Arnolphe Est Il Un Personnage Comique

naissance de la Comédie-Française. Comique et comédie au XVIIe siècle: Molière L’œuvre OBJECTIFS On peut donc distinguer plusieurs périodes dans l’œuvre de Molière. • analyser l’écriture de la comédie classique • étudier la comédie d’intrigue, la comédie de caractère et la comédie de mœurs • distinguer comique et comédie • Les comédies d’intrigue (fondées sur les rebondissements d’une action enlevée, avec des ressorts proches de la farce et de son comique grossier) : Le Dépit amoureux

principalement destinée à amuser et distraire. En effet quand une personne va au théâtre pour voir une comédie c’est qu’elle désire se détendre, passer un moment agréable et surtout rire des personnages qui sont ridiculisés. D’ailleurs tout le monde connait au moins une pièce ou ne serait ce qu’un personnage que Molière a inventé et mit et scène et cela grâce aux scènes mythiques de ses pièces. En effet la comédie est tout le contraire de l’ennui, du sérieux, de la pensée et même de la réflexion

par exemple - tant de place au comique. Auteurs, metteurs en scène, acteurs «jouent» des aspects comiques de leur création avec des intentions variées. Le comique au théâtre - et sur scène - répond d'abord au premier objectif du théâtre qui est de divertir le spectateur. Mais il remplit aussi sur scène une fonction dramatique dans la progression d'une pièce par l’état d'esprit qu'il suscite chez le spectateur pour le préparer à des changements de registre. Le comique enfin peut avoir - paradoxalement-

INTRODUCTION : Jean-Baptiste Poquelin, dit Molière, a marqué l’histoire du théâtre et de la comédie française. Auteur le plus joué encore à l’heure d’aujourd’hui, Molière s’est distingué par des pièces qui mêlent le comique, le pathétique et la critique. Il faisait du rire une arme pour combattre les mœurs et les contraintes de son époque. Les grandes comedie de moliere sont au nombre de quatre. Toutes écrites dans la même période de sa vie, entre 1662 et 1666, elles abordent de graves problèmes

deux personnages. I- Exprimer le conflit par les ressources scéniques - la voix, le ton, l'expression du visage : émotion de Phèdre face à Hippolyte lors de son aveu/ le ton moqueur, impertinent de La Flèche qui titille l'avarice de son maître dans la scène de la fouille corporelle/ Pyrrhus implorant Andromaque de lui retourner son amour « Puis-je espérer encore/ Que vous accepterez un cœur qui vous adore ? » - la gestuelle, le déplacement dans l'espace : Harpagon fouillant Le Flèche, comique de

ont échoué. Horace a même réussi à enlever la jeune fille. Mais, toujours confiant en l'amitié d'Arnolphe, il lui confie Agnès. Arnolphe, “_le nez dans son manteau_” pour qu'Agnès ne le reconnaisse pas, l'entraîne. [Lecture du passage…] I) Agnès dominante A) La leçon d’Agnès (en 3 arguments) La ponctuation forte révèle une situation tendue entre Agnès et Arnolphe =) modalités exclamatives/interrogatives qui créer la colère/dépit d’Arnolphe V1509-1510-1511 vers de manières bien organisées

monologue révèle-t-il une crise intérieure du personnage d’Arnolphe ? I – Les sentiments d’Arnolphe. 1) La souffrance. i) Le champ lexical de la souffrance omniprésent. ii) Il donne un aspect tragique à sa tirade. 1) La colère i) Ses invectives lancées à l’encontre d’Horace et d’Agnès. ii) Une colère retournée contre lui-même. 1) La jalousie. i) La jalousie qu'il éprouve à l'encontre d'Horace. II – Un personnage avec de multiples caractères. 1) Un personnage tout d’abord, pathétique. i) Il cherche à

«  _Ce week-end je suis allé au théâtre, j'ai vu deux magnifiques pièces comiques écrites par Molière, le Misanthrope et l’École des Femmes, dit le premier. _ Moi aussi je les ai vues, et pour tout te dire, elle ne m'ont pas beaucoup fait rire. Je n'ai pas rit, mais cela m'a tout de même touché, répondit le deuxième. _ Mais pourquoi donc ? D'abord j'ai adoré le contexte de l’École des femmes, comment Arnolphe aimant à rire des cocus et tellement sur de lui, fut contraint de constater

Agnès. : Il faut étudier le personnage d’Agnès dans son évolution Evolution remarquable et rapide de la jeune  gourde à la femme émancipée. Explicable certes par sa naissance qui l’a dotée d’intelligence, par son absence d’éducation qui a maintenu jusque là son intelligence en friche, par la nature elle-même qui s’impose sous l’impulsion de sens réveillés, voire révélés par l’émoi amoureux. Néanmoins cette évolution est difficilement vraisemblable en si peu de temps. Les critiques en reprocheront

I / Arnolphe 1 / Un homme égocentré, qui impose sa vision des choses 2 / Sa conception de l’épouse idéaleII / Agnès 1 / Une enfant du peuple d’un bon naturel 2 / Une jeune fille façonnée à l’écart du mondeIII / Les prises de position de Molière 1 / Il se moque des bourgeois suffisants 2 / Il dénonce les mariages arrangésLukas Ruffenach 1eFFrançais Au XVIIe siècle, le genre littéraire dominant était le théâtre. Il y avait deux types de pièces : les comédies