Armée Carolingienne

Les structures de l’Empire Carolingien. →Administration, Eglise, Vassalité. I. L’Etat Carolingien. A. Le Gouvernement central. Le Palais, à la fois la maison du roi et le service public, il est itinérant de villa en villa. Le gouvernement se déplace de palais en palais pour consommer sur place les produits. Résident à Aix La Chapelle en 790-800. La chapelle est le lieu du service religieux et des gens instruits (notaire), une chancellerie où sont rédigé les écrits

occidental. Cet ouvrage est la production de deux membres du clergé. Prudence, évêque de Troyes, commence à rédiger de 829 à 861 puis Hincmar, archevêque de Reims, continue la rédaction de cette oeuvre jusqu’en 882. Au IX ème siècle, la dynastie carolingienne est à la tête du royaume franc. De 814 à 840, Louis Le Pieux, fils de Charlemagne, est roi des Francs. Ce roi a quatre fils, nommés Lothaire, Louis, Pépin et Charles. Ne souhaitant pas de division du pouvoir, Louis I instaure en 817 l’Ordinatio

La clausule du sacre de Pépin le bref. Plan détaillé : I- La monarchie carolingienne légitimée par le sacre. - Le sacre confère au monarque une assise légitime sur son trône : Il est l’élue de Dieu, choisi pour ses qualités. - Il investit le monarque d’une mission spirituelle : un pouvoir spirituel vient donc compléter son pouvoir temporel. A- Les origines divines du pourvoir royal. - Le roi est légitimé par le sacre : Il gouverne un peuple chrétien et est le représentant

Rois de France, Pépin Le Bref, père de Charlemagne, Paris, Pygmalion 2001 Dictionnaire : ● P. RICHE et P. PERIN, Dictionnaire de Francs, Les temps Mérovingiens, Paris, Bartillat 1996 Audio : ● B. DUMEZIL, Histoire de France, Des gaulois aux Carolingiens, Paris, PUF

dignité impériale en orient. II) La royauté franque (carolingienne), rempart de la chrétienté. A) La dignité royale octroyée par le christ surpassant les deux autres. B) La mission divine de Charlemagne.  À travers cette lettre datant de juin799, alcuin va diffuser son idéologie. Ce dernier est un moine (clerc) anglo-saxon . Conseiller de charlemagne .  expose donc, ici, la conception du pouvoir royal à l'époque carolingienne . Problématique: La hiérarchie des charges et l'attribution

Capétiens. La période médiévale classique concerne cinq siècles de notre Histoire. Elle commence avec la dynastie capétienne. En 987 meurt le dernier Carolingien (Louis V), sans descendance. C’est son plus proche parent qui vient revendiquer la succession, son oncle Charles de Lorraine qui est lui-même un Carolingien. Depuis 888, Carolingiens et Robertiens se succèdent sur le trône de France. Cette succession commence à agacer un homme, l’archevêque Adalbéron de Reims. Il choisit de privilégier

est faible territorialement & politiquement mais en tout cas, lui seul est sacré. Il va lui donné une position particulière, lui octroie une place à part, notamment grâce à l'Eglise. I/ Les avantages conférés par le sacre Le sacre date des carolingiens en France, en 751 par PLB. Ce sacre ne va plus connaître d'interruption jusqu'au XIXème siècle, sauf Louis XVIII (un des 2 frères de Louis XVI) . On dit que le sacre à cette époque est constitutif de royauté, c'est-à-dire que c'est le sacre qui

(888-vers 1110) Cours et TD assurés par : Anne-Marie Helvétius Laurence Moulinier Nicolas Weill-Parot L’intitulé place au centre de la réflexion l’articulation entre l’évolution des pouvoirs et l’institution ecclésiale de la fin de l’empire carolingien à la réforme dite grégorienne, dans une perspective comparatiste soucieuse de repérer et de comprendre les convergences et les différences entre les différents royaumes occidentaux issus du monde franc. Il s’agit d’analyser, sur la longue durée

période du Moyen-Âge comprise entre la fin du IXème siècle et le XIIIème siècle qui voit, dans le royaume de France, le déclin de l’organisation politique et institutionnelle centralisée héritée des royautés mérovingienne (Vème-VIIIème siècles) et carolingienne (VIIIème-IXème siècles) au profit de l’instauration d’un système politique, économique, social qui repose sur quelques piliers : hiérarchie des hommes et des terres, domination d’une aristocratie guerrière (les seigneurs) et morcellement de l’autorité

Même si le Japon a connu une structure comparable, la féodalité reste une spécificité occidentale. Elle se développe pour résoudre la violence née de la dissolution de la monarchie carolingienne et de l’émiettement de l’autorité, ou ban public, en une multitude de circonscriptions territoriales. Les rois carolingiens du IXe siècle, en déléguant leurs pouvoirs aux ducs et aux marquis pour conduire les hommes libres à la guerre, et aux comtes pour présider les assemblées de justice, utilisent les