Aristophane

Acropole : Parthénon) l'ordre de la procession met en avant les grandes familles, les magistrats. Elle respect la hiérarchie sociale d'Athènes. Ligue de Délos Création culturelle et vie politique Les pièces de théâtre, comme chez Aristophane, ont souvent un contenu politique. Le théâtre de Dionysos. Les plus grandes pièces de théâtre grec pouvait accueillir des milliers de spectateur. Les citoyens les plus pauvres recevaient des subventions. Le théâtre est une mise en scène de la

et Zeus nous exauçait.» . D'après Eschyle, Les Suppliantes. v. 460 av. J.C. [pic] Doc 3 : Le théâtre de Dionysos, Athènes, fin Vème' siècle. Il pouvait accueillir 17000 spectateurs. Doc 4 :Les problèmes de la démocratie selon Aristophane Praxagora et une seconde femme pointent les défauts des citoyens qui conduisent les affaires de la cité. « La seconde femme: [...] Si l'on y réfléchit bien, tous les décrets ont l'air d'avoir été pris par des gens ivres. Ils divaguent. Par Zeus

La comédie classique a) Les origines La comédie est née dans l'Antiquité et se développe à Athènes au cours du Vème siècle avant J-C, avec des auteurs grecs comme Aristophane ( Vème-IVème siècles avant J-C) et latins comme Plaute (IIIème-IIème siècles avant J-C). La comédie fait naitre le rire par la représentation des travers de l'homme, en mettant en scène les problèmes de la vie quotidienne. b) L'évolution de la comédie Après une longue absence, le théâtre « renait » dans la 2ème partie

athénienne : • Dans Les Suppliantes, le héraut thébain reproche à la démocratie athénienne de mettre au pouvoir des petites gens peu instruites. • Dans Les Guêpes, Aristophane moque la corruption du juge Philocléon : il est acheté par les accusés, ne le condamne pas forcément et s’en vante. • Dans Les Cavaliers, Aristophane dénonce la manipulation de la foule par les beaux parleurs qui la flattent (les démagogues). Le théâtre a donc une fonction civique : il aborde le fonctionnement de

Au contact de ce personnage éminent, Ménandre acquit probablement un sens psychologique aigu qui lui permit de peindre les personnages de ses pièces avec une aisance et une justesse qui ont fait sa gloire jusqu’à la fin de l’Antiquité. Comme Aristophane, il commença sa carrière théâtrale très jeune. Sa première pièce, la Colère, serait datée de 321 av. J.-C. Il aurait écrit environ cent-huit comédies (cfr. la Souda) dont huit auraient remporté les Grandes Dionysies (la première fois avec le Dyscolos

s'exprimer plus librement sur un sujet, une société, etc. Surtout à une époque où certaines paroles pouvaient conduire en prison. Dans le théâtre antique grec, cette forme de dénonciation, de discours polémique basé sur le comique existait déjà: Aristophane, ainsi que les conteurs grecs comme Esope. plus récemment aussi, par exemple les fables de La Fontaine. Je pense aussi à Voltaire qui critiquait l'oeuvre de Rousseau sur les fondements de l'inégalité... Critique basée sur l'ironie. La dénonciation

trait à la vie de la cité. Dans les Acharniens, la Paix ou Lysistrata, Aristophane prend parti pour la paix pour mettre fin à la guerre du Péloponnèse ; dans les Guêpes, il dénonce les effets pervers des institutions judiciaires athéniennes. On évoque (souvent pour les brocarder) des personnalités contemporaines, qui peuvent même apparaître sur scène. Ainsi, le démagogue Cléon est ridiculise à longueur de pièce par Aristophane (les Babyloniens, les Cavaliers, etc.) tandis que Socrate apparaît « en

est « castigat ritendo mores » (elle corrige les mœurs en riant), semble avoir pour but la critique de la société sans pour autant le laisser paraître. D’ailleurs, cette « propriété » apparaît dès la naissance de ce genre, au IV e avant JC chez Aristophane qui l’a initiée en dénonçant le pouvoir de l’argent. Depuis la Commedia dell’Arte (fin XVII) aux auteurs les plus récents tels que Feydeau (1862 – 1921) et Giraudoux (1882 – 1944), on remarque que le rire est très présent dans la comédie (ce qui

vient à la rescousse de Philocléon mais Bdélycléon intervient à temps. S'ensuit une joute entre le père et le fils, au terme duquel le fils est déclaré vainqueur par le chœur. Philocléon se voit offrir de juger un chien pour vol. * Parabase : Aristophane reproche aux Athéniens de ne pas le suivre dans sa lutte contre Cléon. Le chœur explique le sens de son déguisement : tels des guêpes, les jurés assaillent de leur aiguillon leurs victimes, les accusés. * Épisodes et triomphe : après une dispute

annexe Euripide dans Les Suppliantes critique à travers le héraut thébains critique les dérapages possible de la démocratie en particulier la démagogie qui consiste à dire aux foules ce qu'elles veulent entendre pour être porter au pouvoir. Aristophane dans son texte Les Guêpes, Philocléon, le juge se vante de la corruption dont il jouit et du pouvoir qu'il exerce sur les autres. Les athéniens siègent en effet à l'Heliee (tirage au sort) et reçoivent un tribut en compensation de leur journée de