Assumer Ses Actes

1 – La notion de responsabilité Que signifie être « responsable » au sens juridique ? C’est l’obligation de répondre de ses actes. C’est donc supporter les conséquences des obligations : - qu’on a contractées personnellement - ou qui sont imposées par nos actes et la vie en société 2 – les différentes formes de responsabilité et leur fondement Fondement de la responsabilité pénale Fondement de la responsabilité civile Art 1382 CC Elle naît d’une infraction à la loi pénale - contraventions ;

heures», comme le souligne Ariane Petit. Le héros de cette série, Jack Bauer, use de la torture pour obtenir des informations qui ensuite permettent de sauver le monde. La différenciation entre «le bien» et «le mal» est de plus en plus floue. Les actes ne sont plus un élément de distinction entre ces deux concepts, ce sont  de nos jours les intentions qui importent. Ce comportement ce mari fort bien avec l’adage «la fin justifie les moyens». Charlotte Goëtz-Nothomb nous explique une évolution flagrante

d’un système contractuel. Fournisseur => Entreprise => Client Contrat Contrat Contrat : relation entre 2 personnes qui permet d’exiger une obligation par une personne sur l’autre. Etre responsable c’est assumer ses actes mais aussi les conséquences de ses actes. I- Notion de responsabilité contractuelle 2 types de responsabilité : - Pénale : Elle a pour but de punir et payer sa dette à l’Etat. - Civile : Elle répare une atteinte à des intérêts privés d’un

avec la seule survenue d'un accident ; si elle est établie, elle ne l'est qu 'au terme d'une appréciation menée en référence aux règles de responsabilité qui précisent à quelles conditions un professionnel ou un établissement assume les conséquences dommageables de ses actes. Ces règles qui s 'ap pliquent après l'accident sont autant de règles de qualification qui per mettent a posteriori de dire à quelles conditions un professionnel ou un établissement de santé pourra être déclaré responsable. Il

théorie sartrienne de l’existentialisme  d’après laquelle l’homme surgit dans le monde, existe et est défini par ses actions. ( c’est la doctrine : « l’existence précède l’essence ».) D’après Sartre, la liberté, c’est être responsable de ses actes et les assumer. Dans une certaine vision politique, Egisthe et Jupiter peuvent représenter le duo Pétain/catholicisme qui conseille à Oreste de collaborer : « Connais ta faute … ou redoute » Quant à Oreste, il est certainement le « résistant type » qui

Ne sommes-nous pas plus heureux dans l'illusion ? Descartes aussi dans son Discours de la méthode fait une découverte : celle que, comme l'homme pense « Cogito ergo sum », il est amené à prendre conscience de son existence et que ses actes ne peuvent qu'être assumés, ce qui prive l'Homme du confort de l'insouciance et de l'irresponsabilité. En effet, la lucidité est une réflexion intellectuelle amenée par la conscience. Il nous faut penser et comprendre le sens de la vie pour être lucide. C'est

synonyme de paroles. * sartre : L'homme se définit par ses actions et son existence (existentialisme). Dans un monde sans Dieu et qui n'a aucun sens, il est seul et condamné à être libre. Mais il est donc pleinement responsable et il doit assumer ses actes par l'engagement politique. * idée : Parfois synonyme de représentation mentale, parfois de concept (idée générale et abstraite); dans le platonisme, et avec un I majuscule, les Idées sont les modèles des choses, existant en soi, que l'âme

Souhaitant être en adéquation avec mes aspirations et ma vie professionnelle, je désire changer d’activité professionnelle. Mon but est d’accompagner les personnes dans les actes essentiels du quotidien et de contribuer à l’autonomie physique, intellectuelle et sociale des personnes dans leur cadre de vie. Actuellement en CDI, j'occupe un emploi de xxxxxxxx qui ne me satisfait pas entièrement. J'apporte une aide aux personnes mais les relations ne se font que par téléphone ou par courriers

l’élément qu’elle voulait me montrer. C’était une lettre en dessous de mon lit qui expliquait le fait de ma séparation avec elle, n’ayant pas eu le courage de la lui donner je ne pus que la mettre sous mon lit en pensant qu’un je serai près à assumer mes actes. Je me retournai vers elle pour lui expliquer mes raisons de ce non acte de bravoure. Quand je lui eu finit de lui expliquer elle pointa son fusil sur moi et m’avait dit : je vais enfin me venger. Elle appuya sur la gâchette et me tira dans

dire ce qu’elle pense de lui, persuadée qu’il a tort, elle assume ses actes, ses choix et ses idées. Elle ose même qualifier son crime de gloire.  « Que tardes-tu donc ? De toutes tes paroles aucune qui me soit agréable ni puisse jamais l’être, et les miennes aussi sont de nature à te déplaire. Pouvais-je obtenir gloire plus glorieuse que de donner à mon frère une sépulture ? » (p.69, v.499-503) Elle est si sûre d’elle quant à ses actes qu’elle ose même parler au nom de tous, étant la seule à dire