Arrêt Civ 6 Octobre 1981

grands arrêts (Les Grands arrêts de la jurisprudence administrative, Dalloz, 14e éd., 2003) et autres grandes décisions (J.-F. Lachaume, Droit administratif. Les grandes décisions de la jurisprudence, PUF, 13e éd., 2002). S'opposent ainsi en quelque sorte une logique quantitative et une démarche plus qualitative et l'amateur de droit administratif se doit aujourd'hui comme hier d'être « arrestophile » (B. Pacteau, La jurisprudence, une chance du droit administratif ?, Rev. adm., numéro spécial 6-1999

dans les rapports sociaux, elle est générale, abstraite et obligatoire, dont la sanction est assurée par la puissance publique.   Jeammaud, Introduction au droit, Dalloz, 1990, p99, la règle de droit comme modèle pour ériger la règle     mardi 6 octobre 2009 Qu'est-ce que le droit? Comprendre les manuels. Réfléchir à propos du lien entre ce qu'est le droit et notre vécu/expérience/pensée. Ce questionnement sur le droit est fait de différentes manières et fait l'objet de matières que nous

rien d’inconcevable. La jurisprudence de la Cour européenne des droits de l’homme l’a rappelé à l’envi ces dernières années © Jurisdoctoria n° 7, 2011 12 Norbert Foulquier lorsqu’elle a imposé aux États de respecter les prescriptions de l’article 6, § 1 de la Convention lors de l’adoption des actes pourtant qualifiés d’administratifs par les législations nationales, dès lors qu’ils tranchent des litiges relatifs à des « droits civils ». Dans son article intitulé « Un Exemple de décision nouvelle

et depuis 2000, sous un support électronique si l’une et l’autre des parties la préserve. Le Code civil prévoit quatre actes notariés : le contrat de mariage (article 1394 C. civ), la subrogation voulue par le débiteur (article 1250 C. civ.), la constitution d’hypothèque (article 2127 C. civ.) et la donation (article 931 C. civ.). Concernant cette dernière disposition, le don manuel, établi de main à main, ainsi que la donation déguisée sont validés même en l’absence d’un acte notarial. L’acte sous

contrat. Les clauses contractuelles peuvent valablement écarter les conditions supplétives, à conditions qu’elle respecte les règles obligatoires du droit commun des obligations et en particulier l’ordre publique et les bonnes mœurs au sens de l’article 6 du code civil. A défaut de clause le droit des contrats s’applique. Si les parties n’ont rien prévu dans leur contrat, pour donner une solution au point litigieux, le code civil s’appliquera. c- Disposition d’ordre public et nouveaux contrats

et enfin le droit des finances publiques. Droit constitutionnel : Il s’intéresse aux constitutions (texte fondamental qui régit la vie politique d’un pays). Depuis 1789 nous avons eu une quinzaine de constitutions. Nous sommes sous celle du 4 octobre 1958 et il soumet le texte au peuple. Depuis elle a été modifiée à plusieurs reprises à Versailles par les députés et les sénateurs. Ils forment dans ce cas le congrès. Le bloc constitutionnel (textes plus importants) comprend la constitution, la

de presse à avoir un directeur de publication qui en assume les responsabilités civiles et pénales, le nom de ce directeur devant être inscrit sur chaque publication. Cependant, la loi de 1986 ne reprend pas certaines dispositions de la loi du 23 octobre 1984, qui obligent les entreprises de presse à publier chaque année leur bilan ainsi que le compte des résultats des publications. De plus, elle a supprimé la commission pour la transparence et le pluralisme que la loi de 1984 avait mis en place.

INTRODUCTION…………………………………………………………….………………1 PREMIERE PARTIE : LES DIFFERENTS ASPECTS DE LA RESPONSABILITE DU COMMISSAIRE AUX COMPTES Chapitre 1 : Responsabilité civile et disciplinaire du commissaire aux comptes…………6 Section 1 : La responsabilité civile du commissaire aux comptes………………...………..6 1 – La faute : nécessité d’une faute ou d’une négligence………………….…………...9 1-1 – La faute du commissaire aux comptes………..……..…………...…….…….10 a – Nature des obligations qui pèsent sur le commissaire aux comptes………10

4e éd., 2004, Dalloz. - ROUSSELET et PATIN, Précis de droit pénal spécial, 1976, Masson. - M. VÉRON, Droit pénal spécial, 10e éd., 2004, Armand Colin ; Droit pénal des affaires, 5e éd., 2004, Armand Colin. - A. VITU, Traité de droit pénal spécial, 1981, Cujas. - R. VOUIN et M.-L. RASSAT, Droit pénal spécial, 6e éd., 1988, Précis Dalloz. E. ALAUZE, Délits agrestes et peu connus, Gaz. Pal. 1973.2, doctr. 812. - N. BELLEMIN, Le banditisme et la sécurité dans les banques, RI crim. et pol. techn. 1976

l’adoption est souvent refusée. Cette question a été soumise à la cour européenne des droits de l’homme. Celle-ci a rendu un arrêt très important, en janvier 2008. Autre solution : la procréation médicalement assistée (pour femme homosexuelle). L’adoption se fait par le conjoint. En droit, conjoint signifie personne mariée. Donc en cas d’homosexualité, la cour de cassation dans un arrêt du 20 février 2007, a refusée l’adoption : rejet de l’homo-parenté. En revanche, la cour de cassation admet la délégation