Astrée

pas Ydalie comme un être humain mais un objet de ses rêves, de ses vœux, un peu comme un ange. Quand il dit «beaux astres inhumains » il parle à nouveau des yeux d’Ydalie. Pour lui, elle ne représente pas une réalité physique il la compare donc à un astre. « Ces roses et ces lys où la beauté se mire » métaphore et comparaison aux fleurs donc une analogie en même temps. « Le ciel qui de son œuvre est lui-même amoureux » ici Tisimandre lui interprète que Dieu à créé une belle créature qui est semblable

etAnne Reboul font la m6me opposition : Les logiciens font, eux aussi, clairement et humoristiquement Ia diff6rence entre la signification et la chose signifide, lorsqu'ils afflrment que et - ont la m0me ddnotation, puisqu'il s'agit du mdme astre; mais clles n'ont pas le m6me sens : seraitla m6me, mais leur sens serait diffdrent> (Frege, 1971, 103)1. De fait. si elles avaient le m6me sens, serait tautologique , comme l'est (2) : (2) L dtoile du matin est I'dtoile du matin. Mais ( I ), ir

1693) • Les Amours de Psyché et de Cupidon (1669) • Recueil de poésies chrétiennes et diverses (1671) • Poème de la captivité de saint Malc (1673) • Daphné (1674) • Poème du Quinquina (1682) • Ouvrages de prose et de poésie (1685) • Astrée (1691)

Le Mondain, VOLTAIRE 1736 Lecture analytique 1 I. LE BLAME DU BONHEUR. A. La dénonciation du mythe de l'Age d'Or. -Temps d'innocense, d'abondance de justice et de bonheur (moyen âge promesse d'un futur paridisiaque). -Astrée (V.2) personnage féminin personnification de la justice. Fille de Zeus, dernière immortelle à vivre sur terre, Zeus la placera au ciel à l'age de bronze. -Saturne (V.3) dans le ciel pendant la création des hommes «beau jours de Saturne » = Age d'Or. -Rhée (V.3) fille

Elles rappellent la sirène maléfique La Loreley, évoquée dans un autre poème, qui séduisait les chevaliers pour les noyer ; créatures maléfiques, ce sont des êtres nocturnes « nuit rhénane », « lors des nuits », elles apparaissent « sous la lune », astre emblématique du caractère mystérieux féminin ; le mystère est amplifié par la couleur étrange de leurs cheveux « verts » et l’impression de violence suggérée par le verbe « tordre ». - La 2e strophe souligne la menace que représentent ces femmes et

description. Le moment choisi pour la description est celui du coucher du soleil qui baigne le cadre de lumières imprécises. Les vers suivants en sont la preuve : « Un coteau vert que le couchant jaunit. » vers 8 poème de Nerval) « L´heure où l´astre géant rougit et disparaît. » (vers 3 poème d´Hugo) Comme notation sensorielle, la vue est ici évoquée. II. Souvenir et rêve confondus 1. Réel ou imaginaire ? Le titre du poème de Gérard de Nerval Fantaisie vient du grec phantasia

Lorenzaccio, par son action, qui deviendra un homme. Lorenzaccio s'impatiente, le temps lui paraît long. ("Patience !", "l'heure va venir"). La mort est omniprésente : on le voit aux nombreuses occurrences du verbe mourir et à la présence de la lune, astre mort. (" Te voilà, toi, face livide ?") Vous pouviez citer : "crime, crime", "dernier soupir ","mourût", "J'irai droit au cœur, il se verra tuer", "Sang du Christ !". Il convenait de relever les "aspects techniques" du complot : "flambeau" qu'il

8). c) Le recours à la mythologie  Ondines que la mythologie germanique fait vivre au fond des fleuves dans un palais de cristal où elles attirent et gardent prisonniers les hommes de passage. Se réunissant de nuit et « sous la lune» (v. 3), astre maléfique, elles sont « sept » (v. 3) (nombre magique) et leurs cheveux sont « verts» (v. 4). Cette couleur révèle leur nature et leur origine : ce sont des Ondines. Leur chevelure verte se confond avec l'eau du fleuve ; elles les tordent (v. 4), geste

L’aube
 Je n’en rate pas une
 Je suis toujours sur le pont
 A poils
 Et je suis toujours le seul à les admirer 
Mais je ne vais pas décrire les aubes 
Je vais les garder pour moi seul Blaise Cendrars La tulipe Madrigal Au soleil. Bel astre à qui je dois mon être et ma beauté, 
Ajoute l’immortalité 
A l’éclat non pareil dont je suis embellie ;
 Empêche que le temps n’efface mes couleurs : 
Pour trône donne-moi le beau front de Julie ; 
Et, si cet heureux sort à ma gloire s’allie

LE CRAPAUD pdfEXPLICATION LINEAIRE Le Crapaud Intro: « Le beau est toujours bizarre » est une citation prononcée par Charles Baudelaire à l’occasion de l’Exposition universelle des beaux-arts en 1855. Ce poète maudit fait la critique de l’esthétique dans ces oeuvres tout comme Tristan Corbière, né en 1845 et mort en 1875. Il est un auteur particulièrement excentrique et il est en porte-à-faux avec les mouvements littéraires de son époque donc du 19e siècle; le romantisme et Parnasse qui est