Arnolphe Personnage Sur De Lui

ses lois nettement fixées. La farce est une pièce en un acte. L’intrigue est très simple : un mauvais tour joué à un sot (ou à une sotte). Les personnages sont des types ; pour comprendre ce trait capital, il est bon de se rappeler les types comiques du cinéma, à l’époque de Max Linder et de Charles Chaplin. De pièce en pièce, on retrouve certains personnages, avec les mêmes noms, les mêmes silhouettes, les mêmes tics ; pour mieux marquer ce caractère « typique », ils portent souvent un masque qu’ils

ne consiste qu'en un seul monologue d'Arnolphe où il exprime son vœu final de se battre jusqu'au bout pour l'amour d'Agnès. En effet, ce passage se situe après la déclaration d'amour d'Agnès envers Horace ce qui bouleverse profondément le pauvre Arnolphe qui se rend compte par la même occasion qu'il est tombé amoureux de sa protégée. Le fait que la scène se situe juste après l'entracte est important, cela laisse au spectateur la possibilité de faire marcher son imagination sur ce qu'il a pu se passer

connaître. Effectivement, grâce au théâtre, on en apprend sur nous-même en s'identifiant à travers les personnages. Par exemple, des adolescents comme nous, peuvent se reconnaître à travers Antigone, qui se rebelle contre l'autorité. De plus, certaines scènes du théâtre reflètent des moments de la vie quotidienne que l'on peut vivre ou avoir vécu. Par exemple, dans les tragédies les personnages sont souvent confrontés a des choix difficiles. En allant au théâtre, on peut se poser des questions sur

lumières qui favorisent l’écoute en créant un espace magique. De plus, la double énonciation permet au dramaturge de s’adresser aux lecteurs-spectateurs par l’intermédiaire du dialogue que prononcent les acteurs : chaque réplique s’adresse à un personnage , certes, mais surtout au lecteur-spectateur, ce phénomène étant particulièrement nets lors des monologues. Et le public réagit par le rire , par des émotions diverses, décuplées par le nombre. Il est donc indiscutable que le théâtre offre au dramaturge

condensé de tous les meurtres de rois 2) Théâtre engagé. Brecht, la distanciation : le spectateur ne s'identifie pas au personnage. Le spectateur est poussé à réfléchir. Par la suggestion de l'action (et non sa représentation), on obtient un rapprochement concret à la réalité. Ex : application de la distanciation de Brecht à l'Ecole des Femmes, dans la scène où Arnolphe demande à Agnès de lire les maximes sur les femmes. Le spectateur a alors un regard critique qui le rapproche de sa propre réalité

fidèle à la comédie classique dépeint le triomphe de la vérité et du bon sens. En effet, Molière commence par faire réaliser au personnage principal nommé Argan qu’il n’est pas réellement malade, il montre le vrai visage de la médecine et il termine en dévoilant les sentiments sincères des proches d’Argan. Dans un troisième temps, les vrais sentiments des personnages à l’égard d’Argan lui sont dévoilés dans les scènes douze et treize. En effet, après que Béline ait constaté qu’Argan était mort

l'essence même de l'Homme au travers de ses œuvres. Pour cela nous étudierons donc dans un premier temps l'impact sur le monde de la littérature avec premièrement les morales cachées dans certaines œuvres et deuxièmement la soif de découverte des personnages qui poussent le lecteur dans la même direction. Nous verrons dans un second temps que l'impact de la littérature n'est malheureusement pas aussi fort qu'il le pourrait car en effet le Monde ne cesse d'évoluer dans un climat de guerre et les mentalités

interprété le texte - le propre du chef d'oeuvre littéraire est de permettre plusieurs interprétations. Ex : le personnage d'Arnolphe, méchant homme qui élève sa pupille et future femme Agnès de façon la plus stupide afin de ne pas devenir un « cocu ». Pas sympathique : seul à la fin de la pièce, Agnès est heureuse avec un autre. Après les romantiques, des metteurs en scène ont plaint Arnolphe et l'ont rendu plus pathétique que méchant. III- Les limites de la mise en scène Le texte

ne reçoive pour intruction,que le stricte minimum . De façon à en faire une femme naïve, idiote et une épouse fidèle pour ne point devenir un homme cocu .Au début de la pièce Agnès est décrite comme étant un personnage restant dans L’innocence et l’ignorance soulignées par Arnolphe “la rendre idiote tant qu’il se pourrait “. Agnès est une belle et ravissante jeune fille aux cheveux brun âgé de 17 ans, au fur et à mesure de la pièce elle apprend a devenir une véritable femme selon SA perception

spectateur. Le théâtre suscite ces réactions en utilisant par exemple le Valets de comédie, qui est essentiellement le personnage sur lequel repose le comique. Il fait rire par son langage, par son jeu et par la manipulation de l’intrigue. Dans L’Ecole des Femmes de Molière, Alain et Georgette remplissent ce rôle. Dans la scène 3 de l’acte II, Alain explique à Georgette pourquoi Arnolphe est énervé, par la venue d’un autre homme qui séduit sa femme, en comparant la femme à un potage :