Arnolphe Comique

principaux pour dénoncer un caractère de société qui est la jalousie. Arnolphe élève Agnès dans l’ignorance pour sois disons la préservée des perversités de la société et se marier avec elle par la suite, mais la naïveté de cette dernière la mène vers le cocuage avec un certain Horace. Le quiproquo entre Arnolphe et Horace constitue tout le comique de la scène 6de l’acte IV qui nous est été proposé. En effet Horace se confit à Arnolphe et avoue ses plans avec Agnès sans qu’il sache que celui-ci est finalement

xviie siècle, L’École des femmes entre parfaitement dans le cadre du programme de français en seconde. Œuvre riche mais accessible, son étude permettra par ailleurs de « faire connaître les caractéristiques du genre théâtral et les effets propres au comique », comme le recommandent les textes officiels. La pièce peut aussi être abordée en classe de première, dans le cadre de l’objet d’étude « Le texte théâtral et sa représentation », dans la mesure où elle offre un champ d’interprétation assez varié

Le premier texte, les Fourberies de Scapin, écrit par Molière en 1671, est une pièce de théâtre comique du classicisme. Dans ce texte, le valet, pour se venger de son maître, cache se dernier dans un sac en lui faisant croire que des rivaux veulent le tuer. Le deuxième texte, Arlequin serviteur de deux maîtres, écrit par Carlo Goldoni en 1753 dans le siècle des lumières, est un texte théâtral comique. Le valet, Arlequin, est arrivé à servir deux maîtres. Ces deux derniers négligent le fait que leur

théâtre. Nous retrouvons notamment ce thème tout au long de son livre «L’école des Femmes». Dans notre analyse, nous parlerons de trois grands quiproquos. Celui entre Arnolphe et Horace, puis celui entre Agnès et Arnolphe et terminerons avec le quiproquo entre Agnès et Horace. Premièrement nous allons aborder le quiproquo entre Arnolphe et Horace, celui qui est le plus présent de toute l’histoire. D’ailleurs toute l’intrigue de l’histoire est basée sur ce quiproquo. Dans ce mal entendu, Horace fait

le metteur en scène. => Gestuelle très importante : différencie les deux personnages. Jean doit être très strict, voire sévère vs Béranger. L'attitude des deux personnages est très différente > trahit leur caractère. • La diction peut favoriser le comique. Le metteur en scène peut faire en sorte que chaque personnage ait sa façon de parler (tics de langages, accents...) et insiste sur les exagérations, répétitions de mots. • Donnez un exemple de votre culture personnelle qui montre cela. En quoi

la protéger en la confiant à celui qu’il considère comme un ami, il la remet sans le savoir entre les mains de celui-là même qui la séquestrait. Le jeune homme s’éclipse laissant ainsi sa bien-aimée dans une situation critique, qui pourrait être comique si on était dans le registre de la farce, mais étant donné les accents élégiaques de la scène de séparation, ce qui attend Agnès ne peut que faire frémir un spectateur au fait du quiproquo. Cette scène, ultime péripétie avant le dénouement de la pièce

obsédé par le cocuage, monomaniaque utopiste qui veut, contre tout et tous affirmer que son système est le bon 1 / Arnolphe est hanté par la crainte d’être cocu. Pour échapper aux misères du cocuage, le barbon Arnolphe a décidé d’épouser sa pupille, recueillie dès l’âge de 4 ans et qu’il a pris soin d’élever dans une complète ignorance des réalités de l’amour et du monde. Donc Arnolphe est aux prises avec une jalousie dévorante (Acte II, scène 5). Le langage qu'il utilise dans le monologue lorsqu'il

LES ASPECTS COMIQUES D’UNE PIECE DE THEATRE NE SERVENT ILS QU’A FAIRE RIRE ? La comédie, Du latin comoedia est un genre théâtral venant du latin mimesis, fonctionnant sur le registre de l'humour. L’humour est une  forme d'esprit qui souligne avec ironie et détachement les aspects plaisants, drôles et insolites de la réalité. La comédie est née durant l’Antiquité grecque. On dit que la période d’éclat de la comédie se situe dans la seconde moitié du XVIIème siècle. Elle est jouée en en

Le registre comique est l'ensemble des éléments propres à distraire et à amuser le public. Au xviie siècle, le terme « comique » ne désigne pas prioritairement une œuvre amusante mais une œuvre traitant de sujets médiocres, mettant en scène des personnages n'étant ni des dieux, ni des nobles, ni des personnages fantastiques mais appartenant à la bourgeoisie ou au peuple1. On parle alors d'histoire comique. En ce sens, il existe des comédies où le registre comique n'est guère perceptible (les comédies

en place d’un quiproquo. 2) Une jeune fille naïve et soumise mais amoureuse. 3) Arnolphe : un personnage autoritaire. Molière célèbre auteur dramatique et comédien du 17ième siècle, il est le maître de la comédie satirique. L’École des femmes est une comédie en cinq actes comportant 1779 vers dont 1737 alexandrins. Molière a ici mis en place un comique pathétique puisque Arnolphe est ridicule dans ce qu’il entreprend c’est-à-dire rendre une femme bête à souhait pour ne