Arlequin Dorante

Orgon (père de Silvia), Mario (frère de Silvia), Silvia , Dorante, Lisette ( servante de Silvia), Arlequin (valet de Dorante). * Informations sur la pièce : Elle a été jouée plus de 1500 fois à la Comédie Française. Cette pièce est l’une des plus connue de Marivaux. Son succès lui a valu une adaptation télévision en 1967. * Résumé de l’œuvre : Silvia s’inquiète du mariage arrangé que son père a planifié pour elle avec Dorante, qu’elle ne connaît pas .Afin d’en savoir plus sur son

de l’époque, qui rendent compte de la réception de la pièce ; le message passe clairement : l’amour ne doit plus obéir aux lois des familles et de leur intérêt financier. la défense et l’illustration de la puissance de l’amour« J’ai deviné tout. Dorante n’est venu chez vous qu’à cause qu’il vous aimait ; il vous a plu ; vous voulez lui faire sa fortune ; voilà tout ce que vous alliez dire. » Le Comte, s’il est triste, renonce à ses projets hostiles unefois la vérité connue et admise par tous. La

épouser Dorante, fils d’un vieil ami de M. Orgon. Elle demande à son père la permission de se faire passer pour sa propre femme de chambre, Lisette, afin de pouvoir observer plus aisément Dorante car elle craint de ne pas être heureuse avec cet homme. Orgon, en père compréhensif, accepte sa demande. Silvia se transforme donc en femme de chambre tandis que Lisette prend un malin plaisir à se maquiller comme sa maîtresse. De son côté M. Orgon explique amusé à Mario, son fils, que Dorante, pris par

conventionnel et presque indifférent des personnages sera d’autant plus remarquable par le spectateur car il présente une situation inhabituelle et déstabilisante. L’Amour va en effet déjouer tous les calculs, déranger tous les plans de Silvia et de Dorante et laisser intervenir le hasard grâce au stratagème et aux déguisements. L’amour devient alors déraisonnable et soumis au hasard. Cet amour est éprouvé de façon inattendue par les personnages, presque contre leur grés, car ils aiment chacun quelqu’un

Dorante survenant, Arlequin ne lui révèle pas le secret du déguisement des jeunes femmes : il peut ainsi continuer à se jouer de son maître, s'amuser à mystifier celui qui est le dernier à ne pas savoir, à prendre une revanche sur lui, en lui faisant croire qu’il va épouser la fille de la maison alors que lui, qui s’étonne du succès de son valet auprès de la fausse Silvia, se contente d’une «chambrière». La rivalité comique entre maître et valet atteint son point culminant. Arlequin parle d’une

son marie destine Dorante avait le même idée que-elle. Il changea de place avec son servant Arlequin pour aussi observer son future épouse. Seul le père et le frère de Silvia, Orgon et Mario connaissent l’identité des quatre acteurs. Silvia et Dorante, sans savoir l’identité de l’autre tombe en amour avec l’autre, mais le risque de tomber en amour avec une personne de groupe social inferieur devient un obstacle pour les deux acteurs. Dans l’autre cote, Lisette et Arlequin tombe en amour aussi

puis, en second temps, le comique et le jeu du langage mis en place dans cette scène. Pour débuter, il faut rappeler qu'Arlequin, le valet de Dorante se prenant pour le maitre sous la demande de ce dernier afin de mieux connaître sa destiner a avouer son amour a Lisette dans la Scène , qui elle même n'avait pu répondre a ce dernier. Arlequin avait du donc s'armer d'une stratégie afin que Lisette y réponde. C'est sous forme de question qu'il vise d'obtenir la réponse de Lisette à l'entrée

maitres, et meme pas oser, c‘etait maladoits, elle ne devait que ecouter les ordes concernant a sa tache et les obeir. Le comportement habituel entre Lisette et ces maître se reproduit encore quand elle informe Monsieur Orgon qu’elle a seduit pseudo-Dorante (Acte II, scene1). Une qualite de plus a remarquer, c’est celle de la comuincation et la franchise , ils vivent comme dans une vrai famille, parce que Lisette se preocupe du fait que le mari qui est destinee a sa maitresse soit a elle, pendant que

verbalisation des idées est une nécessité de cohabiter ave l’autre. D’une part, de peur d’ennuie ou d’embarrât comme dans Les fausse confidences quand Arlequin suggère à Dorante de discuter dans la scène I acte I : « si vous voulez, je vous tiendrai compagnie de peur que l’ennuie ne vous prenne… ». Sans oublier qu’elle est considéré comme un signe de politesse (Arlequin : « nous avons ordre de madame d’être honnête… ». Et on ne peut pas nier que la parole est aussi un outil d’amorcer des relations de toute

ne le fait mieux que Le Jeu de l’amour et du hasard. En effet, cette œuvre de Marivaux écrite au XVII ème siècle met en jeu plusieurs doubles jeux de masques et de tromperies. Nous allons voir comment cette scène comique sert de leçon à Lisette et Arlequin, tout en provoquant une demande en mariage. Pour ce faire, nous étudierons en quoi cette scène est comique, puis nous verrons l ‘évolution de s sentiments de ces deux jeunes tourtereaux pour enfin voir la leçon qui est apprises par les deux valets