Article indéfini

Clézio, La Ronde et autres faits divers (1982). Outils Repérage Analyse Pistes d’interprétation axes Enonciation Pronom Temps utilisé Tournure impersonnelle : il y a l.1,8/9,24,25,27 Récurrence du pronom “ on ” l.6, 20,21 du pronom indéfini “ personne ”l.9,10,11,13, Présent Absence de narrateur mais utilisation de discours direct Procédés lexicaux Récurrence de la forme négative : pronom “ personne ”, négation l.8/9,13/14, 15, 17, 18, 24, adjectifs comportant des préfixes négatifs

appartient au passé. Ici le Loup utilise l'argument du délit d'opinion, symbole d'une justice partiale et arbitraire. De même, l'argument final « on me l'a dit : il faut que je me venge » au vers 26, accentue cette idée de rumeur avec le pronom indéfini « on », et la tournure impersonnelle « il faut « semble indiquer que le Loup est contraint de sévir, malgré lui, que la vindicte populaire en a décidé ainsi. Cet ultime prétexte souligne la parfaite vacuité de l'argumentation. Enfin, il

L’éloge de l’infidélité : La tirade de D.J s’ouvre par une question qui sert à poser le problème : “ Tu veux qu’on se lie (...) personne?” 1. Opposition fidélité/infidélité : Pour faire son éloge de l’infidélité, Dom Juan utilise le pronom indéfini “on” qui lui permet de généraliser son propos et le pronom personnel “nous” qui permet d’impliquer les lecteurs/spectateurs. Pour évoquer la fidélité D.J utilise deus champs lexicaux : - Celui de la mort : “s’ensevelir, être mort, fini (...)”.

" avec admiration " et " avec curiosité ". | |C’est l’apparence " l'air ", ainsi que la matière tangible, " le corps, la chair ", qui parlent à Thérèse et lorsque le | |narrateur écrit : " On sentait ", le pronom indéfini désigne à l'évidence Thérèse, puisque son emploi suit logiquement | |l’examen de la jeune femme. L'héroïne devine donc par ses sens la forme des muscles de Laurent, son animalité et sa | |virilité.

sont-elles décrites pour elles-mêmes ? Que symbolisent les fenêtres ? Axe 1 : la fenêtre symbolise l’altérité a. La description de la fenêtre Dans le premier paragraphe, on a une portée générale avec le pronom démonstratif « celui qui » et le pronom indéfini « on ». Cela suggère que l’expérience décrite est possible et valable pour tous. La portée générale est appuyée par l’utilisation du présent de vérité générale dans le premier paragraphe. Ce premier paragraphe présente donc, de façon générale l’observateur

relativisme. Le décallage entre minuscule d'imprimerie et italique conotent la disproportion de la terre . La méditérannée est composée à une "marre". Le lexique cherche à minorer les grandeurs. Le point de vue des géants est représenté par le pronom indéfini "on" , et l'expression "pour eux" développe cette idée de relativisme. Les térriens ne sont pas perçus par les géants et son assimilés à des rampants comme s'ils étaient dépourvus de penser. Dans sa construction , la phrase nie l'existence des

qui n’a pas lu l’original. Il faut conserver l’énonciation du texte original (ne pas changer de point de vue) Il faut éviter d’utiliser le « je » : pour cela (pour exprimer tout de même les idées de l’auteur) il est possible d’utiliser le pronom indéfini « on » ou les tournures impersonnelles (il faut que …, il est clair que…) L’exercice de la contraction exige une reformulation et la mise en lumière (dévoilement) de la structure logique Pour cela il faut utiliser de vrais connecteurs logiques :

très bon argument, il «n'étai[t] pas né» le loup dis donc que si se n'ai pas lui c'est son frère ou quelqu'un des siens . Il est de mauvaise foi, il n'a pas de vrai arguments, aucun justification et aucune preuve a ce qu'il dit. Il utilise un pronom indéfini «On me la dit», ce qui est très vague donc pas une vraie preuve. Au V26 la pontuation [:] marque un lien cause/ conséquence et le verbe «il faut» présente le crime qu'il va commettre conne un devoir. Ceci fait appel aux valeurs aristocratiques, il

dit quelque chose que je n’ai pas compris. Ici, il y a l’auxiliaire avoir que je conjugue avec le COD. Que n’ai-je pas compris ? Quelque chose. Mais quelque chose est féminin alors pourquoi je ne fais pas d’accord ? Car quelque chose est un pronom indéfini. On pourra dire : Il y a une chose qu’il ma permise. MAIS Il y a quelque chose qu’il ma permis. Il est des notres. Il est des nôtres. Notre : de Noster en latin. Ce mot s’est appauvri mais son accent circonflexe s’est conservé. La langue française

nous irons au stade. Le verbe a plusieurs sujets • La règle générale demande un verbe au pluriel: Ex : Doudou, Moussa et Marième sont arrivés. • Il y a des cas où le verbe reste au singulier - Un pronom indéfini représente tous les sujets: Ex : Livres, documents, photos, tout avait disparu. - Les sujets forment une gradation que le dernier terme résume: Ex : La peine, la souffrance, le désespoir même se lit dans ses yeux. - Les sujets