Arnolphe Comique

Conclusion générale sur le comique théâtral. Les différentes sortes de comiques Comment créer ces comiques dans un texte ? Le comique de situation. Par exemple : Dans l'Ecole des Femmes de Molière, il est amusant de voir Horace confier son amour pour Agnès à Arnolphe qui a justement décidé de l'épouser en secret : ce dernier doit supporter d'entendre ces confidences qui attisent sa jalousie pour essayer de déjouer les plans d'Horace. Ce comique réside dans la situation incongrue ou paradoxale

miroir grossissant des défauts humains. L’auteur met en scène les situations anormales, qui prêtent à rire et qui vont refléter les défauts ou les vices d’un personnage, tirées de la société de son temps. C’est ce qui se passe avec l’école des femmes, Arnolphe, vieux et sarcastique envers ses proches dans le domaine de la fidélité veut se protéger en élevant une jeune fille pour se garantir sa fidélité ; « Choisir une moitié qui tienne tout de moi, (…) Dans un petit couvent loin de toute pratique

comédie : →l’emprise ou le désir de domination masculine sur la femme →la peur de perdre l’être aimé, d’en être trompé (peur sous-jacente du stratagème d’Ar, scène 1) Sens et intérêt de l’extrait Principe : on provoque ce que l’on craint Arnolphe : étymologie basée sur le stéréotype du mari trompé : Arnoul, saint patron des cocus Le stratagème d’Ar échouera car on étouffe ni une femme, ni la vie. C’est ce à quoi nous assisterons dans cette scène. Ar arrive fou de rage, et c’est là

masculin de posséder une femme : par exemple, Arnolphe qui a fait élever Agnès au couvent afin de la faire sienne. Enfin, vous pouvez désormais souligner que le point commun présent dans les quatre scènes proposées est le rapport de l’homme voulant jouer de son pouvoir afin d’épouser ou de garder à ses côtés une femme qu’il choisit, sans égard pour les sentiments de cette dernière. « L’Ecole des femmes » de Molière appartient au registre comique (Citez quelques vers permettant de justifier

ingénue et innocente. Malgré tous ces efforts pour la garder à l'écart du monde Agnès fait une rencontre. Arnolphe vient de le découvrir et le prrétendant, Horace, n'est autre que le fils d'un de ces vieux amis. Il l'apprendra d'ailleurs de la bouche de celui-ci, Horace ne sachant pas qu'Arnolphe se fait aussi appelé M.de la Souche. Après avoir ressenti toutes les affres de la jalousie, Arnolphe décide de cacher sa colère et de s'en entretenir avec Agnès directement afin comme il le dit "que les soupçons

le pûblic. En effet il eiste de nombreux comiques pour cela,comme le farcesque qui montre le ridicule de certains personnages qui sont pareils a Harpagon dans L'Avare lorsqu'il perd son argent et se met dans des états pathétiques. Il y a aussi le comique de situation avec tous les quiproquos que Molière arrivait très bien a mettre en place; on peut le voir dans L'Ecole des femmes quand Horace prend pour confident Arnolphe, son rival. Ou encore le comique de mots basés sur un language, certains mots

résistance qu'il leur oppose. Le discours tragique est ainsi caractérisé par le lexique de la fatalité et du désespoir. comédie : Pièce de théâtre en un, trois ou cinq actes dont le but est de faire rire le public. Différentes formes de comique sont ainsi utilisées (comique de geste, de mots, de situation…). La comédie met principalement en scène des bourgeois dont les préoccupations sont l’argent, le mariage, la dot, etc. Dans les comédies de Molière, le rire a aussi une fonction morale : docere et placere

les autres ont de lui (Tartuffe n’entre en scène que très tard). Ici, Molière a choisi de faire parler d’emblée son personnage pour qu’éclate au grand jour son caractère d’atrabilaire, d’autant mieux « typé » qu’il entre en contraste (d’où un effet comique) avec celui du mondain Philinte. 2. La satire de caractère Le caractère du Misanthrope est ambivalent. D’une part on peut y voir un idéaliste, un défenseur acharné de la vertu propre à s’attirer l’admiration de tous. Son rigorisme moral se manifeste

bourgeois sache reconnaître sa place dans la société et n'essaye pas d'en sortir. IV.  Le Comique: Il n'y a pas de situation comique en soi; le comique dépend de l'actualisation.  On a souvent montré l'identité entre la situation de base d'une comédie et celle d'une tragédie.  Le problème pour l'auteur comique est donc, à partir de cette situation de départ, de faire apparaître le rire, d'instaurer le mode comique. Le rire est une réaction instinctuelle, une réponse-réflexe.  Par exemple: La répétition

d'être jouées afin de prendre vie. Certaines comédies jouent sur des comiques qui imposent que la pièce soit jouée pour qu'ils fonctionnent. C'est le cas du comique de gestes qui consiste à faire des gestes cocasses dans une pièce de théâtre afin de provoquer le rire chez le lecteur ou le spectateur. S'il se repère par des didascalies à la lecture du texte l'effet n'est pas du tout le même et le comique peut être atténué. Ce comique de gestes est extrêment présent dans Les Fourberies de Scapin de Molière