Arguments Sur La Satire

l’inégalité qui règne entre homme et femme. Mais au-delà des simples individus, cette scène dresse le portrait de toute une société. II. une satire de la société 1. un comique satirique Le registre satirique « s’en prend à son objet pour le condamner » E. Souriau, Vocabulaire de l’esthétique. Ici Molière à travers le personnage d’Arnolphe fait la satire d’une partie de la société qu’il juge obsolète. Cet extrait se caractérise par sa fonction argumentative : elle véhicule un message aux spectateurs

contes, de pamphlets, d'essais et d'une oeuvre assez engagée où la satire est omniprésente. Dans ses Mélanges, pamphlets et oeuvres polémiques (1759-1768), il traite de nombreux sujets, argumente et propose une réflexion souvent polémique pour faire ressortir le bon sens, la justice et la tolérance (...) Sommaire: Introduction I) Un dialogue plaisant et satirique A. Une situation cocasse B. Les personnages C. La satire II) Une revendication féministe A. La condition des femmes

présence. Lecture Problématique : la scène est-elle comique ? Scène baroque ? Objectif : mélange des registres ( ou genres dramatiques ?). I Dom Juan : personnage de défi qui transgresse toutes les morales. ( satire du comportement du noble ?) étude des stichomythies. 1) Dom Juan se montre méprisant à l’égard du paysan, le dialogue est impensable pour Dom Juan , Pierrot est plus bas que Sganarelle. - Il ne peut s’adresser à lui directement :

signifier COMPRENDRE. B - La démonstration: Viau se livre en effet à une démonstration, au sens étymologique du terme: il donne à voir. Cette démonstration consiste en une sorte de prophétie. Le discours est construit, Viau argumente bien ainsi qu'en témoigne la préposition "Après" au v 2 : mise en relief sous l'accent à l'initiale du vers, le terme souligne cette charnière temporelle, le basculement vers la chute qui attend la dame. Le poète par ailleurs ménage son effet et

d'une action. • présence de liens logiques de temps (ensuite, le lendemain...) • présence de temps du récit (en général passé simple, imparfait · Argument :Un argument est un élément de raisonnement destiné à prouver qu'une thèse est vérifiée. Contrairement à l'exemple, l'argument est abstrait, c'est une idée, une justification. Un argument n'est valable que s'il est : -clairement formulé -en lien avec la thèse -illustré par un exemple précis -distinct d'un cas particulier

blasphématoire en associant le baptême à d'autres éléments - des discussions antérieurs qui laissent penser à une appropriation des textes b) la satire religieuse et social - critique des jésuites et de l'évêque, ironie de Voltaire sur la position des femmes entre dévotion et curiosité sexuelle ---> critique social des mondains sans réel argument

constitue le milieu idéal où sa stupidité naturelle peut enfin s'épanouir et se donner libre cours. Les champs lexicaux de l’argumentation et de la pensée envahissent le discours du père : « dispute », « acte », « argumenter », « proposition », « opinion », « logique ». Dire que Thomas « argumente à outrance pour la proposition contraire » revient à dire qu'il ne se préoccupe nullement de faire triompher la vérité, mais seulement d'avoir toujours le dernier mot, et que, pour ce faire il n'hésite pas à

portée satirique elle fait la satire(critique qui vise a tourner quelque chose ou quelqu'un au ridicule) de la crédulité du public : en effet la reconnaissance des médecins tient à leurs habits. De plus elle fait également la satire de l' inefficacité médicaments 1 -Religion contre science Dom Juan n’est pas un raisonneur car il se n’explique pas mais en revanche Sganarelle lui a une façon très méthodique de mener son interrogatoire  Sganarelle utilise des arguments de théologien (celui qui

sur des références sérieuses pour soutenir son raisonnement en utilisant des pseudos arguments d'autorité , appuyés par des connecteurs logiques . L'argument du pape Alexandre "qui vivait jusqu'à sa mort" dénonce le mauvais usage de l'autorité qui tient lieu de raisonnement . Le comique se mèle à la satire: attaque contre le culte exclusif de la mémoire l.26. traits contre les maîtres portés sur la boisson

tient surtout aux retournements de situation (le lion excusé par le renard, l’âne accablé par le loup) et aux commentaires ironiques du narrateur (v. 47-48). La portée de la fable La portée satirique de la fable est donc manifeste, mais cette satire ne vise pas que la vie de cour. L’ultime rebondissement de la fable met en scène une figure de juge avec le loup. L’expression « cri[er] haro sur le baudet » appartient clairement au lexique de la justice tout comme les mots « harangue » « jugée »