Art-thérapie

premier. Au départ quand nous pensons art, nous pensons directement à la beauté des choses à son apparence plaisainte. Le terme art vient du latin Ars, artis qui signifie « habileté, métier, connaissance technique ». Au tout début de l'histoire, certaines civilisations comme celle des romains, ne distinguaient pas clairement le domaine de l'art de celui des savoirs et des métiers, par exemple l'astronomie était considérée comme un "art libéral". Un artiste était comme artisan, on appelait

inverse : elles détournent une situation de la vie quotidienne, un repas de nouilles froides (symbole de l’été japonais), sur fond d’une musique rock 9 . Les motifs gestuels pouvaient aussi être empruntés à une autre pratique corporelle, le shintaidô, un art martial fondé dans les années 1960 10 et ce, plus particulièrement à partir de 2005. De fait, elles le pratiquent alors de manière de plus en plus assidue, passant d’un à deux ateliers par semaine et avec un certain ascétisme, dans une intention à la

Introduction Dans ce travail, je vais vous parler de l’influence des nazis sur l’art durant leur domination. Nous allons voir comment les autorités allemandes se servaient de l’art pour passer leur message de domination et véhiculer leur supériorité. Un art officiel nazi sera donc défini durant cette époque historique. Pour commencer, nous verrons le rôle de Joseph Goebbels, proche collaborateur d’Hitler qui mettra en place une chambre de la culture pour contrôler les artistes de l’ère nazie. Est-ce

le collège il s’inscrit à l’école des arts impliqués mais il en est renvoyé pour avoir critiqué l’enseignement. Il obtient tout de même l’autorisation d’y suivre des cours de modelage et de modèle vivant l’année suivante. En 1930, il s’inscrit à la Art Students League de New York pour y suivre des cours du soir de peinture murale puis en modèle vivant et composition murale. Durant l’été, après la mort de son père, il continue à se former à la sculpture. En 1935 il bénéficie du soutien aux artistes

genres différents : un extrait du roman de Victor Hugo datant de 1869, L’Homme qui rit, dont le héros, défiguré, sourit perpétuellement. Ce texte est mis en perspective avec trois documents récents : la première scène d’une pièce de théâtre moderne, Art (1994) écrite par une femme, Yasmina Reza, stigmatisant les mœurs contemporaines, un article de presse du Figaro Magazine de 2008 analysant les raisons pour lesquelles nous, Français, avons besoin de rire et un document iconographique, une photographie

se produisent on aussi un autre effet : celui d’un renouvellement du mal de siècle - qui ressemble en quelques sortes au premier mais qui prend une expression plus radicale existentielle. Dans certain cas, l’écriture semble fonctionner comme une thérapie…comme le dit Huysmans « Vraiment quand j’y songe la littérature n’a qu’une raison d’être : sauver celui qui la fait du dégout de vivre. » Cette maladie de l’âme se résigne à l’épuisement des forces vitales, elle est devenue convaincue de la décadence

fêtes nationales et religieuses etc. Par exemple, en assurant la bonne humeur, le bien-être et l’harmonie du corps et de l’esprit grâce à une musique joyeuse et rythmique, la danse orientale est non seulement l’accomplissement de l’apprentissage d’un art corporel mais aussi une expression de la féminité, de la sensualité, du désir et de la joie. De la même manière, le tango représente aujourd’hui la passion du corps et de l’esprit qui peut être plus ou moins évidente en fonction de l’énergie transmise

question : qu attendons nous de la vie ? Cette réflexion j aurai pu l appeler de l approche matérielle a l’éveil spirituel, du paraître a l être, chemin vers la vie intérieure ou encore exister est un fait vivre est un art  Souvent avec les personnes que j accompagne en thérapie ou en coaching je suis amenée à ces réflexions existentielles de la vie La spiritualité est, difficile a définir l ambiguïté principale tient au fait que l on confond généralement spiritualité et religion, la spiritualité

et le met en scène. Exposant ainsi sa souffrance, il l’exorcise. Il se confesse à nous, témoins privilégiés pour lesquels il met son coeur à nu : sa souffrance se libère grâce au dialogue : exprimer son sentiment d’échec est pour lui une forme de thérapie. En se mettant en scène devant Philippe et nous il se libère. Le spectateur éprouve ainsi de la sympathie pour se personnage malheureux : nous avons pitié pour lui. Dialogue marqué par une suspension dramatique L. poussé par P. va t-il agir et

du commun. Si l’art favorise la liberté, c’est parce qu’il nous semble le lieu privilégié de l’expression et de l’exercice de cette liberté. Nous lui accordons la finalité de nous faire éprouver une liberté qu’aucun autre domaine ne permettrait. Par art, il faut entendre ici ce que l’on appelle les Beaux-Arts, productions spécifiques à envisager selon le point de vue du créateur et de l’amateur. De plus, le verbe favoriser signifie encourager l’accomplissement d’une action mais aussi accorder un statut