Arnolphe Personnage Sur De Lui

le 15 janvier 1622, sous le nom de Jean-Baptiste Poquelin et décéda la nuit du 17 février en 1673. Célèbre dramaturge classique qu'il était, il est l'auteur de « L'école des femmes » écrit en 1662. Cette pièce compte les mésaventures de l'oncle Arnolphe fou amoureux de sa nièce Agnès. Pour bâtir sa comédie, Molière s'est basé sur les mœurs de la société. En quoi « L'école des femmes » n'a pas que pour fonction le divertissement ? Dans un premier temps, nous aborderons les différents types de

des femmes Arnolphe, aussi appel M. de La Souche, est un homme dge mr qui aimerait savourer du bonheur conjugal, mais il est hant par la crainte dtre tromp par une femme. Aussi a-t-il dcid dpouser sa pupille Agns, leve dans lignorance, recluse dans un couvent. Il fait part de ses projets son ami Chrysalde, qui dsapprouve la faon dont la jeune fille a t tenue lcart des ralits. Horace, fils dOronte (un autre ami dArnolphe), est tomb amoureux dAgns au premier regard il se confie Arnolphe dont il ignore

L’évolution du personnage d’Agnès dans L’école Des Femmes. L'acte 1 scène 1 présente Agnès, sans qu'elle ne paraisse en scène. Son “innocence” a été soulignée par Arnolphe, ainsi que son ignorance (vers 70) : « Et celle que j’épouse, a toute l’innocence ». Dans ce premier acte Agnès est tout aussi naïve que sans esprits. Agnès remplira donc les obligations traditionnelles de la femme, destinée à la maintenir dans la soumission et dans l’ignorance. Elle se dévouera totalement à son époux, avec pour

du grottesque. Tous ces éléments nous renvoient à un Arnolphe peut humain car il n’y a pas de sentiments qui ressorte de celui-ci. Dans cette mise en scène, Agnès est très simple d’esprit. Nous pouvons donc dire que le metteur en scène a interpréter l’oeuvre de Molière comme une oeuvre comique avec des sentiments (pathétiques) non exprimés. Dans la deuxième représentation avec Arditi, le décor est très simplifié (fond noir), les personnages sont très neutre avec des vêtements également simplifiés

scandales sous la pression des devôts. Arnolphe apprend qu'Horace est tombé amoureux ainsi qu' Agnes. Grâce a la confiance qu'Horace lui accorde Arnolphe apprend l'amour naissant entre Horace et Agnès. Jaloux, Arnolphe interdit donc à la jeune fille de voir Horace car lui aussi veut l'épouser quelque soit ses sentiments, en profitant donc de sa soumission. A la scène 4, les confidences d'Horace vont changer les plans d'Arnolphe. Dans une premère partie Arnolphe est triomphant face a l'échec d'Horace

point de vue d’Arnolphe. Le premier aparté indique une satisfaction d’Arnolphe de constater la naïveté d’Agnès. Quant au second aparté, Arnolphe peut communiquer sa frustration au public sans en informer la principale intéressée Agnès. Enfin, la tirade d’Agnès (du vers 484 au vers 510) indique un basculement, une importance de son propos, elle devient le personnage que l’on écoute dans cette scène. Son argumentation défensive est uniquement ponctuée de « fort bien » d’Arnolphe qui l’incite à continuer

combattre les mœurs et les contraintes de son époque. Au rang du plus grand artiste de l’époque, il écrit des ouvrages qui ont de grands succès à son époque et L’école des femmes en fait partie. Cette comédie écrite en cinq actes et en vers raconte que Arnolphe à envoyé une jeune fille qui se nomme Agnès dans un couvent dès son jeune âge pour pouvoir l’épouser plus tard mais celle-ci tombe amoureuse d’Horace qui est le fils d’un ami d’Arnolphe. Nous sommes à l’acte III lorsque ce dernier annonce à Agnès

Agnès et Arnolphe, le camp de la jeune fille et de son « blondin », beaux et jeunes VS le camp du vieux barbon, ridicule et égoïste. => Les spectateurs soutiennent les jeunes ! Chaque acte montre une progression de l’un des deux camps jusqu’à la victoire finale des deux amoureux, sous le regard content du public. • NB : en Grèce, les acteurs portaient des masques qui permettaient de différencier les personnages (mais aussi leur rôle, leurs humeurs…). Facile au théâtre d’opposer les personnages : jeu

médiocres, mettant en scène des personnages n'étant ni des dieux, ni des nobles, ni des personnages fantastiques mais appartenant à la bourgeoisie ou au peuple1. On parle alors d'histoire comique. En ce sens, il existe des comédies où le registre comique n'est guère perceptible (les comédies de Corneille, par exemple). À l'opéra, un opéra-comique désigne un opéra dont certains passages sont parlés, dont les personnages principaux ne sont ni des dieux, ni des personnages fantastiques, ni des nobles.

Résumé : L’École des femmes de Molière (1661) Arnolphe prétend qu’une femme ne peut être sage et vertueuse qu’autant qu’elle est ignorante et niaise. Aussi, pour avoir une épouse à sa guise, il fait élever sa jeune pupille, Agnès, au fond de sa maison, sous la garde d’un valet et d’une servante aussi niais qu’elle. La jeune Agnès, qui a été élevée dans la plus grossière ignorance, se fatigue bientôt de l’isolement où on la retient. S’étant mise un jour à la fenêtre, elle aperçoit un beau jeune homme