Association étudiante

Introduction…………………………………………………………………………………...3 1- Présentation des deux mutuelles étudiantes…………………………………………4 1-1 Les SMER………………………………………………………………………...4 Historique…………………………………………………………………………4 Fonctionnement interne…………………………………………………………..4 Améliorer l'état sanitaire et social des étudiants………………………………..5 1-2 La LMDE………………………………………………………………..…….......5 Historique…………………………………………………………………..…..…5 Fonctionnement interne……………………………………………………...…...5 Améliorer l'état sanitaire et social des étudiants………………………………..6 Les enquêtes………………………………………………………………………

logement des étudiants en précarité : entre urgence et réalité sociale Editorial Assistant de service social 1ére année La situation des étudiants est de plus en plus préoccupante. En effet, selon un rapport1 réalisé par l’Observatoire de la vie étudiante (OVE) en 2003, la France en compte plus de 2 millions ; 45 000 d’entre eux seraient en situation de précarité et 225 000 dans des situations financières difficiles. D’après l’Union Nationale des Etudiants Français (UNEF, syndicat étudiant), « le loyer

Mutuelle étudiante : de 60,00 € à 340,00 € Dormir (http://www.unilim.fr/spip.php?article441&lang=fr) Vous pouvez bénéficier d’une aide au logement (APL) qui dépendra de vos ressources. Plus d’informations : www.caf.fr Etudiants non boursiers : - Chambre en Cité Universitaire : 138,00 € - 40,00 € (APL) = 96,00 €/mois - Studio en Cité Universitaire : 350,00 € - 170 €(APL) = 180,00 €/mois + électricité (de 25,00 € à 100,00 €/mois en fonction de la consommation) Etudiants boursiers :

Projet : Réhabilitation d’une cité U Habitons- nous des espaces de travail ? Travaillons-nous dans des espaces d’habitat ? Les cités universitaires sont des espaces destinés aux étudiants pour leur permettre d’étudier et d’habiter à proximité de leur université. Ces espaces proposent des espaces communs tels que les salles d’étude et les bibliothèques (destinés au travail) et des chambres de 9m² proposant le stricte minimum, assurant les fonctions principales tels que le sommeil, l’alimentation

logements et installations communes ainsi que les maisons individuelles indépendantes construites sur un même terrain peuvent également être soumis au régime de la copropriété, si les copropriétaires n’ont pas choisi un autre système de gestion (association syndicale). Les parties communes et les parties privatives Les copropriétés sont divisées en parties qui sont : • communes, lorsqu’elles sont la propriété de l’ensemble des copropriétaires et destinées à l’usage de tous : toiture, murs, escaliers

d'un bornage. Lorsque le terrain est un lot de lotissement, est issu d'une division effectuée à l'intérieur d'une zone d'aménagement concerté par la personne publique ou privée chargée de l'aménagement ou est issu d'un remembrement réalisé par une association foncière urbaine, la mention du descriptif du terrain résultant du bornage est inscrite dans la promesse ou le contrat. Le bénéficiaire en cas de promesse de vente, le promettant en cas de promesse d'achat ou l'acquéreur du terrain peut intenter

et ses relations avec les agents économiques de son environnement. Ce réseau de pouvoirs et de contre-pouvoirs s’exprime dans des négociations et se traduit par un ensemble de contraintes et d’opportunités pour l’organisation. actionnaires Associations de consommateurs Dirigeants Groupements professionnels Administration Autorités de tutelle Syndicats Salariés La gouvernance d’entreprise : Dans une grande entreprise, le pouvoir est partagé entre les actionnaires et l’équipe dirigeante

Nicolini responsable du pôle média à la Chambre de consommation d'Alsace Rédacteur en chef du Consommateur d'Alsace Fondateur du Studio 3 (outils multimédia) Réalisateur – cadreur - monteur Sommaire 1 2 3 4 Un siècle d'engagement Les associations de consommateurs Les instances consultatives Structures gouvernementales et administratives Sommaire 5 6 7 8 L'Institut national de la consommation Autres organismes de protection Règlement des litiges de la consommation Services consommateurs

CHARITE Avant de porter notre réflexion sur ce mot ne devons nous pas d’abord nous poser deux questions : « Suis-je une personne charitable et bienfaisante » dans ma vie de tous les jours ? et « comment dois je les interpréter au quotidien ? » A la 1ère interrogation la majorité d’entre nous répondra « oui » Peut être tout simplement par défaut d’éléments tendant à nous démontrer le contraire. Et peut être aussi tout simplement parce qu’être charitable ce n’est pas forcément ni obligatoirement

décembre 1905 Elle met fin à la notion de « culte reconnu » et fait des Églises des associations de droit privé. De plus l’article 4 organise la dévolution des biens des établissements religieux à des associations cultuelles. La loi est violemment critiquée par Pie X , qui condamne la rupture unilatérale du concordat, proteste contre les nouvelles spoliations et refuse catégoriquement la mise en place des associations cultuelles, incompatibles avec l’organisation hiérarchique canonique catholique