Article indéfini

dans leur tombe il est question d'ombres et de fantômes l 8, l11, 19 II La vision apocalyptique de la fin de l'humanité A. La désumanisation des combattants emploi des indéfinis et des pluriels : « un homme » l 8, « d'autres » l 8, « des hommes » l 15, « un homme » l 21 « quelqu'un » l 40 emploi fréquent du pronom indéfini « on » l6, l11, , l26, l27 + pronom démonstratif « cela » l 29 « cela geint, cela se trâine » réduit à des ombres anonymes l 8, l11, 19 leur souffrance aussi est anonyme:

un pré, je pence. La faute est ridicule par rapport à celle du lion il aura droit a une circonstance atténuante. 5). Le verdict et la condamnation La réaction est immédiate « à ces mots on cria haro sur le buchait » « On » est un pronom indéfini généralisant, tout le conseil est d’accord pour accuser l’âne. « Haro sur… » Est une vielle expression qui dit qu’on envois quelqu’un en procès. L’âne est rabaissé moralement « maudit animal » est physiquement « ce pellé, ce galleux » c’est donc

l 89-90. Scarmentado décrit ce qu'il voit mais cette accumulation est évidemment caricaturale du point de vue de Voltaire, l'idée étant de dégager l'absurdité des rituels , en apparence civilisés, en réalité barbares. L'utilisation du pronom indéfini «on» dans «  on coupait la tête » 56, « on peut se sauver » 62 , «  on chanta dévotement » 95 « on brula à petit feu tous les coupables »l 96 est enfin une façon de désigner ironiquement les responsables car ce pronom suggère que les coupables

d'une guerre absurde 1. Le caractère malgré tout informatif du texte 2. L'ironie caustique 3. La distance Extrait du document: Ensuite, la psychologie du narrateur, est appuyée par « on en approchait », « on voyait ». A l'aide du pronom indéfini « on », narrateur produit un effet de choquer. Il est désespéré, comme nous le prouve cette anti-phrase « c'était gai ». On peut conclure sur le fait que Bardamus, est un anti-héros. La distanciation donne un effet de spectacle, le soldat est lâche

rêvé. En effet, la ponctuation affective dans « extase ! » illustre l’émotion du poète due au fantasme. Le poète peut alors enfin exprimer ses désirs les plus secrètement enfouis comme le prouve “dans ce noir océan ou l’autre est enfermé”, le pronom indéfini “autre” reprenant l’ensemble des sentiments cachés en permanence sous le papier. Dans le dernier quintil, la femme maitresse des sentiments caches du poète, devient de plus en plus proche, accessible et réelle, comme le prouve le passage du pronom

ce, ceux, celles, celui-ci, ceci, ceux-là, celle-ci, cela, ça, celles-là… 4- Un pronom relatif : qui, que, dont, lequel, laquelle, lesquels, lesquelles, à qui, à quoi, de qui, de quoi, où, auquel, desquels, auxquels, avec lequel… 5- Un pronom indéfini : nul, nulle, aucun, aucune, personne, pas un, l’une, chacun, plus d’une, quelqu’une, un autre, n’importe lequel, certains, tous, beaucoup, trop, peu, plusieurs, la plupart, tel, bon nombre, rien, autrui, tout, tout le monde, quelque chose, autre

rythme ternaire (procédé principal de la réplique) montre le caractère volontaire et décidé. Noter dans l'ensemble de la tirade, le glissement du pronom "vous" (Dorante) remplacé par le "nous" puis par le "je". La jeune veuve désignée par le pronom indéfini "on" : "toute raisonnable qu'on est ; on vous épousera, toute fière qu'on est, et on vous enrichira". Ainsi, elle n'apparaît pas en tant qu'individualité, un "on" (elle, ma maîtresse + moi) qui peut laisser sous entendre la participation active de

possessif de la 3ème personne pour parler de son propre enfant et l’article défini « la » pour qualifier sa propre femme. On retrouve également l'idée de lassitude. Sur le plan syntaxique : - triple occurrence de la négation « ni » - pronom indéfini « rien » - la conjonction de coordination « et » traduit une insistance - le passé composé traduit ici l’ennui contrairement au participe présent du vers 11 Tous les éléments qui pourraient le retenir soulignent cependant catégoriquement l’impuissance

expressions participales (“se basculant” 53, “plaisantant” 124, “caressant” 125, etc.). Certaines didascalies présentent des attitudes de parole (“vexé” 75, “ironique” 96, “furieux” 118, etc.). Remarquons les particularités de l’emploi du pronom indéfini “on” introduit dans les didascalies (“On avait pu le voir” 10, “On voit les marches de l’escalier” 43, etc). Le pronom personnel “on” soit est inclusif du locuteur et du destinataire, soit marque un changement de valeur énonciative. Dans les exemples

traduire leur parti pris quant aux personnages.Par exemple dans Stendhal, le pronom « notre » désignant Fabrice implique le lecteur et le met du côté du narrateur, l'invitant à avoir une vision critique de fameux personnage. Proust va employer le pronom indéfini « on » pour au contraire désigner la société bourgeoise, tout en permettant à l'auteur de garder une certaine distance, ne se comptant pas dans ses personnages, et ainsi les critiquer indirectement. Ici encore on peut même entrevoir l'intevention