Artichaut

contre−bas de la cour. Les marches rompues et disjointes faisaient bascule sous le pied ou n'étaient retenues que par les filaments des mousses et des plantes pariétaires ; sur l'appui de la terrasse avaient crû des joubarbes, des ravenelles et des artichauts sauvages. Quant au jardin lui−même, il retournait doucement à l'état de hallier ou de forêt vierge. A l'exception d'un carré où se pommelaient quelques choux aux feuilles veinées et vert−de−grisées, et qu'étoilaient des soleils d'or au coeur noir

4. – Vous lui transmettrez notre invitation ? – Bien sûr, vous pouvez compter sur moi, 5. Pour l’achat de ta voiture, je pourrai te conseiller : VII. Le pronom en (1) 1 Réécrivez les phrases en utilisant le pronom en. 1. Ces artichauts viennent de Bretagne. . Ils 2. Elle part de Paris à huit heures. . Elle 3. Les enfants reviennent de l’école. . Ils 4. Elle sort de Polytechnique1. . Elle 5. Nous repartons de cette ville enchantés. . Nous 1. L’École Polytechnique

contrebas de la cour. Les marches rompues et disjointes faisaient bascule sous le pied ou n'étaient retenues que par les filaments des mousses et des plantes pariétaires ; sur l'appui de la terrasse avaient crû des joubarbes, des ravenelles et des artichauts sauvages. Quant au jardin lui-même, il retournait doucement à l'état de hallier ou de forêt vierge. A l'exception d'un carré où se pommelaient quelques choux aux feuilles veinées et vert-de-grisées, et qu'étoilaient des soleils d'or au coeur noir

nouvelle. Bientôt, je serai la grand-mère de quatre pe tsenfants! Tu sais déjà ce que c’est ? – Un petit garçon. Il naîtra dans quatre mois et demi. – Magnifique ! Vous aurez un garçon et une fille, comme Claudia ! La grande soeur mange un autre artichaut frit. – Moi je le savais déjà. Chez nous, c’est le garçon l’aîné. – Vous avez déjà choisi le prénom ? – On hésite entre Marcello et Massimo. Alessandro regarde sa soeur Margherita puis hausse un sourcil. – Moi, je préfère Massimo... Claudia et Margherita

rames des haricots. L'abondance de la gadoue nuisit aux fraisiers, le d�faut de pin�age aux tomates.� Il manqua les brocolis, les aubergines, les navets -- et du cresson de fontaine, qu'il avait voulu �lever dans un baquet. Apr�s le d�gel, tous les artichauts �taient perdus.� Les choux le consol�rent. Un, surtout, lui donna des esp�rances. Il s'�panouissait, montait, finit par �tre prodigieux, et absolument incomestible. N'importe ! P�cuchet fut content de poss�der un monstre.� Alors il tenta ce qui

levèrent, elles rencontrèrent, à la porte, la grosse Sylvie qui leur barra le passage. - Quoi qui n'y a donc ? dit-elle. Monsieur Vautrin a dit à monsieur Eugène : " Expliquons-nous ! " Puis il l'a pris par le bras, et les voilà qui marchent dans nos artichauts. En ce moment Vautrin parut.- Maman Vauquer, dit-il en souriant, ne vous effrayez de rien, je vais essayer mes pistolets sous les tilleuls. - Oh ! monsieur, dit Victorine en joignant les mains, pourquoi voulezvous tuer monsieur Eugène ? Vautrin

des haricots. L’abondance de la gadoue nuisit aux fraisiers, le défaut de pinçage aux tomates. Il manqua les brocolis, les aubergines, les navets – et du cresson de fontaine, qu’il avait voulu élever dans un baquet. Après le dégel, tous les artichauts étaient perdus. Les choux le consolèrent. Un, surtout, lui donna des espérances. Il s’épanouissait, montait, finit par être prodigieux, et absolument incomestible. N’importe ! Pécuchet fut content de posséder un monstre. Alors, il tenta ce qui

s’arrêtèrent dans un havre, au château dit de Saint-Soupir, dont la dame, les voyant sauvés, fit chanter le Salve regina. Puis elle leur fit faire collation à la mode du pays, avec olives et câpres, — et commanda que l’on donnât à leur valet des artichauts. « Voyez, dit Angélique, ce que c’est de l’amour; — encore que nous étions à un lieu qui n’était habité par personne, il fallut y jeûner les trois jours que nous attendîmes le bon vent. Néanmoins les heures me semblaient des minutes, encore que

levèrent, elles rencontrèrent, à la porte, la grosse Sylvie qui leur barra le passage. - Quoi qui n’y a donc ? dit-elle. Monsieur Vautrin a dit à monsieur Eugène : " Expliquons-nous ! " Puis il l’a pris par le bras, et les voilà qui marchent dans nos artichauts. En ce moment Vautrin parut.- Maman Vauquer, dit-il en souriant, ne vous effrayez de rien, je vais essayer mes pistolets sous les tilleuls. - Oh ! monsieur, dit Victorine en joignant les mains, pourquoi voulez-vous tuer monsieur Eugène ? 78

levèrent, elles rencontrèrent, à la porte, la grosse Sylvie qui leur barra le passage. − Quoi qui n'y a donc ? dit−elle. Monsieur Vautrin a dit à monsieur Eugène : " Expliquons−nous ! " Puis il l'a pris par le bras, et les voilà qui marchent dans nos artichauts. En ce moment Vautrin parut.− Maman Vauquer, dit−il en souriant, ne vous effrayez de rien, je vais essayer mes pistolets sous les tilleuls. − Oh ! monsieur, dit Victorine en joignant les mains, pourquoi voulez−vous tuer monsieur Eugène ? Vautrin