Article indéfini

déterminant possessif ne peut pas déterminer un verbe, il ne peut que déterminer un groupe nominal. Quelque quelle que « quelque » est un adjectif indéfini qui définit une petite valeur. Il est resté pour l'expression « quelque part ». Lorsque le nom déterminé est au féminin, la forme se redécompose en « quelle que » On et ont « on » est le pronom indéfini troisième personne du singulier et peut être remplacé par « il » ou « elle » ou « le peuple » et « ont » est le verbe « avoir » au présent de

les formules lourdes, telles que : dans la première partie, nous verrons que..., dans la deuxième, nous montrerons que... ➢ N'anticipez pas sur la conclusion de la dissertation en donnant la réponse au problème posé. ➢ Évitez le pronom indéfini on ; préférez la première personne du pluriel nous. ➢ Évitez de recourir à des formules comme : de tout temps, depuis l'origine de l'homme.... 2. Rédiger la conclusion La conclusion clôt l'étude du texte ou la réflexion avec netteté. Symétrique

partie, avec les indéfinis et les interrogatifs, des trois pronoms pouvant recevoir un complément (Ceux d'entre nous. Celle de mes amies, etc.). Pronoms indéfinis La plupart du temps, le pronom indéfini remplace un nom introduit par un adjectif indéfini (Chacun se replia sur lui-même = chaque auditeur, chaque homme, chaque assistant, etc.). Le pronom indéfini sert à désigner de façon vague des êtres ou des choses dont l'idée est exprimée ou non dans le contexte. Comme l'adjectif indéfini, il présente

les allusions aux nuits de juin (« les bons soirs de juin », v. 5 ; « Nuit de juin ! », v. 13) et au mois d’août (« loué jusqu’au mois d’août », v. 25). 5. « Roman » fait intervenir trois personnages : • L’adolescent-poète que désignent le pronom indéfini « on » (v. 1, 15, 31) et le pronom personnel « vous » (v. 14, 21, 25). • La « demoiselle aux petits airs charmants » (v. 19), désignée par les pronoms personnels « elle » ou « La » (v. 23 et 26) et le terme chargé de connotations affectives « l’adorée

rupture énonciative. Il a néanmoins correctement utilisé le pronom personnel de première et deuxième personne du singulier « je » et « tu » qui représentent le locuteur et le destinataire. De plus, à la fin de sa production l’élève emploi le pronom indéfini « on » qui marque de nouveau une rupture énonciative. Il passe d’une énonciation du récit à celle du discours. Il aurait dû employer le pronom personnel « il ». Grammaire de texte Concernant l’emploi des temps, pour l’énonciation du récit,

(« ne savoir pas demeurer en repos » l.4, « insupportable de ne bouger de la ville » l.6-7) 3.Universalité du malheur quel que soit le statut social Pascal considère l'Homme en général et l'ensemble de la condition humaine à travers le pronom indéfini « on », le pronom défini « nous ». Au sein de cet ensemble il choisi des activités humaines caractéristiques de personnes privilégiés et d'autres citations qui renvoient à la guerre (« on n'achète une charge à l'armée si chère » l.6 , « dans le lièvre

unissant tous les français. Même face à la mort, en chantant, il continue d'exprimer son patriotisme et son amour pour son pays. 10, Au fil des refrains « lendemains » devient de plus en plus précis. Au début, on a « des lendemains » avec un pronom indéfini, puis on a « les lendemains » où« lendemain » est alors défini, on le désigne directement. Ensuite « lendemain » devient « les hommes de demain » ne désignant donc pas encore « demain » mais complètent « les hommes ». A l'avant dernier refrain,

thème, etc. → Elargir sur un aspect du texte qui n’aurait pas été abordé. → Comparer le texte avec un autre texte ou une œuvre d’art. NB : Le pronom personnel Je est à proscrire dans un commentaire littéraire. Préférez l’emploi de Nous, du pronom indéfini On ( neutre ) ou de formules impersonnelles telles que L’analyse montre que … , Il est surprenant de remarquer que … , etc.

deuxième personne (« t' », « Tu », « Toi »), nécessaire au dialogue, désigne son propre coeur (« Pauvre coeur insensé », « ô mon coeur »). La pointe du poème souligne l'impossibilité d'une rencontre avec l'autre, quel qu'il soit (emploi du pronom indéfini « on », futur de certitude, négation comme dernier mot du poème). 2/La souffrance Dès le premier quatrain, le verbe « souffrir » est mis en valeur par : l'hyperbole (« si bien souffrir »), l'antithèse (« si mal aimer » vs « si bien souffrir

En quoi le quiproquo sur le mariage révèle-t-il ici un conflit de caractère ? L'extrait repose sur un quiproquo qui engendre le comique. Tout d'abord, le quiproquo débute avec la confusion du verbe "marier" lors du dialogue entre Agnès et Arnolphe discutant sur la rencontre surprise de la jeune fille et ses relations interdites. Agnès souhaite se marier avec Horace pour ainsi le voir librement "Mariez-moi donc promptement, je vous prie" mais Arnolphe pense qu'il s'agit de lui et accepte sa demande