Arrêt Dame Veuve Trompier Gravier 5 Mai 1944

.....................................................................................4 2 – Le respect de la Constitution..................................................................................5 a – Les autorités chargées du respect de la Constitution.....................................5 b – L'autorité de chose jugée des décisions du Conseil constitutionnel..............6 B – Le préambule de la Constitution.............................................................................6 1

……………………………………12-13 parallélisme des procédures…………………………………………….29 pluralité de buts……………………………………………………42, 45-46 pouvoir discrétionnaire…………………………………………29, 32-40 pouvoir lié………………………………………………………29, 32-40 principe de légalité…………………………………………. ..……… 5-6 procédure administrative non contentieuse………..……………….…17 procédure………………………………………………………..…17-24 projet de décision initial…………………………………………..…21 projet de décision modifié…………………………………………...…21 proposition…………….……………………………………………..…19 qualification juridique

l’administration. Citons Benjamin Constand. Tout au long de l’Histoire, il y a eu tout à la fois audace et prudence du CE. C’est révélateur de ce qu’à toujours était le CE. Pour imposer son contrôle, face à l’administration, il fallait faire preuve 5 d’audace et s’affirmer. Mais en même temps, il ne fallait pas aller trop loin au risque de disparaître (ce qui a failli arriver dans les années 60). Le résultat est que tout en confortant le contrôle, le contentieux administratif s’est développé

supérieure. C’est donc de la constitution elle-même que les traités tiennent en France une place intermédiaire entre la constitution et les lois. La pyramide de Kelsen; avec la constitution, les traités, la loi et les règlements avec les décrets et arrêtés. Arrêt du conseil d’Etat, 1998, « Sarran et Levacher ». L’articulation entre le contrôle de constitutionnalité des lois, qui est prévue à l’article 61 de la constitution et le contrôle de conventionalité prévu à article 54 de la constitution et

objective ; l’inconvénient c’est que cette méthode dénature ce qui peut sembler fondamental sur le plan matériel : si un droit que l’on peut considéré comme fondamental ne rempli pas le critère formel il ne sera pas considéré comme fondamental. Il y a 5 méthodes formelles d’identification de droits fondamentaux :  La première méthode s’attache uniquement au titulaire du droit ou de la liberté, dès lors on dira qu’un droit ou une liberté est fondamental, dès lors qu’il touche l’homme dans sa généralité

et de gestion : sous le second empire. Par référence à ce critère, le conseil d'état considère que les administrations font deux types d'actes. - Actes d'autorités : actes de l'administration qui comportent des prérogatives de puissance publique (arrêté de police…). - Actes de gestion : acte dépourvu de toute puissance publique qui est comparable à celui d'un individu privé. Dans un état développé, les individus publiques multiplient leurs interventions si biens que dans un état développé, les

Introduction au droit administratif Séance 2 – Les institutions administratives Séance 3 – Les sources constitutionnelles du droit administratif Séance 4 – Les sources législatives, réglementaires et jurisprudentielles du droit administratif Séance 5 – Les sources internationales du droit administratif Séance 6 – Les sources européennes du droit administratif Séance 7 – Galop d’essai Séance 8 – La notion d’acte administratif unilatéral Séance 9 – Le régime de l’acte administratif unilatéral

qualité d’acte administratif. Il y a 2 règles : Tout acte administratif unilatéral n’est pas pour autant toujours une décision. Toute décision administrative est un acte administratif unilatéral. B/ La décision exécutoire existe-elle ? Arrêt du 2 juillet 1982 « Huglo-Clépage » : Le CE dit que le caractère exécutoire de la décision administrative est la règle fondamentale du droit public. Il précise que cette règle ne peut s’appliquer qu’à une décision administrative qui a un caractère

droit ou pour une liberté sans grande cohérence, les effets sont également sans grande cohérence. tout d'abord, illustration de cette fonction de priorité donnée aux droits & libertés. cette fonction se trouve dans l'arrêt Bermuda, chambre sociale, 28 mai 2003. qualification donnée aux droits et libertés dans l'entreprise. tandis que les libertés ordinaires se trouvent soumises à un contrôle de proportionnalité et doivent être conciliées avec les intérêts de l'entreprise. Les libertés fondamentales bénéficient

recevabilité des recours qui leur sont adressés. Les juges administratifs ont admis de plus en plus largement le recours pour excès de pouvoir, réduisant ainsi, entre autres, le champ des actes de gouvernement et celui des mesures d'ordre intérieur (arrêts Marie et Hardouin). Avec le temps aussi, il a accru l'étendue de son contrôle sur les décisions administratives. Une autre question recevant une réponse en grande partie jurisprudentielle est celle de la répartition des compétences entre la juridiction