Arret Douce Dame

tradition. Son plan d'eau est entouré d'un rebord de béton dont la forme invite le promeneur à s'asseoir. La fontaine est en même temps qu'un spectacle mobile, un lieu de convivialité, de rendezvous et de rencontre. On y passe, on s'y promène, on s'y arrête, on s'y installe, on y discute. Multiplicité des points de vue Lorsque le passant s'assoit sur le pourtour de béton aménagé à cet effet, il tourne le dos à la fontaine et même s'il s'assoit de biais, il perd toute vision frontale du monument :

dévisageant son interlocutrice d’un air choqué. — Je suis persuadée que ce mariage est une erreur ! rétorqua Soula. Mais il est trop tard, maintenant. Mon fils a fait son choix, il devra l’assumer. Je n’ai rien à ajouter. Sur ces mots, l’excellente dame se fondit dans la foule. Décontenancée, Rebecca ramena son attention sur la piste de danse. Ce fut le moment que choisit Damon pour s’adonner à une démonstration d’affection en public et déposer un baiser sur les cheveux de Felicity. Le secret

une expression, cette figure renforce l’affirmation, met en évidence les faits ou les sentiments exprimés. Exemple : « En ce vouloir mon cœur m’a mis. – Et qui le cœur, beau doux ami ? – Dame, mes yeux. – Et qui les yeux ? – La grand-beauté qu’en vous je vis. – La beauté, est-elle coupable ? – Dame, c’est elle qui me fait aimer. – Aimer ? Qui donc ? » – Chrétien de Troyes, Yvain (p. 281) Adapté de L’analyse littéraire, document produit par Denise BESSETTE et Luc LECOMPTE, Cégep de Lévis-Lauzon

bon. Et qui m'empêchera de mettre en notre étable, Vu le prix dont il est, une vache et son veau, Que je verrai sauter au milieu du troupeau ? " Perrette là-dessus saute aussi , transportée : le lait tombe; adieu veau, vache, cochon, couvée. La dame de ces biens, quittant d'un oeil marri Sa fortune ainsi répandue, Va s'excuser à son mari. En grand danger d'être battue. Le récit en farce en fut fait, On l'appela le Pot au lait. 5 LA GRENOUILLE QUI VEUT SE FAIRE AUSSI GROSSE QUE LE

lèvres collées dans un demi sourire disent que Dieu s'est fait homme. Robert Philippe Dominant le paysage de la civilisation française du Moyen Âge, regorgeant de beautés, si riches de significations fécondes, les cathédrales Notre-Dame de Paris et Notre-Dame de Chartres témoignent à travers les siècles, non seulement de l'ardente piété médiévale, mais aussi de l'excellence d'un art sublime à force de noblesse et de spiritualité. Elles suscitèrent toute une littérature, de Chateaubriand et Hugo

père, sera athée dès le plus jeune âge. Il est ami avec tous les gens de peu : paysans, serviteurs. Il a une sorte d’empathie pour eux. Sans doute dû à son physique. Il va terminer ses études secondaire dans un lycée nattais et brusquement il va arrêter ses études à cause de sa maladie et de sa fragilité. 1864-1870 Premières poésies (de 19 à 25 ans) Voyages il passe une vie ou il ne sait pas exactement quoi faire. Artiste mais il ne sait pas comment. Sorte de

1 Portrait d’Apollinaire, pour servir à l’étude d’ AlcoolsLe 25 août 1880 naît à Rome Wilhelm Albert Wladimir Alexandre Apollinaire Kostrowitzky. Sa mère est Angelica de Kostrowitzky, fille d’Apollinaire Kostrowitzky, officier polonais dans l’armée russe. Que faisait à Rome cette jeune fille de l’aristocratie polonaise ? Elle avait été séduite par un officier italien et s’était enfuie de chez elle pour le rejoindre. Il a très vite disparu de sa vie. Elle a pu rester à Rome

Se sont des auteurs qui écrivent avec une sensibilité certaine lorsqu'ils content l'amour et ainsi savent nous la transmettre. Je ne vous en dit pas plus afin que vous puissiez découvrir avec bonheur cette anthologie. Pour finir, mon choix c'est arrêté sur une chanson de Francis Cabrel intitulé "Je l'aime à en mourir" où il conte un amour passionnel pour un être aimé. Amis lecteurs, plongez dans ce livre, baignez dans vos souvenirs et laissez vous bercer par la poésie romantique. Vous savez

d’employer les temps du récit. I. Observation : 1. Un fermier d’un côté leur offrit ce conseil. 2. Mme Lefèvre était une dame de compagne, une veuve. 3. Elles cultivaient quelques légumes. 4. Les deux femmes expliquaient à chaque nouveau venu leurs idées. 5.

l'eau, nageant vigoureusement et maladroitement, s'exclamant, bavant et recrachant, se défiant à des plongeons ou à qui resterait le plus longtemps sous l'eau. La mer était douce, tiède, le soleil léger maintenant sur les têtes mouillées, et la gloire de la lumière emplissait ces jeunes corps d'une joie qui les faisait crier sans arrêt. Ils régnaient sur la vie et sur la mer, et ce que le monde peut donner de plus fastueux , ils le recevaient et en usaient sans mesure, comme des seigneurs assurés de leurs