Arlequin poli par l'amour

Les Fausses Confidences 1737MarivauxL'auteur :Sa carrière : De son vrai nom Pierre Carlet , il n’était pas noble. La création de son nom Marivaux donne lieu à de nombreux dérivés : marivauder, marivaudage, marivaudien… Né à Paris à la fin du XVIIème siècle, il entreprend des études de droit dès 1710, et en 1712 = sa première comédie (Le Père prudent et équitable) . Dans la Querelle dite des anciens et des modernes, Marivaux se range du côté des Modernes

salons littéraires, dont celui de Madame Lambert où brille l'esprit des Modernes. Ruiné, il se tourne vers le théâtre. Il publie sa première comédie à 24 ans, Le père prudent et équitable et rencontre son premier gros succès en 1720 avec Arlequin poli par l'amour . Moraliste et analyste de la société, il crée plusieurs journaux, dont il est le seul rédacteur et dans lesquels il s'attache à chroniquer son époque. *Racine*(1639-1699) Orphelin dès son jeune âge, Jean racine est élevé chez les

que les auteurs doivent innover. Il est ruiné par la banqueroute de Law en 1720 est alors obligé de travailler. Il ouvre un journal qu'il clos en 1724: Le Spectateur françois, il est le seul rédacteur. Son premier succès au théâtre est Arlequin poli par l'amour en 1720. Il fait de nombreuses comédies au théâtre qui reprennent la devise de la comédie ''castigat ridendo mores'' qui signifie : corriger les mœurs par le rire. Il fait un travaille de moraliste et organise ses œuvres autour d'un thème

de l’essentiel de son œuvre La jeunesse de Marivaux se déroule sous la seconde partie de Louis XIV (1661-1715) et commence à se faire connaître lors de la régence de Philippe d'Orléans grâce à ses comédies ( La surprise de l'Amour ). Puis, l'essentiel de son œuvre se prolonge au début du règne de Louis XV qui est dirigé par le cardinal Fleury étant donné qu'il est trop jeune. Marivaux écrit dans différents genre dont le théâtre et les journaux (petits portrait

Monsieur Remy, procureur Madame Argante Arlequin, valet d’Araminte Dubois, ancien valet de Dorante Marton, suivante d’Araminte Le Comte Un domestique parlant Un garçon joaillier La scène est chez Madame Argante.ACTE I Scène 1 Dorante, Arlequin Arlequin, introduisant Dorante. – Ayez la bonté, Monsieur, de vous asseoir un moment dans cette salle1 ; Mademoiselle Marton est chez Madame et ne tardera pas à descendre. Dorante. – Je vous suis obligé2. Arlequin. –  Si vous voulez, je vous tiendrai compagnie

cornélien • Jean Racine Définitions : > pessimisme > janséniste > jansénisme > jésuites • Les critères du classicisme • Bérénice IV- Le théâtre du XVIII ème siècle • Beaumarchais • Le Barbier de Séville • Marivaux • Le jeu de l’amour et du hasard Définition : > marivaudage V- Le théâtre du XIX ème siècle, le drame romantique Définition : > vaudeville • Feydeau • Courteline VI- Le théâtre du XX ème siècle, le théâtre moderne • Ionesco > La Cantatrice chauve

possède ! Quand on est pas sages, il serre... On a ses doigts autour du cou, toujours, ça gêne pour parler, faut faire bien attention si on tient à pouvoir manger... Pour des riens, il vous étrangle... C'est pas une vie... - Il y a l'amour, Bardamu ! - Arthur, l'amour c'est l'infini mis à la portée des caniches et j'ai ma dignité moi ! que je lui réponds. L.F Céline :Voyage au bout de la nuit ( 1932) Texte 2 -Le maréchal des logis Barousse vient d’être tué, mon colonel, qu’il dit tout d’un

sur le théâtre avec Arlequin. Iphicrate Cela est vrai. Iphicrate, après avoir soupiré. Arlequin ! Arlequin Eh ! encore vit-on. Arlequin, avec une bouteille de vin qu'il a à sa ceinture. Mon patron ! Iphicrate Mais je suis en danger de perdre la liberté, et peut-être la vie : Arlequin, cela ne te suffit-il pas pour me plaindre ? Iphicrate Que deviendrons-nous dans cette île ? Arlequin, prenant sa bouteille pour boire. Ah ! je vous plains de tout mon cœur, cela est juste. Arlequin Nous deviendrons maigres

de Clèves. Il sentait tout ce que la passion peut faire sentir de plus agréable ; il aimait la plus aimable personne de la cour, il s'en faisait aimer malgré elle, et il voyait dans toutes ses actions cette sorte de trouble et d'embarras que cause l'amour dans l'innocence de la première jeunesse. Le soir, on chercha ce portrait avec beaucoup de soin ; comme on trouvait la boîte où il devait être, l'on ne soupçonna point qu'il eût été dérobé, et l'on crut qu'il était tombé par hasard. Monsieur de Clèves

de Clèves. Il sentait tout ce que la passion peut faire sentir de plus agréable ; il aimait la plus aimable personne de la cour, il s'en faisait aimer malgré elle, et il voyait dans toutes ses actions cette sorte de trouble et d'embarras que cause l'amour dans l'innocence de la première jeunesse. Le soir, on chercha ce portrait avec beaucoup de soin ; comme on trouvait la boîte où il devait être, l'on ne soupçonna point qu'il eût été dérobé, et l'on crut qu'il était tombé par hasard. Monsieur de Clèves