Arrêt Moine 17 Décembre 1999

reçoit une éducation qui le conduit, sans vocation, à l’état monastique. Le jeune François commence ses études à l’abbaye des bénédictins de Seuilly. En 1510, il devient novice au couvent de la Baumette, près d'Angers, puis prêtre et frère franciscain (moine). Il se livra à l’étude approfondie des langues anciennes : latin, grec et hébreu. Rabelais constitue avec quelques érudits locaux un petit groupe d’humanistes, qui lisent les textes anciens et sont en correspondance avec Guillaume Budé.       A l'encontre

que cette conduite abusive est une agression. L’agresseur crée des conditions relationnelles déplorables qui ont des conséquences désastreuses sur la santé psychique de la victime (asthme, obésité, eczéma, conduite de retrait, troubles de l'humeur, arrêt maladie, phobie sociale, suicide...) Nous avons tous à subir des contraintes, de façon ponctuelle, dans l’exercice de nos fonctions. Ceci fait partie de la vie au travail. Stress, pression, conflit ou mésentente avec un supérieur ou un collègue

la question de l’engagement commence à se poser avec l’affaire Dreyfus. En 1894, le capitaine Dreyfus fut accusé d’être l’auteur d’un bordereau anonyme contenant une liste de documents militaires français destinés à l’ambassade Allemande. Le 22 décembre 1894, il est condamné à la déportation à vie. Vers 1896, le colonel Picquart découvre un document accablant le commandant Esterhazy. Ainsi, le commandant Esterhazy fut traduit devant le conseil de guerre qui l’acquitta en 18987. Ce nouvel élément

rayonnements psychiques. Ce matin-là, Andréas s'était aperçu que son estomac pourrissait quand le tube de dentifrice s'était mis à briller, avant de se transformer en viande morte. Une boue sanguinolente à l'odeur de poubelle s'était écoulée entre ses 17 doigts, tourbillonnant autour de la bonde dans un bruit de succion géant. Il avait regardé son image dans le miroir et il y avait vu le spectacle d'un tas de chair écorchée qui s'était brisé en plusieurs morceaux, avant de se répandre sur le sol.

autre lettre, à propos de la presqu’île de Saint-Mandrier où il vient faire, à la fin de l’année 1993, un petit pèlerinage du souvenir : « L’endroit est beau. Il semble qu’ici on soit toujours à l’écart, loin des rumeurs. » (Marseille, 12 décembre 1993, M, 96) Difficile, à la lecture de ces deux courtes phrases, de ne pas les associer beaucoup plus étroitement que ne peut le faire leur successivité linéaire. Pour leur lecteur comme avant lui pour l’auteur, on le sent bien, beauté et retrait

indulgences). Le moine allemand Martin Luther s'éleva contre ce trafic et afficha sur la porte de son église 95 thèses contre les indulgences. Aux envoyés du Pape qui veulent le contraindre à se rétracter Martin Luther répond: «Prouvez-moi, par la sainte Ecriture (la Bible), que je me trompe, et je me rétracterai.» C'était leur demander l'impossible. Au lieu de reconnaître ses abus la cour de Rome choisit d'émettre une bulle papale (jugement irrévocable) pour excommunier Martin Luther, le faire arrêter et brûler

envahirent l’Italie où ils furent battus par Gallien à Milan. Après le bref règne de l’empereur Claude, l’empereur Aurélien devra se battre en Pannonie contre les Vandales et les Sarmates pendant que les Juthunges envahirent l’Italie; ils seront arrêtés à Fano et Pavie. En 275, les Francs pénétrèrent plus avant en Gaule par le Rhin et la Meuse pendant que les Alamans progressèrent en suivant les vallées de la Saône et du Rhône. Deux années plus tard, Probus mit fin à leur invasion en Gaule et, en

1.3.1 L’universalité de l’obéissance à l’autorité : analyse des facteurs culturels 1.3.2 L’obéissance à tout âge : si jeune et déjà si obéissant ! 1.3.3 Variables démographiques et sociologiques : tous pareils ? Des résultats attendus ? 15 17 19 22 1.5 L’analyse du comportement des sujets de l’expérience 27 Pourquoi obéit-on ? Analyse des déterminants de l’obéissance 29 2.1 Les effets situationnels sur la soumission à l’autorité 30 2.1.1 2.1.2 2.1.3 2.1.4

Panorama des risques aujourd’hui . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 13 Chapitre 2 – Risques : le facteur humain . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 17 1. L’homme, acteur central du risque . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 17 2. Un facteur complexe . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 20 3. Contrôler le comportement . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

M. GASSER Jean-Michel Mme JANKELIOWITCH-LAVAL Eliane M. AIMAR Thierry (Détachement) Mme KUHN Nicole Mme DAVID-BALESTRIERO Véronique Mme ETIENNOT Pascale Mlle BARBIER Madeleine M. ANDOLFATTO Dominique Mme DEFFAINS Nathalie Mme SIERPINSKI Batyah M. MOINE André Mlle LEBEL Christine Mlle LE GUELLAFF Florence M. PY Bruno M. EVRARD Sébastien M. FENOGLIO Philippe Mme BOURREAU DUBOIS Cécile Mlle GARDIN Alexia M. KLOTGEN Paul Mme DERDAELE Elodie M. DAMAS Nicolas M. GICQUEL Jean-François Mme LELIEVRE Valérie