Arret Cour Cassation 6 Janvier 1994

escrocrieL’escroquerie: Sommaire Règle de droit : 1 Types d’escroqueries 1 Les sanctions 5 Fiche d’arrêt 6 Règle de droit : C’est un délit qui consiste à s'approprier le bien d'autrui en usant de moyens frauduleux. Selon l’article 313-1 du Code pénal, " l'escroquerie est le fait, soit par l'usage d'un faux nom ou d'une fausse qualité, soit par l'abus d'une qualité vraie, soit par l'emploi de manœuvres frauduleuses, de tromper une personne physique ou morale et de la déterminer ainsi

: DI 1. Assignation. Demandeur : Citroen / Défendeur : Canal plus art 1382 CC DI 2. Décision tribunal : ? DI 3. Appel : ? DI 4. Décision cour d'appel : ? DI 5. Pourvoi : ? 02/04/97 6. Décision cour cassation : Civ 2 -> cassât. avec renvoi 09/02/99 CA Reims : résiste -> rejette la demande de la société Citroen 29/06/99 Arrêt rectificatif DI Pourvoi n 2 / Citroen 12/07/00 L'assemblée plein. rejette le pourvoi ( L'assemblée plein. ( constitué de plus de juges que les

dignitaires allemands, notamment en créant une juridiction internationale spéciale, le tribunal de Nuremberg. Ces juridictions ont comme particularité de ne pas être permanente, mais le problème était que tous les hauts responsables nazis n'avaient pu être arrêtés et jugés. Ainsi, les États vainqueurs devaient s’engager à juger sur leur territoire les dignitaires retrouvés après la fin du tribunal, les tribunaux nationaux devaient utiliser cette notion de crime contre l’humanité même si ce n’était pas une expression

> sujet : "L'embryon humain". Comme le relève le Professeur Gérard Mémeteau, Directeur du Centre de droit médical à la Faculté de Droit et des Sciences sociales de l'Université de Poitiers, dans un article paru dans le Recueil Dalloz Sirey, en 1994, "si l’on accepte l’idée qu’un Etat puisse dire aujourd’hui que l’embryon est un être humain sujet de droit, on accepte qu’un autre Etat puisse dire demain qu’il ne l’est plus. Juridiquement et humainement, rien n’est plus redoutable, car à la logique

et non frauduleux Il ne suffit pas de qualifier à plusieurs reprises cette convention de « convention d’occupation précaire » pour la faire échapper, par exemple, au statut d’ordre public des baux commerciaux, ou encore à celui instauré par la loi du 6 juillet 1989 sur les baux d’habitation. En effet, le motif invoqué pour justifier la précarité de cette convention doit être réel et légitime. Le terme de « précarité » peut prêter à confusion et laisser entendre que les conventions d’occupation précaire

Commentaire d’arrêt : Cass, crim. 17 janvier 2017 Dans un arrêt du 17 janvier 2017, la chambre criminelle de la Cour de Cassation a eu l’opportunité de s’exprimer sur les conséquences de l’acte de riposte. En l’espèce, à la suite d’un accident matériel de la route, l’un des conducteurs est sorti de son véhicule et a attrapé le second par le cou. Apeuré, ce dernier prend la fuite au volant de son véhicule et se réfugie dans un chantier. Mais, le premier conducteur a mis

août 2008 modifiant les dispositions du Titre IV du Livre IV du code de commerce relatives à la transparence, aux pratiques restrictives de concurrence et aux autres pratiques prohibées. Auteur : Mme Jacqueline Riffault-Silk, conseiller à la Cour de cassation. La loi n° 2008-776 du 4 août 2008 a apporté diverses modifications aux dispositions du Titre IV du Livre IV du code de commerce. Sur le plan pénal, les qualifications et les sanctions antérieures ont été maintenues, sous réserve de légères

en principe, immuable et imprescriptible. Certaines situations de fait rendent cependant peu évidentes l’application du droit par les juges du fond : il revient alors à la Cour de cassation de trancher entre les différentes approches possibles, ainsi qu’en témoigne l’arrêt de la 1ère chambre civile de la Cour de cassation, arrêt dit « Saintecatherine » rendu le 15 mars 1988. En l’espèce, les services de l’état civil écrivirent, en 1860, « Saintecatherine » au lieu de « De Sainte Catherine » sur

seul, les inconvénients qui découlent d’une décision justifiée par l’intérêt général, tous les citoyens devant être à égalité devant les charges publiques. C’est ainsi que le 8 février 2007, l’Assemblée du Contentieux du Conseil d’Etat a rendu un arrêt qui a trait à la responsabilité de l’Etat. Ce dernier a causé un préjudice à un administré en votant une loi qui s’est révélée inconventionnelle. En l’espèce, Monsieur X est chirurgien-dentiste et est adhérent à la caisse de retraite des chirurgiens-dentistes

TD 2 CASS. CH. MIXTE, 6 SEPTEMBRE 2002FAITS : Une société de vente fait gagner une somme 105 750 francs à plusieurs de ses consommateurs, en l’échange d’un retour de bon de validation dans les délais impartis. Un homme est informé par deux documents de la société qu’il gagne cette somme, envoie le bon dans le respect des délais mais ne reçoit jamais le montant promis par la société. Un homme reçoit deux documents d’une société de vente par correspondance lui disant explicitement qu’il aurait gagné