Arrêt 7 Janvier 1992

peuvent surprendre. En effet, au sens étroit le ministère public est « devant les tribunaux judiciaires le corps hiérarchisé (et subordonné au garde des Sceaux) des magistrats chargés de représenter l’Etat devant les divers types de juridictions »[7]. Si l’on se tient à cette définition, cela exclut des institutions telles que le Rapporteur Public (anciennement Commissaire du gouvernement) devant le Conseil d’Etat qui n’intervient pas devant les tribunaux judiciaires, ne fait pas partie d’un corps

juridique pour garantir des droits définitivement acquis par des particuliers par rapport à une réglementation spécifique. Constamment la cour rappelle qu’il est interdit aux institutions communautaires d’édicter des règles de droit à portée rétroactive[7].En particulier le principe de non rétroactivité de la loi pénale fait partie des principes généraux du droit communautaire ainsi que l’a rappelé le juge dans sa décision du 10 juillet 1984 dans l’arrêt Kirk[8]. Le juge communautaire utilise le principe

Commentez l’arrêt de l’Assemblée plénière de la Cour de cassation en date du 7 mai 2004.  Nous somme en présence d’un arrêt de rejet de l’Assemblée plénière de la cour de cassation du 7 mai 2004.  Une société met en justice une autre société pour utilisation prohibée de son image.  La société SCIR Normandie fait faire des dépliants par la société Publicis avec pour but la promotion immobilière de nouvelles résidences. Or il est fait l’utilisation pour le dépliant de la façade d’un immeuble

l'article L622-1 -du Code d'entrée et de séjour des étrangers et du droit d'asile-, personne n'a jamais été condamné pour avoir simplement hébergé, donné à manger ou transporté en voiture en auto stop un étranger en situation irrégulière » (France Inter, 7 avril 2009). « Il n’y a jamais eu aucune condamnation en France pour quelqu’un qui ne serait pas entré dans la chaîne des passeurs » (Le figaro Magazine, 17 avril 2009). « J’observe qu’en 65 années d’application de cette loi, personne en France n’a jamais

Ordonnance instituant des mesures à l’encontre de certaines personnes originaires de la Tunisie du 19 janvier 2011 Le Conseil fédéral suisse, vu l’art. 184 al. 3 de la Constitution1, arrête: Section 1 Art. 1 1 Mesures de coercition Gel des avoirs et des ressources économiques Les avoirs et les ressources économiques appartenant à ou sous contrôle des personnes physiques, entreprises et entités citées dans l’annexe sont gelés. La Direction du droit international public (DDIP) du Département

I.  LES CONDITIONS DE L’ENRICHISSEMENT SANS CAUSE A.  LES CONDITIONS MATERIELLES Civ. 1ère, 29 mai 2001 Civ. 1 , 25 février 2003 B.  LES CONDITIONS JURIDIQUES Civ. 1 , 19 octobre 1976 Civ. 3 Civ. 3 ème ème ère ère ère ère ère 4  4  4  6  6  7  7  9  9  10  11  , 27 février 2008 , 1 mars 1989 er Civ. 1 , 12 juillet 1994 Civ. 1 , 11 mars 1997 Civ. 1 , 19 décembre 2006 Date de création du document : année universitaire 2010/2011 Consultez les autres fiches sur le site de la FDV : http://fdv

Commentaire conjoint des arrêts Cass. Com des 18 novembre 1997 et 21 octobre 1997 « La paralysie est le commencement de la sagesse », écrivait Francis Picabia, peintre et écrivain français. C’était sans compter que la paralysie est souvent le début de la fin, notamment en droit des sociétés, où la paralysie du fonctionnement d’une société engendre la possibilité de la dissoudre de manière anticipée. Dans l’arrêt du 18 novembre 1997, Mesdames Schtrock et Dardelin se sont associées à parts

Décision du 8 février 1873 du tribunal des conflits, l'arrêt Blanco (1er arrêt du GAJA) «La responsabilité de l’Etat ne peut être régie par les principes qui sont établis dans le code civil» «Cette responsabilité a ses règles spéciales» Consécration de l’autonomie du droit administratif, il va se caractériser par des prérogatives spéciales qui sont ignorées du droit privé. Le Conseil constitutionnel, dans sa décision de 23 janvier 1987 confirme : «Le juge administratif est le juge des décisions prises

sous le coup des violences volontaires (voir par exemple Crim., 3 janvier 1969), aucune incrimination spécifique n'ayant été prévue. Ceci posait toutefois problème au regard du principe de la légalité criminelle puisque, bien que les violences puissent être caractérisées sans atteinte physique de la victime (Crim., 18 mars 2008), il paraît assez difficile d'assimiler des appels téléphoniques à des actes de brutalité matérielle. En 1992, le législateur introduit l'article 222-16 dans le Code pénal,

caractère accessoire. Si la condamnation que le juge avait assortie d'une astreinte disparaît, notamment en cas d'infirmation de la décision d'injonction par la cour d'appel, l'astreinte est anéantie pour perte de fondement juridique (2e Civ., 6 janvier 2005, Bull. 2005, II, n° 1, pourvoi n° 02-15.954) ; - L'astreinte est indépendante des dommages-intérêts (article 34, alinéa premier, de la loi du 9 juillet 1991). Il en résulte notamment que le juge n'a pas, pour procéder à la liquidation de l'astreinte