Arnolphe Un Personnage Ridicule

complexité et l'ambiguïté du rôle du personnage principal : Arnolphe. Outre les reproches faits à Molière par ses pairs à propos de la cohérence du personnage, de l'unité de lieu, qui viennent enrichir une connaissance de la comédie et de ses principes, le débat très ancien sur l'interprétation de L'Ecole des Femmes peut favoriser une véritable discussion au sein de la classe. Les élèves seront-ils sensibles au jeu pathétique, voire tragique que l'on donna à Arnolphe dès le XIXème siècle ? Feront-ils

mesure le comique s’inscrit-il dans le sauvetage de Daniel ? En premier lieu, le sauvetage de Daniel par Mr. Perrichon est central dans cet extrait, il est décrit comme tragique et héroïque et suscite de nombreuses réactions de la part des personnages. Tout d’abord, l’événement est décrit comme tragique. En effet, nous pouvons dans un premier temps observer une aposiopèse manifestée par des points de suspension « ne me parlez pas… c’est horrible ! ». Elle montre ici l’émotion qu’éprouve M. Perrichon

pûblic. En effet il eiste de nombreux comiques pour cela,comme le farcesque qui montre le ridicule de certains personnages qui sont pareils a Harpagon dans L'Avare lorsqu'il perd son argent et se met dans des états pathétiques. Il y a aussi le comique de situation avec tous les quiproquos que Molière arrivait très bien a mettre en place; on peut le voir dans L'Ecole des femmes quand Horace prend pour confident Arnolphe, son rival. Ou encore le comique de mots basés sur un language, certains mots ou expressions

voie publique : foire, pont, place… Ils présentent des farces, des scènes satiriques ou comiques qui font rire les passants. Ce sont des acteurs ambulants. Les acteurs permettent de faire vivre les personnages des textes. Un acteur est celui qui met en action le texte écrit ; il donne vie au personnage. Les acteurs sont essentiellement des hommes. Les acteurs étaient déconsidérés par l’église. Elle les excommuniait ; elle leur reprochait d’avoir une vie dissolue et immorale. Tabarin, bateleur (magicien-prestidigitateur)

étiquetées et vivent entre elles. +Auteur: Molière a déjà traité le sujet en 1659 avec « les précieuses ridicules ». Cette pièce ridiculise une mode aristocratique et élitiste qu’on appelle la « préciosité » (=mode mettant la femme à l’honneur, la beauté physique, intellectuelle et sociale). L’usage du beau langage devenu excessif, Molière se moque de ses personnages qu’il rend alors ridicules. Intro après lecture: Ce texte est extrait d’une pièce de théâtre en alexandrin ayant pour thème les

d'Agnès + mariage et Arnolphe écarté. B- Molière moraliste Au XVIIe siècle, Molière est le roi des comédies et cependant, il est profondément moraliste dans l'âme. Ainsi, il ne va pas écrire ses pièces uniquement pour faire rire. Il voulait faire « rire les honnêtes gens » mais il ne divertissait pas que pour divertir : par ses comédies, Molière dénonce le ridicule d'une société. * Critique les défauts des hommes et par exemple, l'hypocrisie Cf. Tartuffe. Évoquer le jeu des personnages entre l'hypocrite

« Les nuances des textes de littérature s'éclipsent ». Ce qui traduit de la forme du théatre utilisant un language orale qui laisse une place tres importante à la parole qui elle est toujours action. Les personnages ne s'exprime qu'a travers des dialogues, des interactions avec les autres personnages ; la stichomythie qui désigne la succession de répliques brèvent et la répartie qui se traduit aussi pars des répliques brèvent mais cinglante sont deux forme de dialogue qui guide le rythme et montre le

dans leur finalité, qui est le rire, et leur dénouement heureux en mettant en scène des personnages n'étant ni des dieux, ni des nobles, ni des personnages fantastiques mais appartenant à la bourgeoisie ou au peuple[ . Le registre comique s'applique à des sujets ordinaires, traités dans un style familier, où souvent domine l'intention satirique et morale : la comédie "châtie les mœurs en riant", tournant en ridicule  des caractères ou des vices à la mode. Puis petit à petit, en plus d’être relatif à

...) qui déclenche un sourire. Par exemple le comique de situation est mis en scène par une intrigue imaginée qui met en présence des personnages qui n'auraient pas dû se rencontrer, dans une situation particulièrement ridicule "dans l'Ecole des Femmes, Molière sait, grâce à son habileté et son écriture, amuser le public. Dans la scène 5 de l'acte II, Arnolphe, obsédé par la crainte d'être cocu, interroge Agnès qui vient de s'ouvrir à l'amour; le dramaturge utilise ici le quiproquo, et l'équivoque

procédés littéraires utilisés. Tout d'abord interviennent les personnages et leur rôle dans la pièce concernée. Dans les comédies de Molière notamment, les défauts humains sont poussés à leur paroxysme et les personnages sont si caricaturaux que le nom de chacun devient, par antonomase, un nom commun (un tartuffe, un dom juan). Lec lecteurs ont affaire à des pédants affectés (comme l'illustrent Les Femmes Savantes, Les Précieuses Ridicules), des faux dévots (comme dans Le Tartuffe), des hypocondriaques