Astrée

Le soleil s'est couvert d'un crêpe. Comme lui, Ô Lune de ma vie! emmitoufle-toi d'ombre Dors ou fume à ton gré; sois muette, sois sombre, Et plonge tout entière au gouffre de l'Ennui; Je t'aime ainsi! Pourtant, si tu veux aujourd'hui, Comme un astre éclipsé qui sort de la pénombre, Te pavaner aux lieux que la Folie encombre C'est bien! Charmant poignard, jaillis de ton étui! Allume ta prunelle à la flamme des lustres! Allume le désir dans les regards des rustres! Tout de toi m'est plaisir

Bruyère,etc. Jean de La Fontaine (1621-1695) poète, moraliste, dramaturge, librettiste, fabuliste, académicien et romancier français du XVIIe siècle. Il est l’auteur de nombreuses œuvres littéraires dont Adonis , Les Amours de Psyché et de Cupidon , Astrée et surtout de nombreux recueils de fables (1668, 1678, 1693). Ces textes, inspirés des anciens (Esope, Horce…) sont, outre leur fond souvent distrayant, des prétextes à des morales qui, en ce sicle composent le portrait de « l’honnête homme ». Elles

sorcière installée dans un univers macabre (forêt d’ossements). Elle inflige à Okilélé des travaux impossibles à réaliser dans le temps réel. -la princesse : personnage endormi dans un lit. Elle a la même apparence physique qu’Okilélé. -le soleil : astre endormi qui attend l’aide d’Okilélé. Description du contenu Okilélé vient de la phrase « Oh qu’il est laid ! ». Du fait de sa différence, il n'arrive pas à être accepté par sa famille, malgré le masque qu'il a construit, et malgré tous ses efforts

Les Amours de Psyché et de Cupidon (1669) * Recueil de poésies chrétiennes et diverses (1671) * Poème de la captivité de saint Malc (1673) * Daphné (1674) * Poème du Quinquina (1682) * Ouvrages de prose et de poésie (1685) * Astrée (1691) * Livre XII des fables

créé d'abord le ciel et la terre peuplée d'une humanité qui vivait dans les ténèbres. Toutefois, La divinité suprême et sans doute la plus résérvée, était Inti, le dieu du Solei. Le culte rendu a son honneur était un hommage à l' Inca . Inti, cet astre puissant leur procurait la chaleur, la vie et la fertilité. Leur grand chef se nommait " Sapa inca ", celui qui descendait directement du dieu Inti. Donc Sapa était un dieu. Ils vénéraient aussi la Lune, épouse d'Inti et portaient culte aux étoiles

Terre Eau Feu Air Poésie qui embrasse tout l’univers. B. L’écriture poétique surréaliste répond ici au principe d’élargissement Elargissement spatial : « feuilles » « mousse » « roseaux » Puis « ailes » « bateau » « ciel » « mer »  et « astre »  on passe de qqc de petit a qqc de grand Un amour infini nocturne et diurne : Jour « feuilles de jour » Nuit « berceau nocturne » Un élargissement temporel : l’œil de la femme est une nouvelle naissance pour le poète : L’œil est le gardien

Amours de Cassandre (1552), Amours de Marie (1556), Sonnets pour Hélène (1578) - Jodelle, Cléopâtre captive (1553) - Du Bellay, Les Regrets (1558) ; Les Antiquités de Rome (1558) - Baïf, Antigone (1573, pièce adaptée de Sophocle) - D’Urfée, L’ Astrée (1607-1619) - D’Aubigné, Les Tragiques (1616) - Viau, Œuvres poétiques (1621) - Saint-Amant, Œuvre du sieur de Saint-Amant (1627) - Corneille, L’Illusion comique (1636) - Tristan l’Hermite, La Marianne (1636) - Cyrano de Bergerac, Histoire comique

* V.11 apparait central résumé où s’opposent les verbes « aimons » et « agaçons » → les hommes apprécient la vie mais ils provoquent la mort * Représentation ambiguë de la mort : métaphores mélioratives qui désignent l’obus, engin de mort : « astre éperdu », « cœur obus », « romance », « mille soleils » →on aime d’autant plus la vie que l’on est confronté à la mort * Rimes : elles mêlent vie et mort : « bal »/ »fatal », « romance »/ »silence » Une réflexion sur le destin * La guerre

Après avoir vu la progression de l'expérience du buveur nous allons voir la façon dont le poète met en place l'imaginaire. II. L'univers des légendes A) Le surnaturel dans la chanson du batelier Eléments magiques : présentation de la Lune (astre des métamorphoses féminines), sept femmes (chiffre magique, baigneuses du Rhin). Chanson lente=> dimension hypnotique. Alitérations en [L] : conconne liquide. Femmes inquiétantes, charmeuses, sensuelles qui risquent de menacer le poète=> "tordre"

qu'elle inspire est nocturne et profond. Ses yeux sont deux antres où scintille vaguement le mystère, et son regard illumine comme l'éclair: c'est une explosion dans les ténèbres.     Je la comparerais à un soleil noir, si l'on pouvait concevoir un astre noir versant la lumière et le bonheur. Mais elle fait plus volontiers penser à la lune, qui sans doute l'a marquée de sa redoutable influence; non pas la lune blanche des idylles, qui ressemble à une froide mariée, mais la lune sinistre et enivrante