Art De Plaire

“autrefois” qui nous montre que l‘action s’est déjà déroulé mais l’on ne sait pas quand précisément (cela lui donne une valeur intemporelle) cette exposition nous donne dès le départ un effet de rapidité puis nous pouvons relever aux vers 3 et 4 “d’un art tyrannique, Voulant forcer les cœurs dans une république,” un oxymore entre les termes “forcer” et “république” ces deux vers nous montre la première erreur de l’orateur. Ensuite le vers suivant, nous expose ce personnage cherchant tout d’abord à s’imposer

Dans cent ans, le monde subsistera encore dans son entier : ce sera le même théâtre et les mêmes décorations, ce ne seront plus les mêmes acteurs » La Bruyère observe donc les moeurs de son époque et comme pour le théâtre, il est nécessaire « de plaire et de s’instruire » selon la doctrine classique. La volonté est de montrer aux hommes comment se conduire. C’est ainsi que l’homme est perçu comme un comédien qui joue la comédie social car il essaie de paraitre ce qu’il n’est pas. L’hypocrisie

peut être qu'en lui faisant plaisir. Ainsi, la rhétorique est un art de la flatterie : elle vise, à travers le discours, à flatter le public, c'est-à dire à lui faire plaisir, afin d'emporter sa conviction. Dans ce cas, peut-on maintenir qu'il s'agit d'un art, au même titre que les mathématiques, la médecine, la musique ou la gymnastique ? La rhétorique ne visant à rien d'autre qu'à produire un plaisir momentané, elle n'est pas un art mais tout au plus un savoir-faire, une pratique. Ceci est comparable

vérité ? Platon et avant lui Socrate se sont opposés aux sophistes, qui cherchaient à systématiser les usages de pouvoir du langage et à les enseigner. A la rhétorique des sophistes, ils opposèrent la dialectique, en tant qu’art du dialogue et art de chercher à deux la vérité. Dans les deux cas, celui de la rhétorique et celui de la dialectique, le langage est un pouvoir, mais un pouvoir très différent. Dans le cas de la rhétorique, c’est une véritable tyrannie qui s’exerce sur les autres, une

la littérature baroque est un art de mouvement qui cherche à surprendre le lecteur par ses enchaînements d’images , par les contrastes, les jeux de mots, par des visions symboliques et par la métamorphose des formes. Le baroque est un courant littéraire inspiré du Maniérisme (1580). Classicisme Règne de la raison/ 1ere partie du règne de louis 14 ->monarchie absolue. Langue fixée, règles énoncées et surtout codifiés par Nicolas Boileau dans son art poétique (1674) L’idéal esthétique

soit comédien. Alcandre défend alors le théâtre. a) Un art qui ravit Cette idée est clairement exprimée v. 29: «ravissent» (qui vient du latin rapio: enlever mais qui signifie plus ici envouter). On est donc à nouveau sous l'effet du charme du théâtre. Il s'agit bien d'un art (par opposition à l'artisanat). Mais le théâtre est pourtant habituellement considéré avec mépris. Ainsi, le fait de parler d'art est extrêmement valorisant. Cet art est «si difficile» (v. 22) car il est particulièrement élaboré

« La pub est elle un art ? » De nos jours, les publicitaires redoublent d'imagination pour fait en sorte de plaire aux consommateurs, si bien que des objets ou des images publicitaires deviennent même des œuvres d'art aux yeux de certaines personnes comme Blaise Cendrars. La frontière qui sépare l'art de la publicité a donc tendance à s'estomper. Peut-on dire pour autant que la publicité est un art? C'est ce à quoi nous allons réfléchir. Nous verrons ainsi ce qui rapproche mais aussi différencie

l’Etat impose ses propres idées. C’est un art à utilité sociale qui veut créer l’image d’un Homme Nouveau, une nouvelle identité du citoyen socialiste, qui vit en communauté. En effet Bazin explique qu’avec le rapprochement des classes sociales proclamé par les régimes communistes, les artistes sont encouragés à représenter le monde ouvrier, en allant directement sur les lieux. Ils doivent reproduire et imiter le monde quotidien. C’est un véritable art « d’échange », car les artistes vont à la

d’Ionesco (« Sans le conflit, il n'y aurait pas de théâtre ») et de Steiger (« Le théâtre est un art du conflit, du polémique ») on ne peut pas mettre en question la présence du conflit dans une pièce théâtre. Il est de la nature humaine aimer le conflit et l’affrontement et le but du théâtre est de plaire le spectateur, d’où le conflit doit faire partie des pièces théâtrales. Le théâtre est un art vivante, il dit, montre et doit construire une tension dramatique scène par scène, acte par acte

art : 1) Au sens ancien, tout savoir-faire humain, toute pratique produisant un résultat non naturel (artificiel). 2) Au sens esthétique moderne, production ou création d'oeuvres destinées à plaire (beaux-arts), c'est-à-dire à susciter par leur aspect, une appréciation esthétique positive. percevoir : Saisir par les sens, recueillir, comprendre. Acte par lequel le moi se forge, à partir de ses sensations, une représentation unifiée des objets extérieurs à lui. L’art est l’expression d’un artiste