Astrée

LE DESIR ET LE BONHEUR INTRODUCTION -Le désir en latin sidus(astre) considerae(contemplé) desiderae( regretté -regretté son absence) -Littéralement le désir c'est le regret d'un astre disparu -Le désir souligne une absence et la souffrance liée à cette absence -Mais le paradoxe du désir c'est que qu'il souligne également l'espérance -Il y a 2 aspects du désir = l'aspect du manque + l'espérance de venir combler ce manque -Platon évoque ce paradoxe à travers le mythe d'Eros ,fils de Penia(la

de Victor Hugo : En hiver la terre pleure ; Le soleil froid, pâle et doux, Vient tard, et part de bonne heure, Ennuyé du rendez-vous. Leurs idylles sont moroses. - Soleil ! aimons ! - Essayons. O terre, où donc sont tes roses ? - Astre, où donc sont tes rayons ? Il prend un prétexte, grêle, Vent, nuage noir ou blanc, Et dit : - C'est la nuit, ma belle ! - Et la fait en s'en allant ; Comme un amant qui retire Chaque jour son coeur du noeud, Et, ne sachant plus que dire

Les Amours de Psyché et de Cupidon (1669) * Recueil de poésies chrétiennes et diverses (1671) * Poème de la captivité de saint Malc (1673) * Daphné (1674) * Poème du Quinquina (1682) * Ouvrages de prose et de poésie (1685) * Astrée (1691) * Qu’est-ce que le style ? * Un sens = plusieurs formes. * C’est en fait la manière dont un sens est véhiculé. C’est le choix d’un auteur sur une manière de s’exprimer. (Attention ! Une forme peut revêtir plusieurs sens : ironie

sensibiliser un maximum les autres groupes, en particulier ceux ennemis, sur l’enjeu du poumon de la planète afin qu’ils comprennent qu’il est important de sauvegarder la terre. Pour nous, nos enfants, tous les animaux et la splendeur naturelle de notre astre bien-aimé.

sa propre faiblesse. Un diptyque 1. L' infmiment grand - accumulation qui égare toujours plus loin l'homme dans sa perception de l'univers (crescendo dans l'évocation du plus en plus grand) , en passant par des termes scientifiques: « terre »1.7, « astre »1. 8, « astres »1. Il, « firmament » 1. 12, « espaces » 1. 16, « atomes » 1. 16 - gradation 1.23 qui opère le mouvement inverse et l'homme à sa propre condition. NB « petit cachot» (expression péjorative et volontairement réductrice), «j'entends l'univers»

tromperait encore qui croirait que, dans nos climats du moins, c'est une vérité nécessaire et éternelle qui durera toujours, puisqu'on doit juger que la terre et le soleil même n'existent pas nécessairement, et qu'il y aura peut-être un temps où ce bel astre ne sera plus, au moins dans la présente forme, ni tout son système. Si, pour la tradition empiriste, l'expérience est le fondement de toutes nos connaissances ,ou de posséder une représentation de quelque chose, pour les rationalistes, elle est peu

linguistique, avec les travaux de Ferdinand de Saussure a mis en valeur, avec les notions de signifiant et de signifié, la façon dont les mots peuvent connoter, non pas une information, mais plusieurs. Ainsi, le mot soleil, n’évoque pas seulement un astre, mais aussi le roi Louis XIV, parce que notre culture, notre imaginaire nous le rappelle comme celui qui se désignait comme le « roi-soleil ». Une personne victime d’analphabétisme se retrouve finalement ennuyée, dans la mesure où elle se retrouve

Cassiopée. Ses observations ont montré avec une grande précision que le nouvel astre était immobile par rapport aux étoiles voisines, prouvant ainsi qu'il s'agissait bien d'une étoile et non d'une planète. Ce changement sur la voûte stellaire contredisait les enseignements d'Aristote qui affirmait que tout changement (ou "corruption") ne pouvait survenir qu'à proximité immédiate de la Terre. Quelques années plus tard, un autre astre lui a encore permis de contredire Aristote. En effet, ses observations de

consument en une fraction de seconde en dessinant des stries lumineuses dans le ciel.   Des météoroïdes (petit corps provenant de la désintégration d’un astéroïde) sont des agrégats de matière rocheuse ou métallique, provenant d'une comète (petit astre brillant constitué de glace et de poussière du système solaire) ou d'un astéroïde (objet céleste dont la dimensions varient de quelques dizaine de mètre à plusieurs km autour du Soleil sur une orbite elliptique), qui tournent autour du soleil et croisent

astres" nous renvoie vers un autre domaine, celui de la luminosité qui est considéré comme un topos en poésie. Les yeux éclairent et donnent un sens à la vie du poète. Les termes "feuilles de jour" (vers 6), "aurore" (vers 11), "lumière" (vers 8) et "astre" (vers 12) sont des images renvoyant à la lumière. Les nombreuses métaphores ne se contentent pas simplement d’évoquer la courbe et la luminosité, elles élèvent la femme au niveau du cosmos. Le cosmos est chez les grecs synonyme de beauté (la beauté