Atelier de misère

Les personnages dans « L’assommoir » d’Emile ZOLA « […] Et il ne faut point conclure que le peuple tout entier est mauvais, car mes personnages ne sont pas mauvais, ils ne sont qu’ignorants et gâtés par le milieu de rude besogne et de misère où ils vivent. » (1)Emile Zola 1. Gervaise Macquart (2)Gervaise est le personnage principal du roman, le lecteur peut le suivre du début à la fin à travers de tous ses faits et gestes. a) Portrait physique (3)Au début du récit, Gervaise est une

poussent à commettre un vol. Il est condamné à cinq ans de prison. Emprisonné à Clairvaux, par la force de son caractère, il devient le chef des détenus. Les gardiens sont jaloux de cette autorité et se mettent à le détester. Le directeur des ateliers, un homme très froid et très acharné se met à haïr Claude Gueux. Celui-ci n’arrive pas à calmer son appétit et la ration de la prison est insuffisante. Un autre détenu, Albin, lui propose de partager la sienne avec lui. Entre les deux hommes, se

les enfants pouvaient travailler même s’ils avaient moins de 13 ans, l’enseignement étant réservé aux plus riches. D’autre part, le travail des femmes est très défavorable, elles travaillent dans des conditions précaires et indignes ; dans les ateliers de filage au mouille, l’humidité qui règne les rendent vulnérables au moindre froid. Elles tombent très vite malades et sont de plus en plus anémiques. Aussi, les ouvriers n’ont pas de couverture sociale ce qui est très dommageable. Par exemple

l’Etat de droit, l’individu s’est construit une indépendance sociale. Mais il a ceux qui ne possèdent rien : « les non-propriétaires » pour lesquels l’Etat n’a rien mis en place et a laissé s’installer une telle insécurité que les gens vivent dans la misère et de plus ne sont plus capable de réagir et de se gérer par eux-mêmes. La situation s’est améliorée lorsque des protections sociales ont été associées au travail. Le salariat devient ainsi un moyen de protection efficace malgré de fortes inégalités

Le réalisme veut montrer ce qu'il perçoit de manière objective.Les paysans ou les gens du peuple deviennent des sujets de tableaux. Dans le tableau, Courbet est placé au centre, il est en train de peindre un paysage extérieur à l’intérieur de son atelier, autour de lui, un enfant en compagnie d’un chat blanc qui peut présenter l’innocence et est en admiration face au tableau et derrière le peintre une femme nue tenant à la main des draps. Le centre du tableau est mis en valeur avec un jeu de lumière

intervient pour la libérer. Lorsqu'il apprend qu'il est indirectement la cause de la déchéance de Fantine, chassée de ses ateliers à son insu, il fait tout son possible pour la soigner et promet de lui ramener son enfant. Il lui rend de fréquentes visites, il envoie de l'argent aux Thénardier, et se prépare à aller chercher Cosette. Mais Fantine,affaiblie par la maladie et la misère, meurt d'épuisement avant d'avoir revu sa fille. La société au temps de Hugo : Il faut savoir que Hugo raconte l'arrestation

d’innovation tendance à l’inflation et plus de guerre pour maitriser les richesses par «  seigneurs de guerre » 2) Stratégie de substitution d’exportation Avec l’explosion démographique des Etats du sud, on assiste à une naissance des « pays ateliers » avec importante main d’œuvre. Les recettes d’exportation permettent un effort d’investissement dans les activités à plus haute valeur ajoutée ex : commencer avec une industrie de textile puis investir dans l’industrie lourde ( modèle du japon

sociales de cette crise ? En effet, cette crise a causé plusieurs problèmes touchant l’économie et le social. D’abord il y a une chute des prix dû à une baisse de consommation des entreprises et des ménages. Les gens n’achètent plus. Alors, les ateliers, les commerçants s’arrêtent dû à une faible clientèle. On va donc détruire les produits en excédent. Par exemple, le lait est jeté au ruisseau, le café est brûlé dans les locomotives, le blé est jeté dans la mer ou brulé. Par la suite, les productions

ATELIER DU FILM : Le people invisible RICHARD Desjardins et Robert Monderie. Le peuple invisible. L’histoire des Algonquins, Montréal. ONF, 2008, DVD, 93 minutes Grille d’observation et études d’un documentaire (Lors du visionnage du documentaire, notez des observations pertinentes sur les thèmes suivants .) a. Le territoire des Algonquins (à l’arrivée des Européens, lors de la colonisation, etc.) Tout le nord de Montréal et d’Ottawa. L’Abitibi Témiscamingue. b. La création

Le travail des enfants Quelque 250 millions d’enfants travaillent du matin au soir dans des usines de briques, de tapis, dans des ateliers de tannage de cuir, dans le polissement de pierres précieuses, dans des plantations de thé, dans des mines d’or ou dans d’infâmes maisons de prostitution. Ce sont des enfants originaires de différents pays, mais tous victimes du même système inhumain. C’est dans sa modeste demeure de New Delhi que j’ai interviewé Kailash Sathyarti, le président de la Coalition