Arret De La Cour De Cassation 31 Mai 1995

du Code civil de façon extrêmement restrictive. Aussi, a-t-elle estimé que les promesses d’achat de droits sociaux à prix plancher tombaient sous le coup de la prohibition des clauses léonine. Dans un arrêt de principe du 16 janvier 1867, la Cour de cassation a affirmé en ce sens que «  la nullité frappe toute stipulation exonérant un associé de toute contribution aux pertes, sans distinguer selon qu’elle est contenue dans l’acte de société ou dans un acte séparé,

l’enfant demander que ses effets soient rétablis, et l’enfant peut en faire de même pendant les 10 ans qui suivent sa majorité. En l’espèce, l’action est ouverte sois a Léa soit a Harry, car Marie est encore mineur (10 ans). Donc Marie aura jusqu’au 31 mars 2023 pour engager une action sur le fondement de l’art 315 et 329. En vertu de l’art 310-3 : La preuve se fait par tout moyen et notamment par experts biologique. « l’expertise est de droit en matière de filiation «  = a partir du moment ou on

consiste en la volonté d’accorder un privilège de juridictions à l’administration. Cette idée de privilège existait déjà sous l’Ancien Régime. Par exemple, au Moyen Age une Cour des comptes a été créée dans le but de dessaisir les juges judiciaires du contentieux concernant les finances de l’Etat. Au 16ème siècle, création de la Cour des aides qui est compétente en matière fiscale. En 1641, l’édit de Saint-germain va interdire aux parlements de connaître des litiges qui concernent l’administration,

Restauration. En 1852, le Conseil d’Etat conserve ses attributions {text:soft-page-break} consultatives jusqu’à l’instauration de la IIIéme République. Enfin, aprés avoir été malmenée, la fonction consultative est définitivement inscrite dans l’ordonnance du 31 Juillet 1945 et dans la Constitution de 1958. Aujourd’hui, la fonction consultative permet au Conseil d’ Etat de résoudre les difficultés contentieuses car il connait par cette fonction l’esprit des décisions administratives. Cette fonction s’exerce

est toujours d'actualité. Ainsi, la circulaire du 30 mai 1996 relative à la codifu:ation des textes législatifs et réglementaires rappelle que: "Cet effort s'inscrit dans une tradition nationale, qui a été illustrée par les cinq grands codes napoléoniens et qui s'est développée depuis la Libération avec le rapport de la Commission supérieure chargée d'étudier la codification et la simplification des textes législatifs et réglementaires du 8 mai 1952 et par la rédaction d'une quarantaine de codes"l

contentieux abondant. 4 La Cour d’appel de Paris a eu l’occasion de se prononcer sur la notion de « liens les plus étroits » à laquelle il est fait référence à l’article L 181-2 du Code des assurances et qui constitue le critère principal de détermination de la loi applicable au contrat d’assurance nonvie. ► CA Paris 19 septembre 1997, RGDA 1999 p 208 (1) Les motifs de la décision rendent compte des faits examinés et de la solution de droit retenue par la Cour : « Considérant que le risque couvert

la différence de nature entre ces notions. La réciprocité législative s’analyse comme une condition sur laquelle repose la reconnaissance au profit des étrangers d’un certain nombre de droits déjà reconnus au profit des nationaux3. 1 JORT n° 87 du 31 octobre 1997, p. 2053. 2 Sur l’ensemble de la question, voir JAIBI (N. D.), in Etudes de droit constitutionnel, Association Tunisienne de droit constitutionnel, C.E.R.E.S., 1999, pp. 73-78. 3 Nous citons, à titre d’exemple, l’article 57 de la loi n°

pas que la nullité de la convention soit imposée par la partie malhonnête. Mais cette position était dénoncé par la doctrine qui considérait qu’elle s’accordait mal à la défense de l’intérêt général. C’est pourquoi la Cour de cassation a opéré un revirement de jurisprudence par un arrêt du 7 octobre 1998, en affirmant qu’ « un contrat peut être annulé pour cause illicite ou immorale, même lorsque l’une des parties n’a pas eu connaissance du caractère illicite ou immoral du motif déterminant du contrat »

CIV. 1 CM COUR DE CASSATION Audience publique du 17 décembre 2008 Cassation M. PLUYETTE, conseiller doyen faisant fonction de président Arrêt n° 1259 FS-PB Pourvoi n° Y 07-15.459 REPUBLIQUE FRANCAISE AU NOM DU PEUPLE FRANCAIS LA COUR DE CASSATION, PREMIÈRE CHAMBRE CIVILE, a rendu l'arrêt suivant : Statuant sur le pourvoi formé par M. Charles B., domicilié ........................................., contre l'arrêt rendu le 22 février 2007 par la cour d'appel de Caen (1re chambre, section 3), dans

NAITRE I – Définitions Rechercher la définition juridique des termes suivants : -visa -dispositif -motif -moyen de cassation -viable -conception -fiction Argument a contrario Argument a pari Argument a fortiori II – Apprentissage de la lecture d'une décision de justice Lecture préalable de : -schéma de l'organisation judiciaire en matière civile -schéma du mécanisme du pourvoi en cassation -B. Vial et C. Atias, "Méthodes de travail pour les études de droit privé", RRJ 1982/1, p.71 (extraits). III –