antiphrases) Conclusion Les deux derniers paragraphes ne sont pas numérotés, et précisent les modalités d'application de l'interdiction de « lire », puis de «

Commentaire littéraire sur la fable de Jean De La Fontaine : le Loup et L'Agneau Introduction Situer dans la tradition des fables Plaire et instruire (Intro La Fontaine en général ) Il s’agit d’une fable de 29 vers où alternent une grande variété de type de vers (quadrisyllabe, octosyllabe, alexandrin) et toutes les possibilités de disposition des rimes (plates, embrassées, croisées). Ce style varié et dynamique est caractéristique de La Fontaine qui travaille pour une poésie naturelle et il accompagne

fable est une forme d’apologue, qui comporte souvent un récit précédé ou suivi d’une morale. Les plus célèbres sont celles de Jean de La Fontaine, auteur du XVIIe siècle, qui connut un immense succès, sans doute par que ses fables répondaient à la grande doctrine du classicisme « plaire et instruire ». Dans « le loup et le chien », extrait du livre I des Fables publié en 1668, nous ne trouvons pourtant aucune morale explicite. En effet, cette fable est composé d’un récit, mettant en scène un loup

objective → favorise la réflexion (lignes 19-22) - diffusion de la philosophie des Lumières: « éclairer les hommes » (lignes 24-26) - remplacement de la superstition par la vraie religion (lignes 28-30) - progrès dans la médecine. (lignes 32-34) → Ces arguments sont absurdes (= démonstration par l’absurde) et ironiques (Voltaire pense l’inverse : antiphrases) Conclusion Les deux derniers paragraphes ne sont pas numérotés, et précisent les modalités d'application de l'interdiction de « lire », puis de «

style indirect est implicite et fait appel à l’affectif et l’émotionnel. On part plus du principe du probable, du plausible, comme dans un récit où des personnages sont mis en scène. 2.3) Argumenter, convaincre, persuader, délibérer Aussi subtile soit la nuance, chaque concept est différent. a) Argumenter De manière directe ou indirecte, c’est défendre, démontrer ou réfuter une idée, dans le but que l’interlocuteur adhère à la thèse exposée. b) Convaincre C’est en appeler à la raison,

FAUT-IL EXPLIQUER UNE ŒUVRE D’ART ?   Premier argument Beaucoup d’amateurs d’art pensent qu'une œuvre n'a de valeur que par les impressions ressenties dès la première écoute : pour la musique, par exemple Le lac des cygnes de Tchaïkovsky ou dès la première vision (un tableau). Deuxième argument( contre) La connaissance des différences de chaque artiste nous permet de dissocier ce qu'on aime de ce qu'on n'aime pas. On peut donner un avis et comparer. Par exemple, certaines personnes préfèrent

liction est de plaire à ses lecteurs , avec des écrits divers, vifs et généralement courts pour rester dans la mémoire du lecteur : des genres variés sont ainsi proposés tels que l'apologue comme les fables avec leurs animaux, leurs objets et les végétaux même qui se conduisent comme des hommes et ces fables composent un univers réaliste, la fable « Le Chêne et le Roseau » propose une étude comparée entre ces deux plantes avec de façon allégorique, le fort et le faible qui n'est pas celui que l'on croit

L’ARGUMENTATION - 1/6 Définition : Argumenter signifie soutenir une thèse dans le but d’obtenir l’adhésion de son destinataire. Convaincre et persuader sont deux démarches différentes qui entrent dans le cadre de l’argumentation : Convaincre : chercher l’adhésion du destinataire à sa thèse en faisant appel à des arguments logiques, qui sollicitent la raison. Persuader : chercher l’adhésion du destinataire à sa thèse en faisant appel à des arguments affectifs, qui sollicitent ses sentiments

de vue moral mais de façon indirecte, au moyen de situations ou de personnages symboliques (animaux, hommes ou dieux). L’apologue peut prendre la forme de la fable (représenter des animaux pour parler des hommes, La Fontaine, Les Fables), de la parabole (récit allégorique des Evangiles, ou court récit qui illustre le thèse pour faciliter la compréhension du lecteur, Fontenelle, La dent d’or), du conte (philosophique ou non, qui dispense un enseignement à travers les mésaventures