Arret Chambre Criminelle Du 9 Juin 2009

Geneviève Schamps Kunnen Céline Premier quadri : mixe des slides, syllabus, notes et notes de strawberry TITRE 1 : LE DROIT PÉNAL CHAPITRE 1 : LA DÉFINITION ET LA DÉMARCHE DU DROIT PÉNAL Section 1 : Dénominations utilisées 1) Le phénomène criminel : il ne vise pas que les crimes mais la délinquance en général (= un comportement universellement réprimé, c.à.d. les trois types d’infractions : les crimes, les délits et les contraventions). La délinquance désigne donc les personnes qui ne respectent

nombreuses tentent à édicter des règles uniformes et spécialement dans le cadre européen. Par exemple, la convention de Rome sur la loi applicable aux obligations contractuelles devenue depuis peu de temps un règlement communautaire, le règlement du 17 juin 2008 sur la loi applicable aux obligations contractuelles. Mais, en dépit de cette multiplication des conventions internationales, les règles supra nationales demeurent tout de même l’exception. Le plus souvent, chaque Etat régit selon ses propres

- Comme garanties dans la relation autorité judiciaire/pouvoir législatif on trouve le fait que le juge doit appliquer la loi mais ne peut pas la remplacer. C’est la raison pour la quelle l’art 5 du code civil interdit au juge de rendre des arrêts de règlement (faire des lois). A l’inverse le pouvoir législatif ne peut pas modifier la loi en cours de procès. C’est un aspect du principe de la non rétroactivité de la loi . Le système juridictionnel français est très complexe. Il est soumis

limitaient aux questions de mariage et d’état civil). Les juridictions de droit spécial, quant à elles, étaient composées de prévôtés (qui sont les tribunaux consulaires en matière commerciale), de tribunaux d’amirauté (du domaine maritime) et de la Chambre des Comptes. L’ensemble des juridictions était chapoté par deux instances : le Parlement (qui avait un rôle de juridiction d’appel) et le Conseil des Parties (au côté du Roi). Un fonctionnement inégalitaire On souligne des difficultés :

limitaient aux questions de mariage et d’état civil). Les juridictions de droit spécial, quant à elles, étaient composées de prévôtés (qui sont les tribunaux consulaires en matière commerciale), de tribunaux d’amirauté (du domaine maritime) et de la Chambre des Comptes. L’ensemble des juridictions était chapoté par deux instances : le Parlement (qui avait un rôle de juridiction d’appel) et le Conseil des Parties (au côté du Roi). Un fonctionnement inégalitaire On souligne des difficultés : Les

ayant confondu des patientes avait provoqué une interruption involontaire de grossesse et n'avait pas été inculpé d'homicide involontaire car la Cour de cassation en chambre criminelle s'est refusé à cette dénonciation à cause de la non existence de la personnalité juridique pour l'embryon du fait qu'il n'était pas encore né. Dans son arrêt du 4 mai 2004, elle a fait valoir que le régime juridique de l'enfant à naître relève de textes particuliers à l'embryon et au fœtus et non de textes relatifs aux

juillet 2004 ................................................................................................ 9 Document 7 : Cass, Soc, 8 novembre 1990 ......................................................................................... 9 Document 8 : Cass, civ 3, 3 juillet 1979 .............................................................................................. 10 Document 9 : Conseil Constitutionnel, 7 novembre 1997 .......................................................... 11 Document

but d'organiser le procès entre 2 parties civiles. La PP: a pr effet la recherche de la protection d ela sté, l'auteur de l'infraction, et que des droits soient respecté. En // le phénomène judiciaire ne se présente pas de la mm manière entre les 2: 2009 = 2 600 000 en matière civile et 1,167 millions en matière pénale pr les condamnations. À cela s'ajoute les 8,2 millions d'amendes forfaitaire majorées. On a 10millions de décisions en matière pénale (nécessairement légère) pr le reste c'est bp. Les

les textes, l’on multiplie le nombre d’infractions. § 3 - la procédure pénale La procédure pénale est régie par le Code de Procédure Pénale, qui est entré en vigueur le 2 mars 1959 (il date de 1958). Avant 1959, l’on avait le Code d’Instruction Criminelle. A partir du moment où une infraction a été réalisée, ce sont toutes les règles applicables qui vont permettre ou ont pour objectif de condamner pénalement l’auteur et les complices. Mais ce n’est pas uniquement le jugement : la particularité de

militaire et paramilitaire et conseillers politiques étrangers ne relevant pas du Commandement des Nations Unies, ainsi que  les mercenaires visés au paragraphe 2 de la résolution 161 (1961) ». Le gras est de nous.  3 6 Or, durant la décennie 1999‐2009, le Conseil de sécurité emploie le chapitre VII de façon quasi‐ systématique. Les conséquences en sont très importantes vu que l’usage de la force armée n’est pas  le même selon que l’action d’une opération s’inscrit dans le cadre du chapitre VI ou du chapitre VII