Assertion D Audit

Audit des inventaires physiques des immobilisations corporelles Sommaire SOMMAIRE 2 Introduction 2 Première Partie : Organisation et procédures d’inventaire physique des immobilisations corporelles 3 Section 1 : Planification de l’inventaire physique des immobilisations 4 1.1. Organisation préalable des travaux d’inventaires 4 1.2. Instructions d’inventaire physique des immobilisations corporelles 5 Section 2 : Réalisation de l’inventaire physique des immobilisations

adaptés directement à l’audit externe légal centré sur des objectifs financiers ! normes adaptées en France par la CNCC sur la base des ISA pour l’activité des CAC = méthodologie et outils transposables à d’autres types d’audit ! en particulier les audits opérationnels centrés sur des objectifs et des objets divers (qualité, environnement, social, etc.) 4 David Carassus Principes d’audit et de contrôle interne – Chap. 5 : Méthodologie et outils CHAPITRE V.1 : Orientation et planification

CONTROLE INTERNE I. GENERALITES L’audit dans son acceptation plus large peut se définir comme « procédé systématiques et objectif visant à obtenir des éléments probants concernant des assertions relatives à des informations économiques ou à des événements afin d’évaluer le degré de conformité de ces assertions aux critères établis et à communiquer les résultats de cette évaluation » (D’après l’Audit Concepts Committee USA)1. Cette définition, un peu complexe, présente l’intérêt d’avoir un caractère

CONTROLE INTERNE I. GENERALITES L’audit dans son acceptation plus large peut se définir comme « procédé systématiques et objectif visant à obtenir des éléments probants concernant des assertions relatives à des informations économiques ou à des événements afin d’évaluer le degré de conformité de ces assertions aux critères établis et à communiquer les résultats de cette évaluation » (D’après l’Audit Concepts Committee USA)1. Cette définition, un peu complexe, présente l’intérêt d’avoir un caractère

mission de rédaction de ce mémoire. De plus, je remercie les deux auditeurs SI, Bruno LIVERNAIS et Florent SUM, de m’avoir fait part de leurs connaissances sur le sujet de l’informatique. Je remercie également l’ensemble du personnel du service audit pour l’accueil, la présence et disponibilité pendant ces quatre mois de stage, pour les connaissances et conseils partagés à travers les missions qu’ils m’ont confiées. Je tiens par ailleurs à remercier Monsieur Patrice CHARLIER, mon directeur

Audit Contrôle des comptes |[| |p| |i| |c| |]| L'audit légal en milieu informatisé L a Compagnie nationale des commissaires aux comptes vient de publier un guide d'application intitulé « Prise en compte de l'environnement informatique et incidence sur la démarche d'audit » qui traite des apports de la norme CNCC 2-302 et des domaines sensibles de la démarche du commissaire aux comptes en milieu informatisé. [pic]L'appréciation du contrôle interne : les apports de la norme CNCC

O. n° 239 du 14 octobre 2006. Elle remplace la norme « 2-203. Caractère significatif en matière d'audit» du référentiel normatif CNCC de juillet 2003. 1. En vue de formuler son opinion sur les comptes, le commissaire aux comptes met en œuvre un audit afin d'obtenir l'assurance, élevée mais non absolue, qualifiée par convention d'« assurance raisonnable », que les comptes pris dans leur ensemble ne comportent pas d'anomalies significatives par leur montant ou par leur nature. 2. Pour évaluer le

PRATIQUE D’AUDIT 10 Plus pragmatiquement, on peut schématiser comme suit les différentes étapes de la démarche (inspiré du mémento d'audit Francis Lefebvre § 26540) : 1A - plan de mission 1B - lettre de mission 3A - conclusions sur les assertions d'audit 3B - préparation de l'opinion sur les comptes 4A - communication avec le gouvernement d'entreprise 4B - rapports 214 - RESPONSABILITÉS Responsabilité de la direction et du gouvernement d'entreprise La direction doit veiller à

aux enjeux RSE à couvrir, la deuxième a permis de discuter, pour une sélection d’enjeux identifiés par le comité, des solutions mises en œuvre par Sanofi.* Le comité de parties prenantes continuera de se réunir régulièrement en 2013. *  es assertions ont fait l’objet de travaux de vérification par les commissaires aux comptes leur permettant d’exprimer une C assurance spécifique sur ces informations dans le cadre de l’examen du Document de Référence, qui traite de la réponse aux exigences

(professionnels en exercice), propose une approche conceptuelle de l’indépendance qui tient 2 Dans le cas des missions d’assurance portant expressément sur des informations financières historiques, les missions d’assurance raisonnable sont appelées «audits» et les missions d’assurance limitée sont appelées «examens». 3 Les normes ISA, ISRE et ISAE contiennent des normes et des indications supplémentaires sur les procédures de contrôle qualité applicables à des types de missions d’assurance spécifiques