Assertion D Audit

aux Etats Unies et en France Section 2: Sociétés Marocaines cotées aux Etats Unies et en France Troisième partie : Convergence, divergences et critiques formulables Section 1 : Comparatif des lois Section 2 : Grandeurs et décadences des lois ( audit de la fraude conséquences p : 80 surtt 83) Section 3 : SOX et LSF : de la contrainte réglementaire à la doctrine. Introduction L’économie de marché, fondée sur la libre confrontation de l’offre et la demande ainsi que sur la mondialisation

Ecole Nationale de Commerce et de Gestion ommerce -Kenitra enitra Audit comptable et financier Cycle ventes/clients Réalisé par: Narjiss AGOUJIL Lamia DOUKKALI Soukayna HADDAJ Hafid LHOUTAINE Daniel MOUTHE ABASSANEN Encadré par: Mr. Mohamed Achraf Na Nafzaoui Année universitaire : 2010/2011 ENCG-K Année universitaire 2010/2011 1 Cycle ventes /clients PLAN Introduction Axe I- généralités sur le cycle Ventes/Clients IIIL’importance du cycle Ventes/Clients pour l’entreprise La

halshs-00581245, version 1 - 30 Mar 2011 c o n t r ô l e d e g e s t i o n Budgets Tableaux de bord ad hoc Tableaux de bords articulés stratégiques (balanced scorecard, …) Réduction des coûts (BBZ, …) Analyses économiques (rentabilité des projets, …) Audits opérationnels X X /0 - 0 0 - 0 0 - X/0 X/0 - 0 0 - X X - X/0 - 0 0 - 0 0 - X/0 X/0 - 9/10 10/10 0/10 Non abordés dans l’enquête X : sous ERP 0 : Hors ERP X / 0 : mixage ERP et périphériques Tableau 3

|ISA 315 « Compréhension de l’entité et de son environnement et | |ISA 400 « Evaluation du risque et du contrôle interne » ; |appréciation des risques d’inexactitudes significatives ». | |ISA 410 « Audit réalisé dans un environnement informatique ». | | II- La normalisation nationale : En Tunisie, les Commissaires aux Comptes conduisent leurs missions conformément

place. Par ailleurs, les effectifs ont été renforcés. Outre les projets normatifs, les avis déontologiques et le traitement des dossiers juridictionnels, le H3C a poursuivi sa dynamique de contrôle des cabinets. Les améliorations de la qualité des audits attendues par le Haut Conseil à la suite des contrôles, sont retracées dans ce rapport. Notre action s’inscrit pleinement dans le mouvement international de renforcement du contrôle légal des comptes. La coordination européenne est entrée dans une

dimensions de la liquidité et qui révèle le caractère relatif de la liquidité d’un actif et, d’autre part, de l’asymétrie d’information entre le législateur et le banquier. La récurrence des crises bancaires et financières ne peut que valider cette assertion. De ce fait, l’existence des Banques centrales, pourvoyeuses de la liquidité ultime, est une nécessité absolue du système. Encore faudrait-il que celles-ci, dans leur fonction de prêteur en dernier ressort, fassent la différence entre illiquidité

la modification de la manière dont les missions traditionnelles sont offertes et conduites. Les missions traditionnelles recouvrent celles qui font appel aux compétences les plus élémentaires des experts-comptables : tenue et assistance comptables, audit des états financiers et conseil en fiscalité et en management. Dans ce chapitre, nous essayerons de présenter les nouvelles technologies appliquées à ces missions. Nous aborderons dans un premier temps le reengineering des missions d'expertise (Section

sait que son existence ou ses missions sont susceptibles d’être discutées, négociées et revues. De même, l’Inspection des finances peut être considérée dans un environnement concurrentiel faisant intervenir des concurrents internes (contrôle interne, audit interne, etc.) et des concurrents externes (cabinets d’audit, consultants, etc.). Dans une démarche complète, la gestion des connaissances propose donc de considérer les deux grandes catégories proposées par M. Polanyi et de mettre en place des

méthodes de recherche d'une cible (le « sourcing ») Des vendeurs moins nombreux que prévu Tout le monde dit, écrit et semble croire que le marché de la transmission des PME est, du fait du « papy boom », explosif. Les vendeurs devraient, si ces assertions étaient fondées, se bousculer « aux bousculer au portillon », et en bonne logique d'économie de marché, brader leur affaire à vil prix. LBO : L’amont avant l’aval -9- Cependant, pour Gilles Lecointre, statisticien en transmission d'entreprise

maxima, Paris, 2003. *MORGAN G., « image de l’organisation »,La presse de l’Université de Laval, Edition ESKA, 1989. *SENGE P., « La cinquième discipline », Economica, Paris, 199 83 Plans de cours Gestion L3 - FINANCE - COMPTABILITE 84 AUDIT Niveau : L3 Volume horaire : (Cours : 42h, TD : 21h) OBJECTIF Familiariser les étudiants à la démarche d’audit Apport professionnel Participer à la mise en place de manuel de procédure et aux missions d’audit interne et externe PLAN DU COURS