Armurier

bon? - Ben ouais, on enduit l'pépé de miel et zouuu toutes les mouches elle vont sur lui cré d'vin diou ! - Ah mais il doit gigoter dans tous les sens ... le pauvre !!? - Ah ben non ça ... l'est paralysé Un tireur d'élite entre chez son armurier pour acheter une nouvelle lunette de visée. Le gars lui présente un nouveau modèle super performant: Vous voyez la maison là-bas sur la colline à 3 km, c'est chez moi, utilisez la lunette vous y verrez comme si vous y étiez. Le tireur prend la

     Pourvu qu'il n'ait pas imaginé quelque cuirasse nouvelle, quelque cotte de mailles. Maudite invention ! Lutter avec Dieu et le diable, ce n'est rien; mais lutter avec des bouts de ferraille croisés les uns sur les autres par la main sale d'un armurier ! - Je passerai le second pour entrer; il posera son épée là, — ou là — oui, sur le canapé. — Quant à l'affaire du baudrier à rouler autour de la garde, cela est aisé. S'il pouvait lui prendre fantaisie de se coucher, voilà où serait le vrai moyen

pierres de Valréas, près d'Orange. La famille y était établie depuis plusieurs siècles. Page 12 D'où venaient-ils ? Sans doute d'Espagne, car j'ai retrouvé, dans les archives de la mairie, des Lespagnol, puis des Spagnol. De plus, ils étaient armuriers de père en fils, et dans les eaux fumantes de l'Ouvèze, ils trempaient des lames d'épées: occupation, comme chacun sait, noblement espagnole. Cependant, parce que la nécessité du courage a toujours été inversement proportionnelle à la distance

XIVème Siècle et restera en usage jusqu’à la fin du XVème Siècle et sera remplacée par l’armet. Vers la fin du XIVème Siècle, le bassinet aura une évolution définitive, « le museau de chien », particulièrement bien réussi entre 1390-1400 par les armuriers italiens. Au début du XVème Siècle, l’ultime perfectionnement du bassinet était de rajouter des plaques pour mieux protéger la gorge. Le grand bassinet était né. La Chapel de fer était une sorte de casque généralement en forme de dôme fait de

lorsqu’il est avisé immédiatement par l’officier de police judiciaire. Ce magistrat peut se transporter sur les lieux, dans le but d’instrumenter lui-même. Il peut alors requérir l’assistance de « tous hommes de l’art, qu’ils soient mécaniciens, armuriers, photographes ou de toute autre spécialité. Il requiert surtout un médecin aux fins d’effectuer une recherche des causes physiologiques des blessures. Pour ce faire, il leur fait prêter serment. Il recherche les causes des blessures en procédant

défense mutuelle (les ghildes ou les hanses) dont l’objectif est corporatif. Les habitants de ces villes sont des artisans, des commerçants dont les activités, métiers obéissent à une règlementation stricte. Parmi eux on retrouve les cordonniers, les armuriers, les maréchaux-ferrants, les tisserands… En effet, il est dit dans le règlement qui nous est présenté «  quiconque veut être cordonnier à Paris doit acheter le métier du roi » (ligne1). 2) L’emprise du roi sur son domaine Paris étant une

mouvement. Il se situe à une époque charnière entre le Moyen-Age et la Renaissance. Peut-on dire qu’il fasse partie de la Renaissance ? Bosch vécut au même moment que Léonard de Vinçi (1452-1519) qui était à la fois peintre, technicien, ingénieur, armurier, anatomiste et astronome. Bosch n’avait pas tous ces talents du parfait humaniste du Quattrocento. Ainsi on place souvent Bosch comme un artiste du Moyen-Age. Ses idées plutôt pessimistes et ses scènes moralistes contribuèrent énormément

Espagne étaient montées en France: d’innombrables ateliers fabriquaient des lames qui étaient par la suite exportées et assemblées dans des pays parfois très éloignés de leur lieu d’origine. Les meilleurs ateliers, dirigés par des maîtres armuriers, garantissaient la bonne qualité de leur produit en signant la lame ou bien en y apposant leur propre marque de fabrique. Nombreuses sont ces lames qui nous sont parvenues; toutefois elles n’ont pas toutes la même valeur car la falsification des

Pourvu qu’il n’ait pas imaginé quelque cuirasse nouvelle, quelque cotte de mailles. Maudite invention ! Lutter avec Dieu et le diable, ce n’est rien; mais lutter avec des bouts de ferraille croisés les uns sur les autres par la main sale d’un armurier ! - Je passerai le second pour entrer; il posera son épée là, - ou là - oui, sur le canapé. - Quant à l’affaire du baudrier à rouler autour de la garde, cela est aisé. S’il pouvait lui prendre fantaisie de se coucher, voilà où serait le vrai moyen

Sultane | Reine mère. Elle dirige le harem. Son rôle politique, nul d'abord, ne cesse de croître à partir du XVIe s. | L'armée constitue le principal instrument du pouvoir. On y distingue des troupes appointées par l'État – fantassins, janissaires, armuriers, canonniers et cavaliers –, des troupes provinciales mobilisées de façon saisonnière et rétribuées par les titulaires de « fiefs » (timariotes), ainsi que des troupes irrégulières. Les revenus de l'État sont assurés par des impôts qui frappent les